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Le prince Albert II, entouré de la princesse Charlène et de la princesse Caroline, lors d’un bal mythique initié par sa mère, la princesse Grace, en 1954.

La famille princière de Monaco réunie sur le Rocher pour le Bal de la Rose 2025 sous le thème du sunset ball. (Photo Getty Images)

Événement incontournable de la saison, le Bal de la Rose 2025 a une fois de plus illuminé Monaco avec faste et élégance. Placée sous le thème envoûtant du Sunset Ball, cette édition signée Christian Louboutin a plongé la Salle des Étoiles dans une atmosphère tropicale digne d’un coucher de soleil caribéen. Fidèles à la tradition, les membres de la famille princière ont brillé par leur présence.

La famille princière de Monaco réunie sur le Rocher pour le Bal de la Rose 2025 sous le thème du sunset ball (Prince Albert II, son épouse la princesse Charlène de Monaco, sa soeur la princesse Caroline de Hanovre. (Photo Getty Images)

Le prince Albert II était entouré de son épouse, la princesse Charlène, éblouissante dans une robe bustier noire rehaussée d’un voile vert Dolce & Gabbana, et de sa sœur, la princesse Caroline de Hanovre, impériale en robe blanche. Les deux dames du Rocher semblent plus complices que jamais dans des robes asymétriques. Alexandra de Hanovre, radieuse en Giambattista Valli rose, a rejoint Charlotte Casiraghi, qui affichait une allure rock dans une robe noire Chanel, et Beatrice Borromeo, flamboyante dans une somptueuse robe rouge Dior. Un défilé de haute couture au cœur d’un décor luxuriant, où glamour et raffinement ont rythmé la soirée.

La famille princière de Monaco réunie sur le Rocher pour le Bal de la Rose 2025 sous le thème du sunset ball (Caroline et Charlène de Monaco avec Christian Louboutin, directeur artistique de la soirée. (Photo Getty Images)

Une nuit de rêve entre tradition et engagement

Créé en 1954 par la princesse Grace de Monaco, le Bal de la Rose est bien plus qu’un rendez-vous mondain : il incarne l’élégance et la générosité monégasques. Cette année, la magie des Caraïbes a envahi Monte-Carlo, transportant les convives dans un univers exotique au son du reggaeton et de la musique caribéenne. De nombreux artistes ont fait vibrer la soirée, dont le groupe britannique Ebony Steel Band, le collectif féminin Kozéika Panam et Earth, Wind & Fire Experience, qui a fait danser le couple princier.

La famille princière de Monaco réunie sur le Rocher pour le Bal de la Rose 2025 sous le thème du sunset ball. Charlène de Monaco plus rayonnante que jamais dans une toilette couture à l’élégance orientale et au style exotique. (Photo Getty Images)

Mais derrière les strass et les paillettes, l’âme de l’événement reste profondément caritative. Organisé au profit de la Fondation Princesse Grace, le Bal de la Rose permet chaque année de financer des programmes en faveur de l’enfance et de la recherche pédiatrique. Une tradition chère au Rocher, où le glamour se met au service de la solidarité.

La famille princière de Monaco réunie sur le Rocher pour le Bal de la Rose 2025 sous le thème du sunset ball. Charlotte Casiraghi et Beatrice Borromeo(épouse de Pierre Casiraghi). (Photo Getty Images)
La famille princière de Monaco réunie sur le Rocher pour le Bal de la Rose 2025 sous le thème du sunset ball. Alexandra de Hanovre et Ben Sylvester-Strautmann. (Photo Getty Images)

Monaco, entre prestige et festivités engagées

Le Bal de la Rose n’est que l’un des nombreux événements qui font briller Monaco à l’international. De la Croix-Rouge monégasque aux galas princiers, la Principauté allie raffinement et engagement, perpétuant une tradition où le luxe rime avec générosité. Cette 69e édition du Bal de la Rose en est une nouvelle preuve éclatante, confirmant une fois de plus que Monte-Carlo demeure le royaume du prestige et de la féerie.

Le diner du Bal de la Rose sous le thème du sunset ball. (Photo Getty Images)
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Actrice oscarisée et icône de style, Jessica Chastain a marqué les tapis rouges avec des looks mêlant glamour hollywoodien et modernité. Retour sur 12 tenues emblématiques qui ont jalonné sa carrière flamboyante, célébrant ses 48 ans de beauté et de talent.

Née le 27 mars 1977 à Sacramento, en Californie, Jessica Chastain s’est très tôt intéressée au théâtre et au jeu d’acteur. Après des débuts prometteurs dans des compagnies professionnelles, elle a gravi les échelons pour devenir l’une des actrices les plus respectées de sa génération. Intelligente, drôle, humaine et dotée d’une douceur qui contraste avec son côté rock, elle incarne l’élégance et le talent. Oscarisée et récompensée d’un Golden Globe, Jessica Chastain est également la fondatrice de Freckle Films, une société de production dédiée à soutenir les femmes dans l’industrie cinématographique. Aujourd’hui, à l’occasion de ses 48 ans, nous revisitons 12 looks iconiques de sa carrière qui témoignent de son amour pour le style Old Hollywood.

1. Plumes et glamour

Lors de la première du film Dreams au Festival de Berlin (15 février 2025), Jessica Chastain a ébloui avec une robe rose scintillante, ornée de bandes de dentelle et d’un décolleté bustier. Elle l’a accompagnée d’une étole à effet plume qui ajoutait une touche dramatique.

