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Alors que sa petite soeur vient de dire OUI à son fiancé, lors d’un week end romantique à Monaco, Jamel Debbouze s’offre une jolie virée marocaine. Visite culturelle, diner à la Table Clandestine ou encore virée en taxi rouge… Jamel Debbouze profite bien de son passage au Maroc.

L’époux de la journaliste et productrice Melissa Theuriau s’est d’abord rendu au Comptoir des Mines où il a pu apprécier les œuvres d’artistes marocains contemporains. Sur Instagram, la galerie d’art a tenu à remercier l’humoriste pour sa visite.

« La meilleure surprise de notre week-end, la visite inopinée de Jamel Debbouze venu découvrir l’incroyable exposition de Simohammed Fettaka, et l’occasion aussi pour lui de découvrir notre lieu unique.
Face aux œuvres de @simohammed_fettaka , @jameldebbouze s’est mis en scène avec une grande générosité pour inventer un dialogue empli d’humour et de bienveillance.
Merci @jameldebbouze pour le rayonnement du Maroc contemporain », peut-on lire en légende des nombreuses photos et vidéos partagées le week-end du 3 juillet.

DÉGUSTATION DE RFISSA AROMATISÉE

Le fondateur de la Table Clandestine était également ravi de faire découvrir ses plats à l’humoriste marocain. Le Chef Baya s’est emparé d’Instagram pour partager les bons moments passés en sa compagnie. À la vue des vidéos, l’ambiance semblait joyeuse et bon enfant.

 

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De passage à Casablanca, Jamel en a profité pour partager une belle vue sur la ville à son million d’abonnés.

 

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Après un dîner en compagnie notamment, du rappeur El Grande Toto ou encore du styliste Amine Bendriouich, Jamel Debbouze a décidé de rentrer chez lui au volant d’un petit taxi casablancais. Ce qui n’a pas manqué d’amuser la toile. Postée ce 8 juillet, la publication a déjà suscité près de 20 000 réactions.

 

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Une nouvelle aventure commence à Paris pour Achraf Hakimi et sa famille ! Le footballeur marocain âgé de 22 ans a rejoint l’équipe du Paris Saint-Germain ce 6 juillet 2021. Fier de franchir cette nouvelle étape, l’ancien défenseur de l’Inter Milan a pu compter sur le soutien de sa femme, l’actrice Hiba Abouk, de sa mère et sa sœur, qui avaient fait le déplacement pour célébrer l’événement. Des moments privilégiés immortalisés en quelques clichés. Retour en images sur ces moments riches en émotions.

Dès son arrivée à Paris, la star du ballon rond a tenu à remercier ses 4 millions de « followers » sur Instagram: « Heureux de cette nouvelle étape dans ce grand club qu’est le PSG. Hâte de débuter et de pouvoir jouer au Parc des Princes. Merci à tous mes supporteurs et à ma famille qui m’ont toujours soutenu.
Ici c’est Paris!💙 ».

 

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HIBA ET ACHRAF, UNE FAMILLE UNIE AUX COULEURS DU PSG

« Tellement contente de revenir à Paris avec ce que j’aime de plus au monde: ma famille », c’est ainsi que Hiba Abouk a tenu à féliciter l’homme de sa vie sur les réseaux sociaux. Pour l’occasion, l’actrice de 35 ans a opté pour une élégante robe rouge bordeaux unie, tandis que son mari portait un costume bleu marine et un t-shirt blanc. Leur fils, Amine – dont l’identité est préservée – était adorable dans les bras de ses parents à qui il était également assorti.

 

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Tous les deux nés en Espagne, Hiba Abouk et Achraf Hakimi ont officialisé leur union en 2018.

Amine, le fruit de leur amour, est né en fin d’année 2020.

Star du petit écran en Espagne pour ses rôles dans de célèbres séries télévisées telles que La isla de los nominados ou El Principe, Hiba Abouk est également une star d’Instagram. L’actrice franco-tunisienne  compte un million d’abonnés sur ce réseau social. Elle y partage de nombreuses photos de familles, des instants de vie et des photos professionnelles.

Encouragé par leur entourage sur les réseaux sociaux, le couple est heureux de faire de son rêve, une réalité.

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Ses déclarations ont fait le tour des médias, Samira Saïd se confie à coeur vraiment ouvert dans la chaine égyptienne DMC.

