Accueil Mots-clés Publications sur "Cannes"
Mot-clé

Cannes

Dans un tourbillon de glamour et de sophistication, le Festival de Cannes 2024 a vu défiler les stars les plus éblouissantes du cinéma mondial, parées de joyaux étincelants et de créations haute couture. Des rivières de diamants aux parures de saphirs et d’émeraudes, chaque apparition sur le tapis rouge a été une ode à l’élégance et au luxe.

D’abord Meryl Streep,  drapée dans une création vintage de Fred Leighton, a incarné l’essence du chic intemporel, ajoutant une touche de glamour hollywoodien à l’événement. Son choix audacieux a été salué par les fashionistas du monde entier, confirmant une fois de plus son statut d’icône de style. En effet, la Maison Chopard, réputée pour ses créations exquises, a été la préférée de nombreuses stars lors de cette édition du festival. Diane Kruger, Eva Green, Hunter Schafer, Bella Hadid et Demi Moore ont toutes choisi de sublimer leurs tenues avec les parures et les boucles d’oreille scintillantes de la marque. Chaque bijou, créé avec soin et précision, a ajouté une touche de magie et de sophistication à leurs looks déjà impeccables.

 

De même, la Maison Boucheron a brillé de tous ses feux avec Salma Hayek et Emilie Dequenne comme égéries de charme cette année. Leurs choix audacieux et élégants ont mis en valeur la beauté intemporelle des créations de la marque, confirmant sa réputation de maison de haute joaillerie par excellence.

La Maison Messika, quant à elle, a été représentée avec éclat par Taylor Hill, Virginie Ledoyen,  Candice Swanepoel ou  Kelly Rowland. Leurs bijoux, à la fois modernes et sophistiqués, ont ajouté une touche de fraîcheur et de glamour contemporain au festival.

Selena Gomez a également fait sensation en mettant en lumière une parure de la Maison Bulgari, tandis que Juliette Binoche a fait briller la Maison Cartier à travers des boucles d’oreille dissociées. Ces choix audacieux ont non seulement ajouté une touche d’éclat supplémentaire à leurs looks, mais ont également souligné l’importance des bijoux en tant qu’accessoires essentiels pour compléter une tenue sur le tapis rouge.

Anya Taylor-Joy a apporté une touche de modernité avec des pièces signées Tiffany & Co, tandis qu’Isabelle Huppert a captivé avec une parure De Beers, et Aubrey Plaza a ébloui avec un collier et des boucles d’oreille en diamants et émeraudes de la Maison Piaget. Chaque  Charlotte Casiraghi à quant à elle porté des bijoux Chanel, dont elle est l’égérie,  haute joaillerie lors de la montée des marches de Marcello Mio au Festival de Cannes 2024.

En somme, chaque apparition féérique sur le tapis rouge a été une célébration de la beauté, du style et du glamour, confirmant une fois de plus le Festival de Cannes comme le rendez-vous incontournable de la haute couture et de la haute joaillerie.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Le rideau s’est levé sur le 77e festival de Cannes au son des notes iconiques de Star Wars. Sous le charme de la musique de la saga de George Lucas, l’actrice française Camille Cottin a inauguré son discours de clôture en comparant avec humour le jury à « huit Jedi et leur maîtresse Yoda », faisant allusion à la présidente du jury, la réalisatrice Greta Gerwig. Dans un autre clin d’œil à la saga cinématographique américaine, elle a également qualifié les films en compétition de « 22 guerriers de l’alliance rebelle ».

Un moment solennel a suivi, avec la remise d’une Palme d’honneur à George Lucas, le visionnaire derrière Star Wars. Cette distinction, présentée par une autre légende du cinéma américain, Francis Ford Coppola, a été saluée par des acclamations enthousiastes du public et du jury. Ému aux larmes sur scène, le réalisateur-producteur de 80 ans a exprimé sa gratitude envers Coppola, déclarant : « Francis, c’est un grand ami, un grand frère, je le remercie pour ce qu’il a toujours fait pour moi. » Il a ensuite humblement partagé son émotion en ces termes : « C’est une boucle qui se ferme un peu. Je suis venu ici aujourd’hui pour vous remercier. Je ne suis qu’un gamin qui a grandi au milieu des vignes en Californie. C’est un grand honneur d’être ici. »

La cérémonie a également offert un hommage vibrant à l’impact durable de Star Wars sur la culture cinématographique mondiale. Un montage émouvant d’extraits de la saga, comprenant des répliques cultes telles que « Que la force soit avec toi » et « Je suis ton père », a captivé l’audience. Les responsables du festival de Cannes avaient préalablement salué George Lucas pour avoir élevé le blockbuster au rang de véritable art cinématographique et pour avoir procuré aux spectateurs du monde entier un plaisir cinématographique inégalé

0 commentaires
0 PinterestEmail

C’est une montée des marches toute en retenue et en douceur. Charlotte Casiraghi a foulé le tapis du Palais des festivals dans une délicate robe longue Chanel blanche avec le raffinement qu’on lui connaît.