Jessica Chastain à la première de « Dreams » lors du 75e Festival International du Film de Berlin, le 15 février 2025. (Photo Getty Images)

2. Parfaite pour faire la fête

Le 29 avril 2024, pour le défilé Ralph Lauren à New York, Jessica a opté pour un look festif et chic : un haut pailleté assorti à un pantalon palazzo. Ses cheveux lâchés avec des ondulations classiques complétaient parfaitement ce style glamour.

Jessica Chastain au défilé Ralph Lauren à la fashion week de New York City. (Photo GC Images)

3. La robe bijou la plus emblématique

Au gala du LACMA, le 4 novembre 2023, elle a illuminé la soirée dans une robe bijou spectaculaire, rehaussée de boucles d’oreilles qui faisaient écho à l’éclat de sa tenue.

Jessica Chastain en Gucci, aux LACMA 2023 à Los Angeles County Museum of Art, le 4 novembre 2023 à Los Angeles. (Photo Getty Images)

4. Bicolore éblouissant

Pour le Festival de Saint-Sébastien, le 27 septembre 2023, Jessica a choisi une robe bleu marine dégradée vers un nude subtil, ornée de broderies scintillantes, reflétant son goût pour les designs audacieux mais raffinés.

Jessica Chastain à la première de « Memory » lors du 71e festival international du film de San Sebastian au théâtre Victoria Eugenia

5. D’or et d’audace à Venice

Lors de la Mostra de Venise (8 septembre 2023), l’actrice a envoûté avec une robe dorée à paillettes, mettant en valeur un décolleté vertigineux et un effet de dégradé saisissant.

Jessica Chastain sur le tapis rouge du 80e Festival International du Film de Venice, le 8 septembre 2023. (Photo Getty Images)

6. Le jaune qui marche sur le rouge

Le 11 juin 2023, aux Tony Awards, Jessica a brillé dans une robe jaune fluide en mousseline, sublimée par une cape nouée qui ajoutait une touche théâtrale à son look.

Jessica Chastain aux 76e Tony Awards à New York City, le 11 juin 2023. (Photo WireImage)

7. Ode au Old Hollywood

Aux Oscars, le 12 mars 2023, elle a incarné le glamour à l’ancienne avec une robe noire et argentée à col en V, ornée de paillettes et d’une longue traîne. Un hommage parfait au style Old Hollywood.

Jessica Chastain aux 95e Oscars, le 12 mars 2023 à Hollywood, California. (Photo Getty Images)

8. La toile d’araignée la plus célèbre

Aux Golden Globes 2023 (10 janvier), Jessica a surpris avec une robe signée Oscar de la Renta, ornée d’un motif en treillis façon toile d’araignée. Un pari audacieux qui a marqué les esprits.

Jessica Chastain aux 80e Golden Globes au Beverly Hilton, le 10 janvier 2023 à Beverly Hills, California. (Photo WireImage)

9. Rouge passion, hypnotisant

Au Festival de Venise, pour la première de Secrets d’un mariage (4 septembre 2021), elle a opté pour une robe rouge fourreau étincelante, avec un décolleté bustier et des strass qui magnifiaient sa silhouette.

Jessica Chastain sur le tapis rouge du film « Scenes From a Marriage (Ep. 1 and 2) » lors du 78e Venice International Film Festival, le 4 septembre 2021. (Photo Getty Images)

10. Un duo de couleurs pour un moment d’histoire

Aux Oscars 2022, où elle a remporté la statuette de la meilleure actrice pour « Les Yeux de Tammy Faye », Jessica portait une robe bicolore mêlant paillettes et satin, dans un dégradé allant du rose au violet pastel.

Jessica Chastain, levant son Oscar de la Meilleure actrice pour son rôle dans ‘The Eyes of Tammy Faye’, lors des 94e Annual Academy Awards à Hollywood, le 27 mars 2022. (Photo Getty Images )

11. Vert bouteille pour l’after-party

Le soir de sa victoire aux Oscars, Jessica a changé de tenue pour l’after-party, optant pour une robe satinée vert bouteille aux reflets métallisés, qui sublimait son allure de star.

Jessica Chastain, levant son Oscar de la Meilleure actrice pour son rôle dans ‘The Eyes of Tammy Faye’, lors de l’after-party des 94e Annual Academy Awards à Hollywood, le 27 mars 2022. (Photo Getty Images )

12. Pour les premiers tapis rouges

Enfin, au Festival de Cannes en 2012, Jessica a fait une entrée remarquée dans une robe blanche Giorgio Armani au décolleté cœur. Simple et minimaliste, ce look marquait ses débuts sur la scène internationale.

Jessica Chastain au 65e Festival de Cannes, le 18 mai 2012. (Photo Getty Images)

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Shakira photo

Entre discipline, sport et moments intimes, la chanteuse dévoile les coulisses de sa préparation avant de monter sur scène.

Shakira
Photo @shakira

Un entraînement sportif avant de prendre la scène

Avant de monter sur scène, Shakira ne laisse rien au hasard. Dans une vidéo où elle apparaît vêtue d’une brassière beige et d’un pantalon de sport bicolore rose et beige, la chanteuse s’adonne à une session de fitness dynamique. Squats, levées de poids et exercices de renforcement musculaire lui permettent de booster son endurance et d’assurer ses performances scéniques rythmées par ses célèbres mouvements de hanche. “J’arrive à 15h, je fais mes exercices, et si j’ai le temps, je m’offre un massage”, confie-t-elle en légende de son post Instagram. Cette discipline sportive fait partie intégrante de son quotidien, une habitude qui lui permet de rester au sommet de sa forme.