 

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La chanteuse marocaine, très discrète sur sa vie privée, sa famille et se deux mariages, a livré lors d’une émission sur une chaine égyptienne un beau témoignage d’amour à son public égyptien et à ses fans dans le monde en parlant de son enfance, son premier amour, son intimité familiale et professionnelle.

SON PREMIER AMOUR

Très touchante déclaration que celle de son tout premier béguin, « J’avais 5 ans quand j’ai aimé pour la première fois ! », confie la belle brune, « Il s’appelait Othman Bennouna, j’avais 5 ans, c’était mon voisin, il prenait ma main et on allait ensemble à l’école. Je l’aimais énormément mais c’était à sens unique ».

SON TÉMOIGNAGE POUR FEU HASSAN II

Très engagé pour l’art en général et la chanson marocaine en particulier, Feu Hassan II, s’entourait souvent d’artistes marocains et Samira Said en faisant partie,  « Il avait un sens artistique hors pair. C’était un grand connaisseur de la musique, il jouait de l’accordéon et dirigeait lui-même le célèbre orchestre « Firqa Al Massiya ». C’était un maestro au vrai sens du terme. J’avais peur lorsque je devais chanter devant lui, je devais être à la hauteur (…) il était très fier de moi et avait foi en moi, il était sûr que j’allais devenir une star. Il disait souvent : « l’Egypte a Abdelhalim Hafez, nous, on a Samira ».

SES PARENTS TOLÉRANTS

La diva de 63 ans à la plastique parfaite, n’en a bien sur pas omis de parler de ses parents et de sa relation avec eux, évoquant une vie simple « On avait une vie heureuse. La vie était simple à l’époque. La famille Bennani de ma mère étaient des gens éclairés, cultivés et ouverts, les femmes étaient éduquées à l’époque, elles étaient très chics et s’habillaient à l’occidentale, en mini-jupe, elles avaient la curiosité du savoir et évoluaient avec leur temps. Contrairement à la famille rbatie de mon père qui était elle, nettement plus conservatrice », confie la chanteuse avant de préciser que son père était très ouvert et la « laisser chanter à seulement 9 ans » en témoignait grandement.

La chanteuse maman de Chadi, une vingtaine d’année s’est mariée à deux reprises, avec le célèbre musicien égyptien Hani Mhana, quatre année durant et l’homme d’affaire Mustapha Naboulsi, avec lequel la star s’est séparée en 1999. Le couple vivait à distance entre les USA où résidait le père de son fils, et le Maroc où elle vivait à l’époque.

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Les amours de Gad Elmaleh et Charlotte Casiraghi n’ont pas fini d’inspirer l’humoriste marocain qui y revient dans ses sketchs et en parle aux médias.

Une fois encore, Gad est revenu sur son idylle avec la fille de Caroline de Monaco. Et non ce n’est pas sur le plateau de « Rachid Show » que le franco-marocain a évoqué sa vie au coeur de la cour monégasque mais sur l’antenne de RTL, « Monaco ça fait partie d’un moment de ma vie qui est vrai. Je ne raconte que des choses vraies, mais je raconte plus mon inadaptation que de me moquer de la famille princière » explique l’humoriste qui s’était donné un long moment d’improvisation sur la famille princière de Monaco lors d’une représentation à Casablanca il y a quelques années. Le casablancais avait fait le tour de ses expériences et son union avec Charlotte Casiraghi a bien compté « il y a Monaco, il y a l’expérience aux Etats-Unis, il y a l’arrivée en France, il y a la paternité » raconte le père de Raphael qu’il a eu avec la nièce du prince Albert, né en 2013.

Ce 6 mai, le comédien raconte cette relation de près de cinq années qui n’a pas eu raison des disparités entre les deux mondes du couple qui s’est séparé en 2015 « C’est plus une observation sur moi, moi qui me trimballe dans plusieurs univers et qui est toujours en décalage ». Mais le marocain du quartier Ziraoui de la ville blanche se réjouit de cette double culture pour l’épanouissement de son fils « Ce que j’essaye d’expliquer aux gens, c’est qu’il n’y en a pas un qui est mieux en fait. C’est juste que ça se complète, on s’enrichit et mon fils s’enrichit de ces deux univers et de ces deux cultures. Mais j’aime jouer de ça, j’aime faire un peu le blédard moi, j’aime bien montrer que je suis inadapté et ça donne plus de comédie ».