Un éclat de raffinement au Festival de Cannes

La fille de la princesse Caroline de Hanovre a ébloui la Croisette lors de la 77e édition du Festival de Cannes. Vêtue d’une somptueuse robe longue blanche signée Chanel, Charlotte Casiraghi a illuminé le tapis rouge avant la projection du film Marcello Mio de Christophe Honoré. Sa tenue, ornée de boutons argentés et d’épaisses bretelles, provenait de la collection haute couture printemps-été 2020, témoignant de son goût impeccable et de son attachement à la maison Chanel. Sa présence a captivé les photographes et les invités, ajoutant une touche de grâce et de sophistication à l’événement. Charlotte est connue pour son engagement dans le monde de la mode, étant l’une des égéries de Chanel, et son apparition à Cannes ne fait que renforcer ce lien prestigieux.

 

 

Une présence remarquée et attendue, comme à son habitude

La nièce du prince Albert II, âgée de 37 ans, est une habituée de ce rendez-vous prestigieux, où les personnalités se succèdent pendant une quinzaine de jours. Contrairement à l’année précédente, Charlotte est apparue en solo, affichant un sourire radieux et savourant pleinement cette 77e édition.

Ces derniers temps, Charlotte Casiraghi se consacre à divers projets. Elle continue de développer son club littéraire, « Les Rencontres Philosophiques de Monaco », qui attire des penseurs renommés du monde entier pour discuter de thèmes variés. De plus, Charlotte a récemment collaboré avec Chanel pour des projets artistiques et culturels, consolidant ainsi son rôle d’ambassadrice de la maison de couture. Sa présence à Cannes ne fait qu’illustrer son influence continue dans les domaines de la culture et de la mode.

En marge du festival, Charlotte a également participé à plusieurs événements caritatifs, soutenant des causes qui lui tiennent à cœur. Son engagement social et son élégance naturelle font d’elle une figure incontournable du monde des célébrités. Sa venue à Cannes cette année, marquée par sa grâce et sa simplicité, a été l’un des moments forts du festival, rappelant à tous pourquoi elle est tant admirée et respectée

 

0 commentaires
0 PinterestEmail

La rétrospective du Festival de Cannes offre un voyage fascinant à travers plus de sept décennies d’histoire cinématographique, mettant en lumière les moments les plus emblématiques, les films inoubliables et les personnalités marquantes qui ont marqué cet événement prestigieux.

 

La Princesse Grace e Monaco et le réalisateur Alfred Hitchcock

 

Depuis sa création en 1946, le Festival de Cannes est devenu l’un des festivals de cinéma les plus renommés au monde, attirant chaque année des stars du grand écran, des réalisateurs talentueux et des amateurs de cinéma des quatre coins de la planète. L’histoire du festival est jalonnée de moments mémorables, de controverses, de découvertes cinématographiques et de célébrations de l’art cinématographique sous toutes ses formes.

Les premières éditions du Festival de Cannes ont posé les bases de ce qui allait devenir un événement cinématographique de renommée mondiale. En 1946, la toute première édition a présenté une sélection éclectique de films reflétant la diversité culturelle et artistique de l’époque.  Parmi les moments marquants des premières années, citons la Palme d’or attribuée au film « The Lost Weekend » de Billy Wilder en 1946, ainsi que la première montée des marches, une tradition emblématique qui est devenue l’un des moments les plus attendus du festival.

 Des films cultes tels que « Pulp Fiction » de Quentin Tarantino, « Apocalypse Now » de Francis Ford Coppola et « La Dolce Vita » de Federico Fellini ont tous été présentés en compétition à Cannes, marquant ainsi l’histoire du cinéma et du festival.  En effet, ces films emblématiques ont non seulement remporté des prix prestigieux, mais ont également laissé une empreinte indélébile dans la mémoire collective des cinéphiles des quatre coins du monde.

JOHN SCHULTS/REUTERS/NEWSCOM

UN FESTIVAL EN MUTATION AVEC SON TEMPS 

Les années 2000 ont vu l’émergence de nouveaux talents et de nouvelles tendances cinématographiques, avec des réalisateurs visionnaires tels que Pedro Almodóvar, Lars von Trier et Wong Kar-wai, qui ont tous été salués à Cannes pour leur contribution au monde du cinéma. En 2001, le festival a été marqué par une controverse majeure lorsque le jury, présidé par Liv Ullmann, a décerné la Palme d’or à « La Chambre du fils » de Nanni Moretti, suscitant des réactions mitigées de la part du public et des critiques.

Au cours des dernières années, le Festival de Cannes a continué à évoluer et à s’adapter aux changements de l’industrie cinématographique mondiale. Des débats sur la représentation des femmes dans le cinéma à la montée en puissance du cinéma asiatique, en passant par les discussions sur les nouvelles plateformes de distribution en ligne, le festival a été le théâtre de nombreux débats et réflexions sur l’avenir du cinéma. A ce jour,  le Festival de Cannes continue néanmoins d’être une vitrine exceptionnelle pour le cinéma mondial, offrant une programmation diversifiée de films allant des blockbusters hollywoodiens aux œuvres d’art indépendantes. Les apparitions marquantes sur le tapis rouge, les débats animés lors des conférences de presse et les projections exclusives continuent à captiver les cinéphiles du monde entier, faisant de Cannes un rendez-vous incontournable pour tous les passionnés. 