Focus, prière et derniers ajustements beauté

Une fois l’échauffement terminé, Shakira passe entre les mains de son équipe beauté pour une mise en beauté express. “Je prends cinq minutes pour me concentrer et prier Dieu que tout se passe bien”, explique-t-elle. Cette parenthèse spirituelle l’aide à canaliser son énergie avant de retrouver son public. Autre détail révélateur de son perfectionnisme : sa crainte d’attraper froid. L’interprète de Waka Waka veille à éviter les courants d’air et ajuste sa tenue en conséquence.

Shakira embrasse son fils aîné à l'annonce de son Grammy award
Shakira embrasse son fils aîné à l’annonce de son Grammy award pour le meilleur album latin pop de l’année, “Las Mujeres Ya No lors des 67e Grammys. (Photo WireImage)

Une touche d’amour avant le show : ses enfants, son plus grand soutien

Malgré son emploi du temps chargé, Shakira ne manque jamais de partager un moment avec ses fans, avant de fouler la scène. Mais ce sont surtout Milan et Sasha, ses deux fils nés de sa relation avec Gérard Piqué, qui lui apportent le plus grand réconfort. Entre messages de soutien et étreintes en coulisses, leurs apparitions sont devenues un rituel précieux.

Shakira et ses enfants Milan et Sasha lors des 67th Grammy Awards
Shakira et ses enfants Milan et Sasha lors des 67th Grammy Awards le 2 février 2025 à l’Arena Los Angeles, California. (Photo Getty Images )

Depuis sa séparation avec le footballeur espagnol en 2022, Shakira assume pleinement sa nouvelle vie, portée par la musique, l’amour de ses fans et la force de ses enfants. Sa tournée Las Mujeres Ya No Lloran s’annonce déjà comme un triomphe, symbolisant une renaissance à la fois artistique et personnelle.

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Héloïse Agelou

Elle a orchestré les premiers feux d’artifice du Royal Mansour à Marrakech et donné encore plus d’émotion à la réouverture de la Kasbah Tamadot de Richard Branson après le séisme, Héloïse Agelou, fondatrice de Hello Moments, nous livre ses conseils pour sublimer des moments de Ramadan avec élégance et émotion.

Experte en événementiel de luxe, Héloïse Agelou transforme chaque moment en une expérience unique, où l’émotion et la beauté se rencontrent. À la tête de Hello Moments, elle imagine des célébrations sur-mesure qui allient raffinement, tradition et modernité. Son secret ? Toujours partir du cœur et des émotions pour créer des ambiances mémorables.

Héloïse Agelou
Héloïse Agelou, fondatrice de Hello Moments (Photo DR)

Héloïse Agelou : L’émotion, essence du luxe

Héloïse Agelou, fondatrice de Hello Moments
Héloïse Agelou, fondatrice de Hello Moments (Photo DR)
Héloïse Agelou, fondatrice de Hello Moments
Héloïse Agelou, fondatrice de Hello Moments (Photo DR)
Héloïse Agelou, avec Richard Branson et Hamid Bentahar
Héloïse Agelou, avec Richard Branson et Hamid Bentahar, lors de la réouverture de Kasbah Tamadot du milliardaire britannique. (Photo DR)
Héloïse Agelou, avec Richard Branson et Hamid Bentahar

Durant le Ramadan, cette philosophie prend tout son sens : chaque jour est une occasion de se retrouver, de partager et d’honorer la tradition avec élégance. Voici ses conseils pour magnifier cette période unique.

Une table de ftour baignée dans la douceur et la chaleur

Optez pour une palette de couleurs apaisantes : tons terreux, touches dorées et nuances naturelles pour une ambiance élégante. Ajoutez des bougies ou lanternes pour une lumière douce et chaleureuse…

Aïd Al-Fitr avec élégance et joie

L’Aïd al-Fitr marque la fin du Ramadan et le début d’un nouveau chapitre, empreint de joie, de gratitude et de partage. Chez Hello Moments, nous pensons que cette journée doit être célébrée avec raffinement, générosité et des instants inoubliables entourés de ceux qui comptent le plus. Voici nos conseils pour un Aïd lumineux et élégant.

1. Une Fête de Lumière et de Connexion non sans une atmosphère festive et raffinée où votre intérieur baigné de lumière et d’harmonie, reflète naturellement cette énergie : une décoration élégante en jouant avec des tons dorés, ivoire et pastel pour une touche chic, des fleurs fraîches et des bougies. Pour symboliser le renouveau et créer une ambiance chaleureuse, optez pour une signature olfactive envoûtante en parfumant votre maison avec du musc, de l’oud ou de la fleur d’oranger.

2. Une table de fête soignée et conviviale pour un repas de l’Aïd sous le signe du partage et de la gourmandise : une vaisselle raffinée, assiettes en céramique artisanale, touches dorées et détails élégants, un assortiment de douceurs traditionnelles pour commencer la journée sur une note sucrée, un choix de boissons savoureuses comme bien sûr le thé à la menthe, café arabe, jus frais ou lait d’amande parfumé à la fleur d’oranger.

3. Offrir des cadeaux pleins de sens pour véritablement marquer l’Aïd, ce moment de générosité et de bonheur partagé, comme un parfum, des bougies artisanales, des chapelets ou beaux livres de prières. Des cadeaux personnalisés auront encore plus d’effet. Sans oublier les petites attentions pour les enfants : sachets remplis de douceurs, un petit jouet ou une enveloppe d’Eidiya (l’argent traditionnel de l’Aïd). Le tout fait avec un message écrit à la main de mots doux sur une carte pour exprimer son amour et sa gratitude.