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Alber Elbaz est mort en cette nuit du samedi 24 avril 2021. L’enfant surdoué de la mode a succombé à la covid à 59 ans.

UNE VIE BIEN DESSINÉE 

Alber Elbaz se dit un pur juif du Maroc. Le styliste est né à Casablanca et s’est forgé à Tel Aviv, entouré de sa mère peintre et de ses autres frères et soeurs (son père, coiffeur, étant décédé quand Alber était tout petit). À 5 ans, le petit Alber griffonne déjà des croquis de robes de Princesses. À 19 ans, il prend le cap de New York et son destin de créateur de talent né, en main.

UNE CARRIÈRE DRAPÉE DE SATIN ET DE CHAGRINS

Après 16 années à New York entre une maison de couture pour mariées et au coeur de la maison Geoffrey Beene, styliste américain mordu de design, Paris finit par accueillir le jeune prodige en 1996 au coeur de la maison Guy Laroche puis à la tête de la direction prêt à porter Rive Gauche chez Yves Saint Laurent. Une courte virée milanaise d’une année seulement chez Gucci, le ramène en grandes pompes à Paris en 2001 pour le poste de sa carrière. Le brillant créateur d’origine marocaine a fait sa gloire et celle de la maison Lanvin en tant que Directeur artistique quatorze années durant. Son départ en 2015 a fortement résonné dans la sphère mode parisienne « Sortir comme ça… Quelle blessure ! Cette maison, je n’arrive toujours pas à en prononcer le nom… Ce fut une déchirure. Monter peut être facile. C’est rester en équilibre au sommet qui est difficile. », s’était confié le créateur à Paris Match faisant référence à la plus ancienne maison française encore active.

DE MODELS ULTRA-FÉMININS À DES MUSES DIGITALES

Alber Elbaz fut incontestablement l’un des créateurs les plus sensibles à la féminité désirable. «  Notre métier en tant que designers est d’écouter, pour comprendre. Durant toute ma carréère, j’ai toujours travaillé avec des femmes et pour des femmes » a déclaré le créateur en 2019. Ses années Lanvin ont arrosé le monde de tant de beauté, de grâce et de séduction. Les plus grandes stars d’Hollywood déambulaient sur les tapis rouges dans les drapés renversants du créateur à l’instar de Meryl Streep qui avait reçu son Oscar en 2012 pour « Iron Lady » vêtue d’une toilette en lamé doré. Cinq années après son départ de Lanvin, le couturier revient en force. Pointu dans son monde et à l’écoute des bouleversements de la machine de la mode, il réinvente le luxe et le traduit dans la grammaire du web en créant sa propre boite, AZ Factory, une startup qui prône une nouvelle vision fashion technology. Le natif de Casablanca troque son crayon contre un clavier d’ordinateur et façonne ainsi avec intuition et émotion sa marque de luxe accessible, la première maison de luxe 100% digitale. Succès immédiat sur les plateformes digitales de e-commerce avec un premier fashion show le 20 janvier dernier. Mais un très court ultime succès pour l’artiste au look de clown.

 

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Repose en paix l’artiste!

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Salam, voilà comment Aouatefe Lahmani nous salue pour notre petite rencontre au coeur des Studios Tartar Colors. Tout est pointu sur toute la ligne, tout est fidèle à la personnalité de cette jeune marocaine de France qui cache bien son jeu de comédienne née. Oui. Car la jolie brune se dit petite, inexpérimentée, l’humour pour elle « est une forme d’intelligence qu’elle n’a pas »! Martèle-t-elle durant tout notre entretien, « Cela demande un grand sens de la répartie, une très grande culture et une faculté certaine pour l’improvisation », renchérit-elle au moindre compliment. Et pourtant ce petit bout de femme qui a ouvert les yeux à Besançon dans une famille ordinaire de trois enfants, sera visiblement la star du petit écran marocain lors de ce Ramadan. « Ah ça je ne sais pas! En tous les cas je serais sur le petit écran des marocains et cela me réjouit! » nous répond elle pour détourner notre compliment.