 

 

TROIS INTERRUPTIONS EN 75 ANS

Le Festival de Cannes, depuis ses débuts, a été marqué par trois interruptions notables seulement.  La première, en 1939, a été causée par le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, qui a plongé le monde dans un conflit dévastateur. La deuxième interruption majeure a eu lieu en 1968, lorsque les événements de Mai-68 en France ont déclenché une vague de contestation sociale sans précédent. La fronde des réalisateurs renommés tels que Jean-Luc Godard et François Truffaut, ainsi que des acteurs éminents comme Macha Méril et Jean-Pierre Léaud, a conduit à la clôture prématurée du 21e festival, en signe de solidarité avec les manifestants. Cette décision radicale a abouti à la non-attribution de la Palme d’Or cette année-là. Enfin, la troisième interruption s’est produite en 2020 en raison de la pandémie mondiale de Covid-19. 

ÉCLATS SUR LE TAPIS ROUGE DE LA CROISETTE 

Le tapis rouge du Festival de Cannes est devenu le théâtre de nombreuses apparitions mémorables de stars du cinéma, de célébrités et de personnalités influentes. Parmi les apparitions les plus remarquées, on compte celles de légendes du cinéma telles que Grace Kelly, dont l’élégance intemporelle et le charisme ont captivé les foules dans les années 1950 et 1960. Brigitte Bardot, avec son style audacieux et son charme irrésistible, a enflammé le tapis rouge à plusieurs reprises, attirant l’attention des médias et du public. Elizabeth Taylor ou encore Monica Bellucci , d’autres icônes du cinéma, qui ont également marqué les esprits lors de leurs apparitions à Cannes, ajoutant une touche de glamour hollywoodien et italien à l’événement. 

La Croisette se remémore évidemment encore de la montée des marches mythiques de Madonna en 1991. C’était sa première fois à Cannes, et elle avait décidé de marquer les esprits avec son aura sulfureuse. En bas des marches, la foule était en effervescence à l’approche de la chanteuse, qui arborait un large sourire et une grande cape rose. Cependant, ce n’est qu’une fois parvenue au sommet du tapis rouge que Madonna a révélé sa tenue iconique. Dévoilant sous le tissu bouillonnant l’une des pièces les plus emblématiques de l’histoire de la mode : un soutien-gorge signé Jean-Paul Gaultier aux seins coniques. Cette pièce n’était pas sans rappeler le célèbre corset porté lors du Blond Ambition Tour.  Plus récemment, des stars contemporaines telles que Cate Blanchett, Penélope Cruz et Marion Cotillard ont continué à faire sensation sur le tapis rouge avec leur élégance, leur style impeccable et leur présence charismatique. 

Quand Madonna secouait le Festival de Cannes avec un soutien-gorge Gaultier

UNE VITRINE EXCEPTIONNELLE POUR LA HAUTE COUTURE 

Chaque année, le tapis rouge de Cannes se transforme en un véritable défilé de mode où les célébrités rivalisent d’élégance et de style. Cet événement prestigieux offre une vitrine exceptionnelle pour la haute couture, la créativité et le raffinement, attirant l’attention de millions de personnes. Les stars du cinéma et de la mode sont soigneusement habillées par les plus grands designers, arborant des créations uniques et somptueuses qui captivent les regards et inspirent les tendances. C’est un spectacle à la fois glamour et captivant, où chaque tenue est scrutée et commentée dans les moindres détails. Les robes de soirée flamboyantes, les costumes impeccables et les accessoires étincelants ajoutent une touche de luxe et de prestige à l’événement, renforçant ainsi sa réputation de rendez-vous incontournable pour les amateurs de mode et de cinéma.

LE MAGHREB EN FORCE À CANNES

Le cinéma maghrébin a connu plusieurs moments de gloire au Festival de Cannes, recevant une reconnaissance internationale pour son excellence artistique et sa capacité à captiver les spectateurs du monde entier. Parmi les films Marocains primés à Cannes figurent des œuvres emblématiques telles que « Chronique des années de braise » de Mohammed Lakhdar-Hamina, qui a remporté la prestigieuse Palme d’Or en 1975, marquant ainsi une victoire historique pour le cinéma maghrébin. Plus récemment, « Sofia » de Meryem Benm’Barek a été honoré du Prix du meilleur scénario dans la section Un Certain Regard en 2018, pour son exploration courageuse des questions sociales et morales au Maroc. De même, « Les Chevaux de Dieu » de Nabil Ayouch a été sélectionné dans la section Un Certain Regard, offrant une représentation poignante de la vie dans les bidonvilles de Casablanca. « Mimosas » d’Oliver Laxe a reçu le Grand Prix de la Semaine de la Critique en 2016, mettant en valeur le paysage spectaculaire du Haut Atlas.

En 2022, « Le Bleu du Caftan » de la réalisatrice Maryam Touzani a remporté le Prix de la critique internationale au Festival de Cannes. C’est d’ailleurs la première fois que le Maroc remporte cette prestigieuse récompense à Cannes. Le long-métrage a été projeté en avant-première mondiale dans la sélection officielle « Un Certain Regard », aux côtés de 18 autres films du monde entier. L’accueil chaleureux réservé au film après la projection a été souligné par l’émotion des spectateurs et une standing ovation de plus de 15 minutes. Produit par Nabil Ayouch, également époux de la réalisatrice, et coproduit par Amine Benjelloun, « Le Bleu du Caftan »  aborde des thèmes universels tels que la transmission, la tradition et l’amour dans son sens le plus large.