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Ce mardi 4 mars, le Louvre a écrit une nouvelle page de son histoire en accueillant son tout premier Grand Dîner, un événement caritatif inédit organisé en marge de l’exposition Louvre Couture. Objets d’art, objets de mode. Présidée par Rachida Dati, la soirée a rassemblé une constellation de célébrités venues célébrer le dialogue entre l’art et la mode, dans un décor somptueux sublimé par des créations haute couture. Diaporama.

Rachida Dati arrive au Grand Dîner du Louvre en marge de la Paris Fashion Week, le 4 mars 2025. (Photo Getty Images)

Un tapis rouge digne d’une Fashion Week

Véritable apothéose de style, la soirée a vu défiler un parterre de stars dans des créations sublimes, spécialement sélectionnées pour cet événement unique. Charlotte Casiraghi a brillé en Chanel, tandis que Laetitia Casta a incarné la grâce en Dior. Virginie Efira a opté pour un Saint Laurent épuré, Michelle Yeoh pour un somptueux Balenciaga, et Keira Knightley pour un Chanel intemporel. Farida Khelfa a marqué les esprits en Jean-Paul Gaultier, tandis que Gigi Hadid a osé l’audace en Jeremy Scott. Carla Bruni a retrouvé l’extravagance d’un John Galliano, tandis qu’Anna Wintour, fidèle à son style inimitable, a choisi Givenchy. Lou Doillon, quant à elle, a distillé une touche de bohème chic.

Carla Bruni en Chanel (Photo Getty Images)
Gig Hadid en Jeremy Scoot (Photo Getty Images)
Keira Knightley en Chanel (Photo Getty Images)
Farida Khelfa en Jean-Paul Gaultier et Isabelle Adjani (Photo Getty Images)
Naomi Campbell en Chanel (Photo Getty Images)
Charlotte Casiraghi en Chanel (Photo Getty Images)
Jean-Paul Gaultier et Chiara Mastroianni (Photo Getty Images)
Laetitia Casta en Dior (Photo Getty Images)
Virginie Efira en Saint Laurent (Photo Getty Images)
Eva Herzigová (Photo Getty Images)
Paris Jackson (Photo Getty Images)
Anna Wintour en Givenchy haute couture (Photo Getty Images)
Mouna Ayoub (Photo Getty Images)

Un dîner d’exception au service de la culture

Mais au-delà du faste et des silhouettes couture, le Grand Dîner du Louvre a une mission : lever des fonds pour soutenir les actions culturelles et patrimoniales du musée. Organisé en partenariat avec Visa Infinite, cet événement caritatif a permis de récolter plus d’un million d’euros grâce aux dons des invités et au prestige de la soirée. Les sommes récoltées financeront notamment la restauration d’œuvres majeures, l’acquisition de nouvelles pièces et l’accès à la culture pour les publics les plus éloignés.

Rachida Dati, ministre de la Culture, et Laurence des Cars, présidente-directrice du Louvre et commissaire de l’exposition Louvre Couture, ont ensemble célébré cette première édition du Grand Dîner du Louvre, symbole d’un dialogue raffiné entre art et haute couture. (Photo Getty Images)

Une soirée historique, entre faste et engagement

Après un cocktail et une visite privée de l’exposition Louvre Couture. Objets d’art, objets de mode, les convives ont rejoint la cour Marly, métamorphosée en salle de bal moderne. Trente tables élégamment dressées ont accueilli des invités triés sur le volet, régalés par un menu signé Anne-Sophie Pic. La soirée a atteint son apogée avec une performance surprise de Doechii, apportant une touche de modernité à ce moment suspendu entre passé et présent.

Entre tradition et innovation, héritage et modernité, le Grand Dîner du Louvre s’impose d’ores et déjà comme un rendez-vous incontournable où la mode et l’art célèbrent, ensemble, l’excellence et l’engagement.

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Le talentueux styliste marocain Rochdi Bakhchouch a marqué de son empreinte la Fashion Week de Milan en présentant une collection exceptionnelle, véritable ode à sa mère. De Fès à Paris, en passant par Milan, il célèbre à travers ses créations un héritage riche de traditions et de modernité, ancrant ainsi la mode marocaine dans le cercle très fermé des podiums internationaux.

Le styliste marocain Rochdi Bakhchouch pour la maison Rochmode qui a défilé à la Milan Fashion-Week

Un hommage couture, entre héritage et innovation

Puisant son inspiration dans l’élégance intemporelle de sa mère, Rochdi Bakhchouch dévoile une collection qui sublime l’artisanat marocain tout en le réinterprétant avec une touche résolument contemporaine. Entre broderies raffinées, coupes architecturales et étoffes précieuses, chaque pièce traduit un équilibre subtil entre tradition et modernité.

La collection illustre également un dialogue entre deux univers d’exception : Fès, berceau du savoir-faire ancestral et de la finesse artisanale. Paris, capitale de l’audace et de l’avant-garde. Milan, écrin du raffinement, s’imposait ainsi comme le théâtre idéal pour révéler ces créations empreintes de noblesse et de sophistication.