@tartarcolors

L’actrice française joue le rôle de Hind, une fille espiègle, légère, un peu superficielle, une petite bourgeoise de la bonne société casablancaise, mariée à Ahmed qui dirige l’entreprise familiale de son beau-père. Hind passe son temps dans les futilités de la consommation du luxe, n’ayant pas d’enfant d’un mari déjà père de deux petits garçons d’une autre femme, « Ce qui est excitant c’est de rencontrer enfin le public marocain car la télé ce n’est pas le cinéma. La télévision nous rapproche des gens nous plonge dans leur quotidien, dans leur intimité. Pour le cinéma c‘est les gens qui viennent nous voir sur grand écran. Et ce qui fait peur? ce sont les mêmes choses! (Éclats de rires). Tout un tas de questions que l’on se pose sur nous, notre personnage, notre travail… Pour ce dernier tournage, mon stress est plus grand. La série est prévue sur 2M avec comme téléspectateurs tous les marocains du monde et puis l’autre appréhension c’est la Darija! Et dans ce registre toutes mes lacunes sont mises à nu ».

La séance photo opère dans une folle effervescence mesurée. L’actrice joue le jeu du top model avec brio et arbore son propre vestiaire, des silhouettes monochromes, des lignes masculines avec cette féminité discrètement sexy qui caractérise sa personnalité « ma marque fétiche est Yves Saint Laurent et j’adore les épaulettes oversize de Balmain ». Une boule d’énergie et un souffle de joie se dégage de cette femme-enfant qui ne supporte pas l’acidité du citron et sourit aux bonbons, « Dire les choses qu’on pense, donner de l’amour, faire des compliments, ça fait du bien surtout en ces temps durs ».

DU CINÉMA AU CINÉMA EN PASSANT PAR L’HUMOUR

Voilà le parcours atypique de notre « Gaourya » comme aime à l’appeler les marocains d’ici, depuis qu’elle fait des allers-retours entre la France et le Maroc. « La France c’est ma mère dans le sens où elle m’a mise au monde, j’y suis née et j’y ai grandit et le Maroc c’est mon père, je me suis aussi forgée dans la culture marocaine, j’ai commencé le cinéma au Maroc, je travaille au Maroc ».  

Tout a commencé pour Aouatefe sur des plateaux de cinéma en tant que chargée de production et de casting. Six années suffisent pour réunir son courage et sa passion pour le 7ème art et oser taper aux portes des cours Florent. Le pari est gagné, Aouatefe réussit et les productions s’enchainent à l’Étranger comme au Maroc, « La Moitié du Ciel » de Abdelkader Lagtaa, l’excellent « Amal » de Aida Senna, « Hayat » de Raouf Sebbahi, l’étonnant « Sound of Berberia » de Tariq El Idrissi, ainsi que des productions étrangères tournées entre autre à Ouarzazate. La talentueuse brune vient d’achever pendant cette année écoulée très spéciale, le tournage de la série « Bab Al Bahar » de Chaouki Elofir et « Atoman » de Anouar Moatassim où elle joue une spéologue. « Le tournage fut sensationnel avec tous les paysages et les aventures programmés, à Erfoud, Taza, Al Houceima entre autre » se réjouit Aouatefe.

« JE N’AI PAS LÂCHÉ L’HUMOUR, CELA FAIT TOUJOURS PARTIE DE MOI »

« L’humour est venu à moi par pur hasard ». L’alsacienne a toujours été entourée d’humoristes à Paris, au coeur de la célèbre scène ouverte du Paname. « Il m’est arrivé être appelée pour des vidéos, comme ce fut le cas avec Mohamed Nouar et la vidéo a cartonné. Et depuis il a suffit d’une rencontre au Maroc avec mon amie l’humoriste marocaine Hamaka, pour que mon histoire avec l’humour commence. Ce fut au Studio 2M pour le Jamel Comedy Club. Une première expérience inattendue où je devais écrire un sketch et l’interpréter. Et dire que le propriétaire du Paname me demandait toujours de me lancer. Le lendemain, mon sketch était prêt ». En éclatant de rire, l’humoriste se remémore son grand défi de le présenter en Darija face à Debbouze pour Jamel Comedy Club dans les studios de 2M, « J’y ai cru quand je me suis vue à la télé, ce fut ma plus belle expérience ». Une victoire pour elle d’autant que Jamal l’a félicitée, « Il parait que c’était ta première fois et qu’en plus tu ne maitrises pas la Darija, bravo! Continue ». Si l’humoriste a lâché le Stand up pour se libérer pour ses longs-métrages, Aouatefe a poursuivi la scène, le théâtre, la comédie, l’écriture, avec notamment deux cent représentations en deux ans pour la pièce « Mariage à Ranger », « je n’ai pas lâché l’humour! Cela fera toujours partie de moi, dans mes web-séries ». « Je reprendrai certainement un jour ou l’autre ».