La nouvelle de la participation de la réalisatrice marocaine Asmae El Moudir en tant que membre du jury de la catégorie « Un certain regard » au 77ème Festival de Cannes vient couronner une année exceptionnelle pour le cinéma marocain. La réalisatrice,  qui avait remporté le prix de la mise en scène de cette même section du festival cannois l’année dernière et qui a aussi remporté l’Étoile d’Or de la 20ème édition du Festival international du film de Marrakech, n’est la seule marocaine à officier cette année dans un jury du Festival de Cannes, puisque l’actrice marocaine Lubna Azabal préside celui des courts métrages et de La Cinef.Parmi les personnalités marocaines qui ont laissé une empreinte sur le tapis rouge de Cannes, figurent des figures emblématiques telles que Leila Bekhti, ou encore Maria Nadim, qui a suscité une admiration sans bornes de la part de ses fans lors d’une éclatante apparition sur la scène cannoise.

 

Sofia Essaidi, chanteuse, danseuse et désormais actrice, a également eu le privilège de fouler les prestigieuses marches du Festival de Cannes, ajoutant une touche de grâce et d’élégance à l’événement. Quant à Nabil Ayouch, réalisateur marocain de renom, il a marqué de son empreinte le festival avec ses films audacieux et engagés, montant les marches aux côtés de son équipe pour présenter ses œuvres cinématographiques captivantes. Dans cette constellation de talents marocains, nous retrouvons également la talentueuse actrice Fatima-Zahra Bennacer, qui a apporté une touche de glamour marocain à l’événement par sa présence et son charisme sur le tapis rouge. Abdellatif Kechiche, réalisateur marocain d’origine tunisienne, a également été salué pour ses films puissants et provocateurs, présentés en compétition à Cannes, tandis que l’actrice marocaine Nadia Fares a eu l’honneur de fouler elle aussi le célèbre tapis rouge.

0 commentaires
0 PinterestEmail

En plein festival de Cannes, la chanteuse Dua Lipa et la styliste Donatella Versace ont présenté une collection mode nommée Vacanza. Une collaboration presque naturelle entre créatrice et muse qui s’unissent pour le meilleur et le fashion !

Cannes ne sait littéralement plus ou donner de la tête avec cette constellation d’étoiles qui s’abat sur la capitale française du divertissement de luxe depuis le 16 mai. Entre le cinéma et la mode la galaxie du show biz fait déambuler les plus grandes stars d’un show à l’autre, d’une soirée à l’autre et d’un podium à l’autre. Celui du défilé Vacanza a fait tourner toutes les têtes. Une collection fruit d’une collaboration entre la chanteuse Dua Lipa et la créatrice de mode Donatella Versace pour un fashion show ultra pointu orchestré dans une villa de rêve à Cannes. Un défilé privé qui a fait encore plus monter la température dans la cité de la célèbre croisette. Une ligne forte en couleurs, en étoffes scintillantes et en beach wear ultra sexy, des valeurs communes que portent la chanteuse de 27 ans et la styliste italienne très proches depuis plusieurs saisons.

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par Versace (@versace)

Un vestiaire joyeux et vitaminé

Pour une première expérience dans la mode, la diva britanico-albanaise a livré un 10/10 au vu de toute l’effervescence qu’a provoqué le show sur la toile. Il faut dire que dévoiler cette collection dans la ville du soleil de la plage et des vacances est une idée lumineuse pour celle qui passe facilement de muse à co-créatrice pour la célébrissime griffe italienne dont elle est ambassadrice notamment pour la campagne automne-hiver 2021. La créatrice en herbe a choisi un vestiaire joyeux et vitaminé idéal pour les vacances mais version Versace et cela veut dire beaucoup de choses. La chanteuse du tube à succès New Rules s’est basée sur les règles de la maison milanaise dont les strictes codes mode de la griffe : le smoking oversize, les robes courtes et géométriques, les toilettes longues et sensuelles de soirée, le monochrome so chic et acidulé, les détails métalliques à profusion et surtout les fameux imprimés papillon et coccinelle, issus des archives de la maison.

 

0 commentaires
0 PinterestEmail

Lauréate du prix de la Critique FIPRESCI à Cannes pour son deuxième long métrage « Le bleu du caftan », Maryam Touzani continue son exploration du l’humain et sa quête nostalgique du Maroc d’antan où l’on prenait tout son temps à faire du beau et où les métiers nobles faisaient vivre. Rencontre avec une cinéaste au supplément d’âme. 

Maryam Touzani et Nabil Ayouch sur les marches de Cannes

  • Lors de la première du film, vous parliez du caftan de votre mère qui a plus de 50 ans et qui a été le point de départ du film. A quel moment vous vous êtes dit qu’il était possible de faire un film… ?

Cela a commencé pendant le tournage d’Adam. J’ai rencontré un homme dans la médina qui m’a beaucoup touché. J’ai ressenti des choses dans sa vie dont il ne parlait pas, des choses dans l’ordre du non-dit. J’ai imaginé sa vie, peut-être dans des faux raisonnements mais je sentais qu’il ne disait pas tout. Un homme marié, d’un certain âge. Il est venu semer une graine dans ma tête et il m’a ramené à des souvenirs d’hommes que je voyais sans vraiment voir quand j’étais petite. Des couples dont on parlait, quand le mari est homo, la femme le sait ou le sait pas. Et quand tu es petit, tu entends les choses sans les entendre. Tout ça est resté là, inconsciemment presque. Et puis il y avait ce caftan qui revenait dans ma vie. J’ai toujours été fasciné par ce caftan parce qu’il est tellement élaboré, tellement beau. Un caftan presque intouchable, qu’on ne pouvait pas voir pendant 2-3 ans, qui réapparaissait, qu’elle remettait. Je rêvais du jour où je pourrais le porter. Et le jour où je l’ai porté, j’ai ressenti quelque chose de très puissant. 