Une ascension fulgurante dans le monde de la haute couture

Rochdi Bakhchouch n’est pas un inconnu du monde de la mode. Modéliste chez Zara, il s’est rapidement fait remarquer par son talent et sa maîtrise des lignes masculines, au point d’habiller des princes arabes et des personnalités influentes. Sa boutique parisienne, située dans le prestigieux 16e arrondissement, est aujourd’hui une référence pour une clientèle exigeante en quête de pièces uniques.

Des tapis rouges marocains aux podiums étrangers, il s’est forgé une réputation qui lui ouvre désormais les portes des Fashion Weeks les plus sélectives, notamment celles de Paris et Milan. Avec ce défilé milanais, la Maison Roshmode s’impose définitivement comme un acteur incontournable du luxe et du sur-mesure, propulsant ainsi la mode marocaine sous les projecteurs de la scène internationale.

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Pour clôturer cette série de 7 icônes inspirantes pour une Saint-Valentin flamboyante, nous choisissons de rendre hommage au glamour du caftan.

Mimia Leblanc en caftan pour « The Heya Show (Photo Mimia Leblanc instagram)

Mimia Leblanc, célèbre créatrice de bijoux, illumine la scène télévisée du Moyen-Orient en incarnant une Saint-Valentin aux allures de conte oriental. Invitée de l’émission “The Heya Show” sur MTV Liban, aux côtés de la présentatrice Hanan Skaf, elle célèbre l’élégance intemporelle du caftan marocain, sublimé par un jeu de textures et de broderies précieuses.

Dans un somptueux caftan rouge flamboyant, orné de broderies ton sur ton d’une finesse exquise, Mimia Leblanc incarne une féminité ardente et magnétique. Ses cheveux chatoyants et son port altier lui confèrent une aura incandescente, évoquant la passion et le raffinement. À ses côtés, Hanan Skaf resplendit dans un caftan ivoire rehaussé de broderies dorées, chef-d’œuvre de l’artisanat marocain, illustrant un équilibre parfait entre douceur et éclat impérial.

Mimia Leblanc en caftan pour « The Heya Show (Photo Mimia Leblanc instagram)

Mimia Leblanc, fondatrice des bijoux Mimia Leblanc et bijoux Shaad, n’est pas seulement une créatrice de talent : elle est une icône de style qui transcende les époques, offrant au caftan marocain une modernité captivante. Son passage sur MTV Liban est une célébration du savoir-faire marocain, prouvant que le patrimoine peut se réinventer avec audace et glamour.

Ne manquez pas cette rencontre inspirante, où passion et artisanat s’entrelacent pour une Saint-Valentin sous le signe de l’élégance !

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Renée Zellweger illumine l’avant-première australienne de “Bridget Jones : Folle de lui” avec un look d’amour en rose. Découvrez 5 points clés sur le retour audacieux de cette saga culte.

Renée Zellweger à l’avant-première australienne du quatrième violet de la saga « Bridget Jones: Mad About The Boy » tenue le 9 février 2025 à Sydney (Photo Getty Images)

La saga emblématique revient sous un nouveau jour avec “Bridget Jones : Folle de lui”. Renée Zellweger, icône de la série sortie il y a plus de 20 ans, a fait sensation lors de l’avant-première australienne en arborant un look d’amour romantique en rose. Elle opte pour une robe bustier audacieuse en fushia éclatant, sublimée par une encolure en fleur 3D, jouant sur l’alliance du rock et du chic pour refléter parfaitement la personnalité intemporelle de Bridget Jones, incarnée par l’actrice de 55 ans.

Depuis le mois dernier, l’Australienne enchaîne les avant-premières pour présenter ce quatrième volet, affirmant son affection pour des robes roses éclatantes. Lors de la présentation à Londres le 29 janvier dernier, l’oscarisée pour le film « Judy », arborait un modèle vintage signé Pierre Balmain. Ce retour tant attendu réinvente le personnage emblématique de Bridget Jones en mariant humour, tendresse et modernité, tout en restant fidèle aux codes qui ont conquis le public au fil des années.

Voici 5 choses à savoir sur l’histoire de la saga, alors qu’elle s’apprête à sortir son 4e volet, “Bridget Jones : Folle de lui” :

1- Un roman fondateur : la saga puise ses origines dans le roman à succès de Helen Fielding, une œuvre qui a révolutionné la comédie romantique en offrant une voix authentique, tendre et hilarante à la femme moderne.

2- Une héroïne universelle : Bridget Jones, magnifiquement incarnée par Renée Zellweger, est devenue une icône culturelle. Elle incarne avec humour et sincérité les hauts et les bas d’une vie amoureuse imparfaite, résonnant avec des millions de spectateurs à travers le monde.

3- Une évolution touchante : depuis le premier film en 2001, l’histoire de Bridget a gagné en maturité, passant des déboires amoureux maladroits à une exploration plus profonde des relations humaines, de la materné et de l’affirmation de soi.

4- Un succès mondial : avec son mélange unique d’humour mordant, d’émotions sincères et d’un réalisme charmant, la franchise est devenue une référence incontournable du genre, captivant un public fidèle à travers les époques.

5- Une touche de modernité : ce quatrième volet promet de revisiter l’univers de Bridget Jones avec une approche contemporaine, tout en restant fidèle à l’esprit qui a fait son succès. Entre rebondissements, humour et émotions, ce nouveau chapitre s’annonce comme un hommage vibrant à l’héritage d’une saga culte.

Et vous quelle « Bridget Jones préférez-vous ?