@tartarcolors

« MA FAMILLE ME SOUTIENT DANS TOUT CE JE FAIS, TOUTES MES CONNERIES »

Aouatefe parle en douceur de sa famille originaire de Meknès. Fière de sa grande soeur, maman de quatre enfants « elle est mon héroïne », confie la comédienne qui se dit prête à tous les rôles qui vont titiller sa passion, stimuler son talent, sans tabous ni limites artistiques « Raconter des histoires et passer des émotions c’est notre métier, si un rôle me touche je fonce mais je garde en tête mes neveux ; pour ma nièce, je suis son modèle littéralement! Et je n’ai pas envie de la décevoir », s’émeut la réalisatrice de web-séries. « La première fois que ma grand-mère m’a vue à l’écran dans un rôle de servante, elle n’a pas regardé le film car elle n’a pas compris pourquoi  je ne joue pas une avocate aisée par exemple! Avec cette série de Ramadan, elle sera servie! ». Ma famille pense comme la majorité des gens, pour eux « quand on fait du cinéma on devient une star forcément alors que non, c’est un métier comme tous les métiers », explique l’actrice fan de « David Fincher », folle de « Ryan Gosling », ne jure que par « Fight Club », plongerai sans fin dans le Prophète de Khalil Gibran, tout en supportant qu’on lui dise « Zmagrya » et qui rêve d’incarner Wonder Woman, sans en avoir « les aptitudes physiques » pense-t-elle, « mais je travaillerai pour le rôle ».

@tartarcolors

Dans un mois, nous retrouverons la jeune actrice sur le petit écran pour ce qui sera une grande série de Ramadan « Le Ramadan pour moi est un moment de partage en famille, on se retrouvait pour préparer la table du ftour, c’est aussi un mois de remise en question de soi-même, de sa vie, de ses convictions… ».

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SM le Roi Mohammed VI, toujours au plus près du développement bilatéral, économique, culturel et social du continent africain, a relancé plusieurs projets entamés avec le Nigéria, selon un communiqué du cabinet royal. 

« Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Que Dieu L’assiste, a eu, ce jour, un entretien téléphonique avec le Président de la République Fédérale du Nigéria, Son Excellence Monsieur Muhammadu BUHARI.

Au cours de cet entretien, les deux Chefs d’Etat se sont félicités de la dynamique positive que connaissent les relations bilatérales dans tous les domaines, depuis la Visite Royale au Nigéria en décembre 2016 et celle du Président BUHARI au Royaume en juin 2018.

Sa Majesté le Roi, Que Dieu L’assiste, et le Président Muhammadu BUHARI ont marqué leur détermination commune à poursuivre et concrétiser, dans les meilleurs délais, les projets stratégiques entre les deux pays, particulièrement le Gazoduc Nigéria-Maroc et la création d’une usine de production d’engrais au Nigeria.

Le Président BUHARI a remercié Sa Majesté le Roi pour l’appui solidaire du Royaume dans la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent, notamment à travers la formation des Imams nigérians à l’Institut Mohammed VI de Formation des Imams, Mourchidines et Mourchidates ».

 

MAP

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À 5 ans elle pédale sur la machine à coudre Singer de sa grand-mère et se fait piquer par la passion de la couture, des tissus, de la création … Costumière elle deviendra quelques années plus tard, pour le cinéma. Au coeur des plateaux de tournage des longs métrages marocains et tournés au Maroc, elle collectionnera les chutes des tissus et ce qui va avec en accessoires et rajoutera au quotidien, un joli galon à son esprit aiguisé pour la création et à sa vie si simplement et naturellement joyeuse. Ce don pour la couture et cet art de la récupération, elle les met au service de sa propre marque qui porte son nom.