  • C’est pour cela qu’il y a une envie de raconter les métiers en voie de disparition ? 

J’ai toujours été sensible à tous les métiers qui disparaissent, à l’artisanat qui se perd. C’est vrai qu’avec le travail de mâalem, la question se posait de la transmission. J’ai commencé à en rencontrer plusieurs et de ce métier qui était en train de mourir. De la douleur que cela leur provoquait. J’ai eu la chance de porter ce caftan mais si ça se trouve, dans quelques années, le vêtement n’existera plus. Il défend un métier que j’ai envie de défendre aussi 

  • D’où vient cette nostalgie d’un temps que vous avez peu connu finalement ? 

Je ne saurais dire. J’ai toujours été comme ça. J’aime tout ce qui est ancien. Tout ce qui a une âme. J’adore les vieux livres. Je peux aller chiner, j’adore ça. Quand je cherche mes décors, c’est pareil. Je cherche toujours des lieux qui ont quelque chose en plus, des objets qui ont vécu. J’ai toujours été attirée par ça. Il y a quelque chose de naturel. C’est vrai qu’il y a quelque chose de l’ordre de la nostalgie et aujourd’hui je me pose la question du pourquoi. Souvent, parce que je sens qu’on est dans une société on l’on va trop vite. Et je n’aime pas aller trop vite, j’aime prendre le temps. Peut-être parce que je suis tangéroise ? (Rires). J’aime observer, j’aime regarder, j’aime prendre le temps tout simplement. Les Frères Karamazov , c’est un plaisir que de livre cet ouvrage même si massif mais j’aime me plonger dans quelque chose. Dans mes films, il n’y pas de portables ou de Tv. Même si c’est contemporain. Mais c’est un choix. 

  • Il y a la notion du temps mais aussi de l’espace. Le huis clos revient dans les deux films, dans des médinas où l’on ne sort pas… D’où vient cette notion de huis clos ?

Le huis clos est pour moi une façon de me rapprocher de mes personnages. J’aime être en immersion avec eux. Me couper du monde extérieur. Ce sont des personnages qui sont ancrés dans une réalité sociale qui va définir qui ils sont, définir leur lutte. Leur évolution. Et ce qui m’intéresse, c’est de voir ce qui se passe à l’intérieur. Cette intériorité me fascine. J’ai envie d’être avec eux. On a le bruit de l’extérieur, on ressent la proximité des voisins. Cette énergie collective où l’on vit tout ensemble. Et puis c’est contraignant parce que l’intimité n’existe pas. Halim vit en cachette, il a plein de choses à étouffer. Et même s’il y de l’intimité, tout est visible par l’autre. C’est cette dualité qui m’intéresse. 

  • Dans le film, la dimension émotionnelle est visible à l’œil nu, tel un personnage. Comment écrit-on l’émotion ?

En la ressentant tout simplement. Quand j’écris mes scénarios en général, je suis dans tous mes états. Je les vis. Je n’écris jamais en réfléchissant. J’écris, j’écris, j’écris. Je ne réfléchis pas les scènes. J’ai l’impression que les personnages ont leurs vies, et que je ne fais que les accompagner. Et j’ai l’impression de découvrir et d’apprendre des choses avec eux. C’est comme s’ils me tenaient la main. C’est très beau. Moi je suis juste à l’écoute. Je suis dans l’émotion pour écrire l’émotion, et ne pas essayer de l’intellectualiser. Dans l’écriture, je sais souvent ce que je veux. Comme ce ne sont pas des histoires à rebondissements, la tension émotionnelle est primordiale et je suis très attentive à cela. Même pendant le tournage. Afin de ne rien perdre de l’émotion. 

Maryam porte un caftan de sa maman, à la découpe rétro et aux finitions traditionnelles

  • Est-ce que beaucoup de choses changent entre l’écriture et le tournage ?

Il n’y a pas beaucoup de choses qui changent. On peut imaginer une scène d’une certaine manière. Et on peut la tourner, et se retrouver avec quelque chose de différent, qui va raconter quelque chose de plus puissant. Je suis très précise dans l’écriture, il n’y a pas en général d’improvisation mais quand il y a des choses qui arrivent, parce qu’elles doivent arriver, je suis à l’écoute. Je ne suis jamais dans la répétition de l’émotion. Jamais. J’aime beaucoup travailler les scènes en amont mais en discutant, pour comprendre. Pas en répétant. L’émotion, j’aime bien l’avoir au moment de tourner. Je vais aller la chercher à ce moment-là. Le spontané. 

  • Comment pensez-vous les acteurs, le casting ? Pour ce genre de personnages, il faut du viscéral, du brut … ?

Je savais pour Lubna. Il y a une puissance et une vérité chez Lubna. Il n’y a pas de demi-mesure. Elle avait envie de ressentir la mort dans son corps. Cette quête de vérité me touche. Pour un réalisateur, c’est un beau cadeau. C’est très rare. C’était un tournage très difficile pour elle, elle a fait face à la mort d’un proche et elle n’a rien lâché. C’est quelque chose de plus fort qu’elle. Pour Ayoub, il avait ce talent, cette passion, ce quelque chose en plus. Pour Saleh, j’ai fait un casting très large au Maroc et dans le monde arabe. A un moment donné, il a été question d’un comédien marocain mais je voulais un investissent total pour ce personnage. Finalement j’ai continué à chercher. J’ai rencontré Saleh et j’ai senti qu’il avait compris le personnage de Halim. Il n’est pas du tout dans la prestation. 