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Dans La Damnée, Ouidad Elma incarne une sorcière mystique, ancrée entre Tanger, la France et Marrakech. Mais au-delà de l’écran, son identité marocaine nourrit un univers singulier, où cinéma, mode et nature se rencontrent. Entre héritage et modernité, la belle actrice façonne une esthétique envoûtante qui intrigue et captive. Dans cet entretien, elle nous dévoile ses inspirations, son rapport aux traditions et la manière dont son parcours façonne son art.

L’interprète d’une sorcière marocaine dans le film « La Damnée », Ouidad Elma pose à M Avenue pour HOLA! Maroc (Photo BP-Photographe – Chaussures IO Shoes – Mise en beauté Infinite M Avenue )

Ouidad Elma, actrice aux multiples facettes, nous invite à découvrir son univers intime. Ayant grandi entre Tanger et la France, elle a choisi de s’ancrer dans la nature luxuriante de l’arrière-pays de Marrakech. Ce nouvel environnement, mêlant authenticité, silence et énergie des montagnes, l’a aidée à se reconnecter à l’essentiel et à nourrir sa créativité. Son dernier film, dans lequel elle incarne une sorcière au pouvoir libérateur, illustre parfaitement cette transformation personnelle et artistique. À travers cet entretien, Ouidad partage avec nous ses réflexions sur le retour à une vie plus authentique, la puissance du cinéma et l’expression de l’identité marocaine, sans oublier sa passion pour la mode.

Vous qui avez grandi entre Tanger et la France, comment cette nouvelle vie dans l’arrière-pays de Marrakech a-t-elle transformé votre façon de voir le monde et de vous reconnecter à l’essentiel ?

J’ai découvert Marrakech sous un angle inédit, entre les montagnes majestueuses de l’Atlas et la ville vibrante. Cette immersion dans des espaces purs et énergétiques m’a permis de me ressourcer profondément, de renouer avec la nature et les traditions qui font partie intégrante de notre culture. Née dans les montagnes du Rif, me retrouver dans les montagnes du Sud est un retour aux sources brut et authentique qui enrichit mon identité.

Quels apprentissages tirez-vous de ce retour à une vie plus ancrée dans la nature, et comment cela nourrit-il votre créativité d’actrice ?

La nature m’offre l’espace et le silence indispensables à la créativité. Là, loin du tumulte urbain – que ce soit à Paris ou à Casablanca – je trouve un lieu de recueillement où les plus belles idées émergent. Cet environnement me transforme, me donne une clarté nouvelle dans mon travail, et modifie ma perception des rôles et des histoires que je raconte à l’écran.

À travers vos rôles, vous incarnez souvent des personnages forts et complexes. Pensez-vous que le cinéma peut réellement changer les mentalités ou ouvrir des dialogues sur des sujets essentiels ?

Pour moi la culture est nécessaire au collectif humain, c’est ce qui fait grandir une société. Le cinéma est, pour moi, un moyen puissant de briser les barrières et de toucher les cœurs. J’ai notamment choisi de sortir de ma zone de confort en incarnant une sorcière dans « La Damnée ». Ce personnage, loin d’être stigmatisé, représente une femme souveraine qui assume pleinement sa liberté. À travers ce rôle, je souhaite questionner les préjugés et ouvrir un dialogue sur des thèmes comme les traumas générationnels et la place de la femme dans la société.

L’interprète d’une sorcière marocaine dans le film « La Damnée », Ouidad Elma pose à M Avenue pour HOLA! Maroc (Photo BP-Photographe – Chaussures IO Shoes – Mise en beauté Infinite M Avenue )

Ce personnage de la sorcière, que représente-t-il pour vous dans la société marocaine ?

Pour moi, le terme « sorcière » n’a pas de connotation négative. Il désigne une femme en plein pouvoir, une guérisseuse qui assume son identité. La société nous a souvent cataloguées de cette façon pour tenter de nous contrôler. Mais je crois que chaque femme est, en réalité, une sorcière puissante, capable de transformer ses zones d’ombre en force et de créer un changement profond.

Vous vous reconnaissez dans ce personnage ?

Toutes les femmes sont des sorcières ! C’est ce que dit le livre de Mona Chollet. L’autrice suisse parle de ces femmes de la Renaissance que l’on accusait de sorcellerie, censurées et réprimées, elles finissaient au bucher. Ces féminicides ont perduré pendant des siècles. On ne parle jamais de ces féminicides ni de ceux qui, dans l’histoire préislamique, consistaient à tuer des filles simplement parce qu’elles étaient des filles. Pourquoi ? Parce que les femmes ont un pouvoir : elles sont connectées au monde invisible, elles créent la vie, et c’est un pouvoir incroyable. Elles sont reliées au divin – l’utérus, c’est un portail connecté directement à Dieu – et cela fait peur au système, à la société. En fait, avoir la capacité de reconnaître son pouvoir en tant que femme et se dire « ok, j’ai ce pouvoir et je peux créer le monde que je veux avec tout l’amour et la bienveillance dont je dispose » est un pouvoir qui nous a été longtemps refusé. Je pense que le changement se fait naturellement et qu’il y a aujourd’hui une prise de conscience incroyable. Quand on m’a proposé ce film, j’ai dit, bien sûr, je veux le faire ; ce rôle est pour moi une libération, une véritable rencontre. Un rôle ne vient jamais à toi par hasard.

Comment avez-vous abordé vos débuts ?