Passer un moment avec cette artiste du tissu, le temps de capter son univers et d’immortaliser sa dernière collection pour le nouvel an, est en soi un vrai cadeau. Emmanuelle Bellocq est restée malgré les années, une petite fille dans l’âme, la tête en effervescence, les yeux lumineux, le verbe rieur d’un accent français d’une pure casablancaise des 60’s et le coeur si grand de tant d’amour pour le Maroc, son pays de naissance tout autant que ses parents.

Découvrez l’éclat de rire et la joie d’être, contagieux tels des galons aux créations de cette ex-costumière de cinéma.

« J’aime le cinéma et j’aime pardessus tout le Maroc », nous répète sans cesse Emma, les yeux brillants sous le soleil généreux d’un janvier clément made in Maroc, rivés sur ses produits étalés artistiquement dans son petit show room. Un bazar? Non, le monde d’Emmanuelle sort tout droit de ses migrations régulières dans les souks, qu’elle adore. De jolies pièces tels de précieux bijoux faits main, pièces uniques conçues avec beaucoup d’amour et de goût, à l’image de leur artisane, une belle âme débordante d’affection et de douceur, de créativité et d’inspiration. À partir de tissus de récupération, toiles diverses, utilisées dans l’industrie agroalimentaire, toile de jute, tapis usés, lainages abandonnés…

Emma confectionne à la main des pochettes de diverses formes, qu’elle orne au gré de ses souvenirs, de ses émotions, de ce qu’elle aime, pourvu que ce soit du 100% marocain. Des dessins qui évoquent l’âme du Maroc dans ses années d’innocence, d’insouciance, de folie culturelle, des dessins qui parlent à tous les marocains. Emma célèbre l’artisanat dans le moindre petit geste, jusqu’à son extravagance merveilleuse de détourner jusqu’à même la fameuse tente caidale.

La notion de Tote bag, it accessoire du moment, que même les grandes stars adoptent pour affirmer leur côté écolo et sustainable, est l’ADN de son oeuvre au quotidien : ses jolies pochettes zippées serviraient tout autant à ranger du petit linge de maison, que de faire ses courses au hanout du coin pour acheter en vrac son riz, ses pâtes et ainsi participer à diminuer l’usage de plastique et de packagings superflus. Ce serait cela le nouveau luxe, faire ses achats dans des sacs en tissu recyclé, animé de dessins d’enfants et de proverbes et autres BD pleines de sens, de visages de stars que l’on admire ou que l’on aimait petit, comme pour Emma et ses icônes des films égyptiens et même indiens du dimanche qu’elle regardait chez sa mère. La vie deviendrait alors une poésie, elle serait bercée par des petits bonheurs comme ceux que nous façonne Emmanuelle Bellocq en pédalant sur sa machine à arrêter le temps et à revenir à un monde que l’on va aimer, tout autant que Emma aime « Son Maroc« .

www.emmabel.com

@Emmabel

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Il fait partie des grandes stars marocaines du ballon rond international, le défenseur de l’Inter Milan, souvent jugée comme un des meilleurs joueurs au monde de sa catégorie, est en lice pour recevoir le titre de Meilleur joueur Maghrébin pour le bonheur de sa femme et de son petit Amin. 

 

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France Football vient d’annoncer la liste des nommés au titre de meilleur jouer maghrébin de l’année, qui succèdera à l’Algérien Riyad Mehrez. Achraf Hakimi en fait partie. Une autre réjouissance pour la petite famille et pour Hiba Abouk, la jolie épouse de l’international marocain. « C’est l’année la plus importante de ma vie » avait déclaré l’actrice espagnole en juillet dernier, alors que son mari venait de rejoindre le club italien et d’installer sa petite famille à Milan.

« J’adore le fait qu’Achraf soit transféré à Milan, car c’est une très belle ville et là-bas, je pourrais aussi aller de l’avant pour ma carrière », a confié à Hola! la franco-tunisienne visiblement amoureuse et comblée. L’arrière droit du deuxième club italien de la Serie A, touche la modique somme de 417 k euros par mois de quoi très bien faire vivre sa petite famille qui s’est agrandie avac la naissance de son premier enfant en février dernier.

La belle brune au yeux clairs a chuchoté à Hola! son mariage « intime et familial avant la naissance du petit Amin », ne manquant pas de préciser « Nous devons encore faire une grande fête ». Nous avons hâte d’en savoir plus et sommes ravis de tant de bonheur et d’amour dans cette petite famille marocaine.

 

 

 

 

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