  • Il y a aussi beaucoup de pudeur dans la réalisation, dans les scènes. On ne montre presque rien …

Je voulais être dans l’émotion de cet homme, de ce qui le torturait, de ce qu’il cachait. A aucun moment, je n’ai eu besoin de montrer pour mieux raconter Halim. J’ai écrit les choses comme je le ressentais. Un homme derrière une porte montre plus, que de montrer. 

  • Comment ne pas tomber dans le cliché de la femme qui est dans le déni ? Cette histoire d’amour est bien réelle même si Halim ne l’aimera jamais comme une femme…

Elle le choisit parce qu’elle l’aime. Rien ne l’oblige à être avec elle. C’est quelqu’un de pur et de noble. Ils ont redéfini leur amour, le couple et ils ont réussi à trouver le bonheur. Elle part parce qu’elle doit partir. J’avais envie d’une remise en question de Mina, elle l’a protégé de la société. Comme une mère qui le couve. Et comme une mère au moment de mourir, elle se demande comment le laisser, est-ce qu’il est prêt ? Elle voit, que cette fois-ci il est amoureux. Et elle voit que Youssef est bon. Elle fait un geste d’amour, un dernier geste d’amour en l’intégrant. De laisser son mari heureux, c’est la plus belle chose qu’elle puisse faire. 

  • Le film est construit au fur et à mesure du travail du mâalem. Est-ce que c’était une évidence pour vous ?

J’ai toujours imaginé le caftan traverser le film, qu’il évoluerait en même temps qu’évoluerait l’histoire et les personnages. C’était ce bleu, ce tissu. J’avais envie de passer de cette matière fluide, à quelque chose qui prend forme. Quelque chose de concret. Qui se fait avec les trois. Quelque chose qui se fait à 3 mains. 

CANNES YA MAKAN : MARYAM TOUZANI ARBORE LE CAFTAN DE SA MÈRE

  • Vous devenez la réalisatrice des minorités quelque part …

Ce qui m’anime avant tout c’est l’humain. Je veux raconter l’humain à travers l’intime. J’aime être dans le quotidien de mes personnages, dans les petits gestes. J’aime raconter des personnages avant tout, et à travers un intime. Cela ne veut pas dire que je me ferme à cela. Ou que je n’irai pas en extérieur mais encore une fois je ne rationalise jamais. Je n’intellectualise pas. J’aime avoir le luxe de passer du temps avec mes personnages dans l’intimité. 

NABIL AYOUCH AU PLUS PRÈS DU CINÉMA MAROCAIN

0 commentaires
0 PinterestEmail

Magnifique Montée des marches pour le couple Nabil Ayouch et Maryam Touzani en ce samedi 28 mai 2022, jour de cloture du 75è Festival de Cannes. La réalisatrice dont le film est primé du prix de la critique Internationale (FIPRESCI) portait un caftan de sa maman.

Nabil Ayouch et Maryam Touzani aux cotés de lactrice Lubna Azabal, héroine du film « Le Bleu du Caftan »

Aux bras de son mari Nabil Ayouch, son grand amour, le papa de son fils et son mentor pour le cinéma, l’ex=journaliste, réalisatrice, scénariste et co=productrice a foulé le tapis rouge cannois de façon magistrale dans un caftan de sa maman. Sur les crépitements de flash sur celle qui a été honorée jeudi dernier d’une grande consécration inédite pour son pays et pour le cinéma marocain par le prix décerné à son film « Le Bleu du Caftan », celui qu’elle portait, était lui de couleur noir et or, à la découpe rétro et aux finitions traditionnelles, noué à la taille par un simple Majdoul, une toilette finement coordonnée au smoking parfait de son mari.

Maryam porte un caftan de sa maman, à la découpe rétro et aux finitions traditionnelles

Le couple Ayouch, par cette belle vitrine sexy et glamour d’un Maroc beau et brillant, a fait du caftan un bel étendard made in Maroc de liberté, de modernité et de force.

0 commentaires
0 PinterestEmail

De fil en aiguille, Maryam Touzani dresse un portrait plein d’humanité et de délicatesse d’un couple qui s’aime malgré la maladie, malgré l’identité non assumée. Malgré tout. Le Bleu du Caftan présenté dans la section « Un Certain Regard » est une œuvre qui tisse l’émotion à la caméra comme on tisserait un caftan traditionnel à la main. Bouleversant. 

Equipe du film « Le.Bleu du Caftan » @Christophe.Simon.AFP

Pour son deuxième long métrage et pour sa deuxième sélection à Cannes, Maryam Touzani choisit les traditions, la transmission, l’amour et la passion. Dans « Le Bleu du Caftan », la cinéaste marocaine puise dans la beauté et l’authenticité d’un vieux caftan de famille pour raconter le style, la grâce, la tristesse de voir un art ancestral disparaitre, la déchirure d’un amour interdit, d’un soi constamment caché. Dans cette deuxième œuvre, la cinéaste se révèle tout en continuant à braquer les projecteurs sur les minorités et les traditions qui se perd. Une Maryam Touzani nostalgique et passionnée qui pense sa narration tel un patron de caftan fait pour traverser le temps.