Le réalisateur voulait me rencontrer à Casablanca, et j’avoue avoir eu un peu peur, car c’était la première fois que j’allais incarner un antagoniste. Toutefois, ce processus de transformation, qui m’a sortie de ma zone de confort, m’a enthousiasmée. Le personnage, appartenant à l’imaginaire et d’une dimension presque fantasmagorique, me permettait de toucher l’imaginaire collectif. C’était un super challenge, et j’ai perçu dans ce rôle un aspect profondément spirituel – merci à l’univers, merci à Dieu de me permettre d’explorer des espaces de jeu inédits qui ont débloqué beaucoup de choses en moi. »

L’interprète d’une sorcière marocaine dans le film « La Damnée », Ouidad Elma pose à M Avenue pour HOLA! Maroc (Photo BP-Photographe – Chaussures IO Shoes – Mise en beauté Infinite M Avenue )

Ce film vous a-t-il menée à changer de vie et à déménager ?

Totalement. Ce film m’a ouvert les yeux sur un monde invisible que l’on ne trouve pas dans les pays occidentaux. Marrakech, ville sainte fondée par la grande Zaynab, la porte des sept saints et du désert, est une ville amazigh ancestrale qui guérit par son énergie. J’ai su qu’il fallait que je sois là, que je reste ici. À chaque fois que je revois ce film, je ressens une peur profonde – non pas de l’écran, mais de moi-même, tant je suis émotive. Pour incarner ce rôle, j’ai dû puiser dans ma propre colère et déposer les traumas de ma lignée : ceux transmis par ma grand-mère, ma mère, et toutes ces déesses et guerrières qui, pendant des siècles, n’ont pas eu leur espace d’expression. Ce processus m’a permis de retrouver un équilibre, essentiel pour être d’abord au service de soi-même avant de servir les autres. »

Pourquoi vous ?

C’est l’univers qui voulait que ce rôle soit pour moi. Je pense que j’ai touché le réalisateur par mon histoire, et j’ai été fascinée par son intelligence et sa capacité à être authentique, à écouter son imaginaire – une véritable vieille âme. J’ai retravaillé avec lui pour son second film, « Killer Influence », diffusé sur Amazon Prime et Apple TV. Bien qu’il vive en France, il revient souvent ici pour sa famille. J’ai eu beaucoup de chance de le rencontrer : Abel est un génie. Il avait 22 ans lors du tournage de ce premier long métrage, et à 25 ans, il confirme déjà sa sensibilité rare. Cette rencontre a été touchante et a annoncé la couleur d’un nouveau chapitre dans ma carrière.

Quel message souhaitez-vous transmettre au public à travers votre art ? Voyez-vous une mission plus grande derrière votre carrière d’actrice ?

Je dis toujours aux jeunes – et aux moins jeunes – qu’il n’y a pas de règles fixes pour raconter une histoire. Le monde a soif d’histoires authentiques. Que vous soyez conteur ou cinéaste, il faut oser partager son vécu, car c’est ainsi que nous pouvons changer les mentalités et grandir collectivement. Mon art est ma manière de redonner la parole à ceux qui n’en ont pas toujours eu, de faire émerger la richesse de notre humanité. Le monde veut entendre des histoires, car conteur est le plus vieux métier du monde et ce métier est à la portée de tous. On se racontait des histoires, surtout à Marrakech, sur la place Jemaa-el-Fna, où l’on partageait des récits de notre humanité et de nos sociétés.

L’interprète d’une sorcière marocaine dans le film « La Damnée », Ouidad Elma pose à M Avenue pour HOLA! Maroc (Photo BP-Photographe – Chaussures IO Shoes – Mise en beauté Infinite M Avenue )

Votre ancrage à Marrakech vous inspire-t-il à explorer un cinéma plus terre à terre et authentique ?

Cet ancrage ici à Marrakech te donnera envie d’explorer un cinéma plus terre-à-terre, sans trop de filtres, d’effets spéciaux ou de fictions. Le monde entier vient à Marrakech ; c’est une porte d’entrée vers le monde, le Maroc est une terre d’accueil. J’ai commencé le cinéma jeune, par pure passion : je l’ai étudié, j’ai fait partie d’une troupe de théâtre et j’ai appris la méthode américaine de l’Actor Studio aux USA. J’ai aussi commencé à écrire, et j’apprécie énormément cette capacité à inventer quelque chose qui se trouve dans la tête, à le projeter sur une feuille blanche, puis à le matérialiser en une histoire vivante avec des êtres humains. Le processus est assez magique, presque divin : il part d’une pensée que l’on écrit…

Votre autre passion serait-elle la mode ?

La mode est pour moi une forme d’expression tout aussi puissante que le cinéma. J’adore les robes, car elles me permettent de me sentir à la fois féminine et libre. J’apprécie également les costumes, qui révèlent une autre facette de ma personnalité. Porter un vêtement, c’est comme se métamorphoser, c’est adopter une attitude différente qui reflète notre état d’esprit. La mode me permet d’incarner mon identité marocaine avec élégance, que je sois à Paris, à Londres ou ici, à Marrakech.

L’interprète d’une sorcière marocaine dans le film « La Damnée », Ouidad Elma pose à M Avenue pour HOLA! Maroc (Photo BP-Photographe – Chaussures IO Shoes – Mise en beauté Infinite M Avenue )

Porter un caftan sur le toit de M Avenue, dans cet espace où luxe et tradition se mêlent, a-t-il une résonance particulière pour vous ?

Le caftan est l’habit le plus noble et le plus élégant que le Maroc ait créé pour le monde. Il fait partie du riche patrimoine de notre pays. C’est l’une des cultures les plus anciennes au monde. Je suis fière de porter ce symbole de notre identité. Et je pense que toutes les femmes du monde peuvent arborer un caftan et ressentir cette grandeur. J’aime les caftans simples, en soie ou en mousseline, qui offrent de la légèreté et une liberté de mouvement. Cet habit incarne à la fois la tradition et la modernité, et je le considère comme une part essentielle de ma marocanité, où que je sois.

Si vous pouviez laisser une seule empreinte sur cette planète à travers votre vie et votre art, quelle serait-elle, et pourquoi ?

Je souhaite laisser une empreinte d’amour – l’amour de soi, l’amour de l’autre et l’amour divin. C’est une valeur qui guide chacun de mes choix. Mon prochain film, « L’Empreinte du Vent » de Laila Triki, en est un bel exemple. J’espère que mon travail continuera à inspirer et à rappeler à chacun qu’en partageant notre amour, nous pouvons transformer le monde.

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Héritier d’une passion transmise par le défunt Hassan II, SAR le Prince Moulay Rachid perpétue l’excellence du golf au Maroc. Avec style et engagement, il préside la 49e édition du Trophée Hassan II et la 28e Coupe Lalla Meryem au prestigieux Royal Golf Dar Es Salam de Rabat.

SAR le Prince Moulay Rachid participant au pro-am du Trophée Hassan II au Royal Golf Dar Es Salam de Rabat (Photo Getty Images)

Sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et avec la présence chaleureuse de Son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid, la Fédération Royale Marocaine de Golf et l’Association du Trophée Hassan II, le 49ème Trophée Hassan II et la 28ème édition de la Coupe Lalla Meryem, inscrits pour la troisième année consécutive sur le PGA Tour Champions, ont livré une édition réussie comme chaque année. Ces rendez-vous prestigieux se tiennent au Royal Golf Dar Es Salam de Rabat, attirant les plus grands golfeurs et golfeuses du monde ainsi qu’une constellation de personnalités marocaines et internationales. Cette année ce sont 66 légendes du golf mondial et 108 joueuses du Ladies European Tour, dont des représentantes marocaines telles qu’Ines Laklalech et Maha Haddioui qui ont pris part à la compétition.

SAR le Prince Moulay Rachid participant au pro-am du Trophée Hassan II au Royal Golf Dar Es Salam de Rabat (Photo Getty Images)

Moulay Rachid, le Prince du golf au Maroc

Au cœur de ces événements prestigieux se trouve Son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid, véritable figure emblématique du golf marocain. Depuis de nombreuses années, le Prince incarne avec passion et détermination l’esprit du golf au Maroc. Son parcours exceptionnel en tant que golfeur professionnel, ambassadeur du sport et président de la Fédération Royale Marocaine de Golf lui a valu le surnom de « Prince du Golf ». Visionnaire et engagé, il accompagne le développement du golf dans le royaume en soutenant activement les compétitions internationales. Sa présence à la 49e édition du Trophée Hassan II, participant au Pro-Am et notamment lors du dîner de gala offert par Sa Majesté le Roi, symbolise l’union entre tradition et modernité et souligne l’ambition de hisser encore plus le golf marocain sur la scène mondiale.

SAR le prince Moulay Rachid et SAR la princesse Lalla Meryem lors du trophée Hassan II de golf tenu en 2016 au Royal golf d’Agadir (Photo Getty Images)

Heureux héritier d’une passion royale

Le défunt Hassan II a marqué l’histoire du golf au Maroc en décidant, dès 1971, d’ériger à Rabat un complexe aux normes internationales, aujourd’hui connu sous le nom de Royal Golf Dar Es Salam. Ce joyau, alliant la beauté naturelle des sites marocains à une technicité de classe mondiale, a transmis la « belle valeur verte » du royaume à Son Altesse Royale Moulay Rachid. Héritier de cet engagement royal, le Prince incarne cet héritage avec une élégance naturelle sur les greens et continue de porter haut la flamme du golf au Maroc.

SAR le Prince Moulay Rachid participant au pro-am du Trophée Hassan II au Royal Golf Dar Es Salam de Rabat (Photo Getty Images)

Un Leader au grand cœur et à l’âme de mentor

Plus qu’un dirigeant, SAR Moulay Rachid incarne l’esprit du golf marocain. Dès son plus jeune âge, il s’est imprégné de la discipline et du dévouement requis par ce sport. Aujourd’hui, il se consacre avec ferveur à transmettre sa passion aux générations futures. Son élégance de golfeur se remarque sur son port de tête impeccable, un swing précis et une démarche fluide sur la pelouse, le tout sublimé par un sourire affectueux et bienveillant. Ce raffinement naturel séduit et inspire les nombreux invités – personnalités et passionnés – qui font du Trophée Hassan II un rendez-vous annuel incontournable dans leur agenda.

Raffinement royal et passion du golf : SAR Moulay Rachid préside le dîner de gala du Trophée Hassan II 2025, avec élégance et bienveillance, perpétuant l’héritage d’un sport d’excellence au Maroc

Le papa fera-t-il pareil avec ses deux garçons ?

Dans l’ombre de cet héritage précieux, une question se pose et résonne comme une promesse d’avenir : le père transmettra-t-il, à son tour, cette passion et cette vision à ses deux garçons ? Ce questionnement, empreint de poésie et d’espoir, symbolise la perpétuation d’un héritage royal qui ne cesse de faire rêver et d’inspirer non seulement les passionnés de golf, mais également toute une nation fière de ses traditions et de son ouverture sur le monde.

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