Le bleu de tes yeux

Halim et Mina sont unis par les liens sacrés du mariage sauf que Halim porte en lui un sacré secret. Halim est homosexuel. Malgré toute la tendresse et l’amour qu’il porte à sa compagne de vie, il vit ses moments de vérité dans un hammam, loin des yeux de la société. Quand Mina tombe malade, et que Youssef, un nouvel apprenti entre dans leur vie, le couple voit son équilibre chamboulé. La caméra de Maryam Touzani semble mue par un amour sincère de ses personnages, et une sensibilité bienveillante bienvenue. La réalisatrice puise dans la force et la passion d’acteurs qui crèvent l’écran. Saleh Bakri en couturier meurtri par la vie et l’enfance, qui a trouvé refuge dans un mariage de convenance qui l’apaise et le guérit malgré tout , est saisissant. Son mutisme en dit long, son corps parle pour lui, et ses gestes sont précis. Il campe brillamment un Halim d’une pureté rare même s’il se sent souillé, un artiste souvent incompris, un amoureux transit. L’acteur palestinien a fait un travail admirable sur la darija faisant tomber les barrières de la langue et nous laissant saisir par la magie du cinéma. L’exercice sera plus difficile pour Lubna Azebal mais son charisme, son jeu subtil et sa présence la sauvent. Un aura qu’elle offre à la caméra de la cinéaste marocaine, faisant de chacun de ses passages, un moment de grande sincérité et de grâce. Une grande actrice qui prouve encore une fois un autre visage et prouve qu’elle est multidimensionnelle. Le couple à l’écran fonctionne. Leur complicité à l’écran est d’une rare sincérité. La prestation du jeune Ayoub Missioui est à saluer. Touchant, sa présence est justesse et douceur. Un trio convaincant !

Equipe du film Le Bleu du Caftan

Sauver l’amour

La force du film réside dans une mise en scène certes classique mais efficace. Les personnages et leurs trop plein de sentiments, ou pas assez,  sont au cœur de l’intrigue et au corps de la caméra, souvent rapprochée, dans ce huis clos d’une médina dont on ne sort pas. Du magasin à la maison, sauf un moment dans un café d’hommes sera la seule respiration. Une scène forte sublimée par la suivante, celle  d’un contrôle de police dans les rues qui fera ressortir tout l’interdit imposé par soi avant d’être imposé par l’autre. Les moments forts du film font oublier les maladresses. L’histoire se tricote au fil des minutes, la tension émotionnelle se met en place comme on s’appliquerait sur une broderie qui nécessite du temps et de la patience. On ne perd jamais le fil et l’on est happé par le sensoriel. Le toucher du tissu, le goût des clémentines, la magnifique odeur des caftans , les couleurs des ornements, la musique des ruelles, la vapeur du hammam dont on se lasse pas tant les moments cachés sont exquis.  La grande force de ce film réside probablement dans le fait d’avoir réussi à mettre en avant les fêlures sans les rendre trop grossières, dans un grand-huit émotionnel maîtrisé de bout en bout , dont , même les lenteurs donnent une dimension sensitive au film. Une œuvre ouvertement bienveillante dont la fin courageuse conforte la magie du cinéma. Une œuvre libre dont le bleu est celui de la vérité, de la fraîcheur, et de la pureté.

Lubna Azabal Le Bleu du Caftan

0 commentaires
0 PinterestEmail

Sur près de dix jours, le tapis rouge du Festival de Cannes voit défiler tant de robes et de toilettes très spéciales. Celles de Christophe Guillarmé en jettent sur la croisette. Étoffes et couture de très haute facture, absolu glamour, rock touch et ce on ne sait quoi qui donne le là et pointe les muses du couturier français. Top 10 des meilleurs looks du jour 1 au jour 8

75e Festival de Cannes - Tapis Rouge - Dressing Christophe Guillarme - Victoria Bonya - Hofit Golan - Agatha Maksimova - Blanca Blanco
Tapis Rouge du 75e Festival de Cannes pour le film ZHENA CHAIKOVSKOGO de KIRILL SEREBRENNIKOV - J02 - Adèle de Fontenay - longue robe Christophe Guillarmé en ruchés de tulle rose poudré & épaulettes en volume - parée par Iza-B - escarpins et pochette Carmen Steffens - Agathe de Fontenay - longue robe rose Christophe Guillarmé en brocard à relief & jupe drapée - parée par Iza-B - escarpins et pochette Carmen Steffens - coiffées par Eros Giuliani - maquillage par le Campus des Maquilleurs
Tapis Rouge du 75e Festival de Cannes - J01 - robe Christophe Guillarme - Agatha Maksimova - coiffure Eros Giuliani - Campus des Maquilleurs - Carmen Steffens - Iza-B
Tapis Rouge du 75e Festival de Cannes pour le film ZHENA CHAIKOVSKOGO de KIRILL SEREBRENNIKOV - J02 - Agatha Maksimova - mini robe bustier Christophe Guillarmé en organza blanc irisé à panneaux plissés - parée par Helena Joy Paris - escarpins et pochette Carmen Steffens - coiffée par Eros Giuliani - maquillage par le Campus des Maquilleurs
Tapis Rouge du 75e Festival de Cannes pour le film TRIANGLE OF SADNESS de RUBEN OSTLUND - J05 - Agatha Maksimova - longue robe chemise Christophe Guillarmé en jacquard gris bleu ornée de dorures - parée par le joaillier Gil Neuhaus - escarpins et pochette Carmen Steffens - coiffées par Eros Giuliani - maquillage par le Campus des Maquilleurs
Tapis Rouge du 75e Festival de Cannes - J03 - montee des marches pour le film ARMAGEDDON TIME de JAMES GRAY - robe Christophe Guillarme - Agatha Maksimova - paree par Helena Joy Paris Lison di Martino paree par Iza-B coiffure Eros Giuliani - Campus des Maquilleurs - pochette Carmen Steffens
Tapis Rouge du 75e Festival de Cannes pour le film ARMAGEDDON TIME de JAMES GRAY - J03 - robe Christophe Guillarme - Lison di Martino - paree par Iza-B - coiffure Eros Giuliani - Campus des Maquilleurs - pochette Carmen Steffens
Tapis Rouge du 75e Festival de Cannes - J02 - robe Christophe Guillarme - Blanca Blanco - coiffure Eros Giuliani - Campus des Maquilleurs - Carmen Steffens - Helena Joy Paris
Tapis Rouge du 75e Festival de Cannes pour le film LES AMANDIERS de VALERIA BRUNI TEDESCHI - J06 - Letizia Pinocci - longue robe Christophe Guillarmé rose en brocard à relief & jupe drapée - parée par le joaillier Gil Neuhaus - escarpins et pochette Carmen Steffens - coiffée par Eros Giuliani - maquillage par le Campus des Maquilleurs
Tapis Rouge du 75e Festival de Cannes pour le film HEOJIL KYOLSHIM de PARK CHAN-WOOK - J07 - Angelina Kali - maxi robe Christophe Guillarmé en tulle appliqué beige et bleu & manches ¾ brodées de plumes bicolores - parée par Iza-B - pochette Carmen Steffens - coiffée par Eros Giuliani - maquillage par le Campus des Maquilleurs
Tapis Rouge du 75e Festival de Cannes pour le film THREE THOUSAND YEARS OF LONGING de GEORGE MILLER - Patricia Contreras - robe bustier Christophe Guillarmé en tulle doré recouverte de cristaux - parée par le joaillier Gil Neuhaus - pochette Carmen Steffens - coiffée par Eros Giuliani - maquillage par le Campus des Maquilleurs
Tapis Rouge du 75e Festival de Cannes - J01 - robe Christophe Guillarme - Victoria Bonya - Hofit Golan - coiffure Eros Giuliani - Campus des Maquilleurs - Carmen Steffens - Helena Joy Paris
75e Festival de Cannes - Tapis Rouge - Dressing Christophe Guillarme - Victoria Bonya - Hofit Golan - Agatha Maksimova - Blanca Blanco
L'actrice américaine Blanca Blanco dans une longue robe à manches Christophe Guillarmé en tulle jaune rebrodée de baquettes argentées en motif floraux parée avec de la joaillerie Neuhaus, escarpins et pochette Carmen Steffens coiffée par Eros Giuliani, maquillage par le Campus des Maquilleurs
Ophély Mézino, 1ʳᵉ dauphine de Miss Monde 2019 & Miss Europe, dans une longue robe Christophe Guillarmé à encolure bateau en tulle rouge imprimé toile de Jouy
Lou Ruat, 1ère dauphine Miss France 2020 dans une maxi robe bustier Christophe Guillarmé en tulle froissé bleu à volutes autour de la taille parée par Helena Joy Paris
L'actrice et mannequin Agatha Maksimova dans une robe longue Christophe Guillarmé en tulle pêche au buste asymétrique & jupe en accumulation de ruchés
L'actrice Francesca Tizzano dans une longue robe Christophe Guillarmé encolure bateau en tulle rouille appliqué de dentelle argentée parée par Elsa Lee Paris
Eva Navarro, Miss Provence 2021 dans une longue robe bustier Christophe Guillarmé en tulle rouge au buste en satin duchesse, parée par le joaillier Gil Neuhaus, sandales et pochette Carmen Steffens, coiffée par Eros Giuliani, maquillage par le Campus des Maquilleurs
0 commentaires
0 PinterestEmail

La griffe française a habillé nombre de stars pour la 75è édition du festival de Cannes dont évidemment leur actrice chouchoute, Marion Cotillard.

Marion Cotillard en robe disco Chanel

La comédienne française était sublime dans une mini robe scintillante de jour pour le photocall de son film « Brother and Sister »

La rock attitude de la marque au double C ne s’est pas seulement affichée en journée mais également sur le tapis rouge du festival de cinéma à l’instar de Vicky Krieps qui arborait un sublime costume blanc oversize, porté à même la peau.

Vicky Krieps en costume Chanel sur le tapis rouge du festival de Cannes

L’actrice était tout aussi rayonnante dans une robe bleu éclatant dans le meme esprit couture frais et nonchalant.

 Vicky Krieps sur le tapis rouge du Palais des Festivals lors du festival de Cannes, en robe Chanel

0 commentaires
0 PinterestEmail
Are you sure want to unlock this post?
Unlock left : 0
Are you sure want to cancel subscription?

Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. Accepter Lire Plus

Politique de confidentialité & de cookies
-
00:00
00:00
Update Required Flash plugin
-
00:00
00:00