Accueil Auteur
Auteur

Ilham Benzakour

Sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, la Bibliothèque Nationale de Rabat a accueilli le prestigieux Bazar Solidaire du Cercle Diplomatique. SAR la Princesse Lalla Meryem a honoré par son élégance et sa présence, les divers stands représentant plus de quarante pays et organisations internationales, guidée par Unielle Oupolo, présidente du Cercle Diplomatique.

SAR Lalla Meryem visite les stands d’exposition lors du Bazar annuel du Cercle diplomatique à la Bibliothèque nationale de Rabat

A son arrivée, Son Altesse Royale a passé en revue une section des Forces Auxiliaires, avant d’être accueillie par plusieurs membres du gouvernement, des autorités régionales et communales, ainsi que des responsables institutionnels. La Princesse a ensuite visité chaque espace d’exposition, où plus de quarante pays ont présenté leurs richesses locales, artistiques et culturels issus des cinq continents. Lalla Meryem a pris le temps de découvrir l’artisanat, les textiles et les œuvres d’art présentés par chaque délégation, symboles de la richesse et diversité qui caractérisent cet événement annuel. Un véritable voyage à travers les identités du monde, réunies à Rabat. La Princesse a également été accueillie par les épouses d’Ambassadeurs accréditées au Maroc, dont la Présidente du Cercle Diplomatique, Unielle Oupolo.

Élue présidente le 29 janvier, Unielle Oupolo fête désormais dix mois à la tête du Cercle Diplomatique. Avec un regard clair et une parole posée, elle résume la singularité de son expérience : « Le Maroc est un pays particulier : un véritable épicentre. Un pays de tolérance, de coexistence et d’ouverture. C’est aussi un exemple qui nous inspire au quotidien. »

Elle souligne l’importance du soutien royal, essentiel à la portée du Bazar Solidaire : « Nous avons la grâce et l’honneur que cet événement soit porté par Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Sa vision valorise les femmes, la famille et l’engagement. Pour nous, c’est un encouragement immense à nous dépasser. »

À la tête du Cercle Diplomatique, Unielle Oupolo coordonne une communauté de femmes venues d’Afrique, d’Europe, d’Asie, d’Amérique et du Moyen-Orient. Un kaléidoscope d’identités que la présidente transforme en une force collective : « Nos différences ne nous opposent pas : elles se complètent. Ensemble, nous portons une diplomatie du social, une diplomatie de l’engagement, une diplomatie humaine. Notre mission est de servir les plus vulnérables, en particulier les femmes et les enfants. » Pour elle, chaque membre du Cercle Diplomatique contribue à un message universel : celui de la solidarité, du respect mutuel et de l’unité entre les peuples.

Un Bazar Solidaire dédié aux valeurs universelles

L’édition 2025 a réuni plus de quarante pays et organisations internationales autour d’un objectif commun : lever des fonds pour soutenir les ONG marocaines œuvrant dans l’éducation, la santé et l’autonomisation des femmes en milieu rural. Entre artisanat vietnamien, textiles africains, créations européennes et pièces d’art du Moyen-Orient, chaque stand raconte une histoire, chaque culture se livre avec fierté. Pour Unielle Oupolo : « Ce Bazar est bien plus qu’un événement caritatif. C’est un espace de dialogue, de tolérance et de fraternité. Le Maroc offre à cette rencontre un cadre précieux, empreint d’humanité et d’ouverture. »

La cérémonie s’est conclue par une photo-souvenir réunissant SAR la Princesse Lalla Meryem et les membres du Cercle Diplomatique. Un moment symbolique, qui exprime toute la force tranquille de la diplomatie féminine. Portée par son sens du devoir, Unielle Oupolo imprime à cette édition une vision claire : celle d’une solidarité active, d’une diplomatie du cœur, et d’un engagement qui se conjugue au féminin pluriel.

0 commentaires
0 PinterestEmail
SAR la Princesse Lalla Meryem assise lors de la cérémonie de clôture du Forum Africain du Parlement de l’Enfant, applaudissant, encadrée par les portraits de feu Hassan II et de SM le Roi Mohammed VI, avec en arrière-plan de petits drapeaux africains.

Dans une allure quiet luxury d’une finesse rare, SAR la Princesse Lalla Meryem a présidé à Rabat la clôture du premier forum africain du parlement de l’enfant, un rendez-vous historique dédié à la voix des jeunes Africains.

SAR la Princesse Lalla Meryem présidant le premier forum africain du parlement de l’enfant

Rabat, 22 novembre 2025, sous le dôme solennel du Parlement, SAR la Princesse Lalla Meryem est apparue dans une aura d’élégance maîtrisée qui n’a laissé personne indifférent. Pour présider la cérémonie officielle de clôture du 1er Forum Africain du Parlement de l’Enfant, la Présidente de l’Observatoire National des Droits de l’Enfant (ONDE) a dévoilé un nouveau style d’une sobriété éclatante : un carré parfaitement structuré, à la fois moderne et intemporel, des lunettes fines qui lui confèrent une allure de working princess, et un maquillage nude sublimant son port altier.

SAR la Princesse Lalla Meryem présidant le premier forum africain du parlement de l’enfant

Son tailleur d’un chocolat poudré, accordé avec la nuance cacao mat de son rouge à lèvres, s’inscrivait dans la tendance du quiet luxury, ce luxe discret qui dit tout sans rien annoncer. Les détails, eux, parlaient d’eux-mêmes : des boucles d’oreilles en diamant rose amande, délicates et lumineuses, et un somptueux pendentif œil de protection, travaillé dans un sertissage de diamant presque sculptural. Une apparition rare, à la fois douce, précise et terriblement contemporaine, l’exact reflet de son engagement pour l’enfance : exigeant, lumineux, et sans fioritures inutiles.

SAR la Princesse Lalla Meryem présidant le premier forum africain du parlement de l’enfant

Au-delà de l’élégance, l’essentiel était bien sûr l’acte qu’elle présidait. Placé sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI, le premier Forum Africain du Parlement de l’Enfant a réuni plus de 170 personnalités de 28 pays africains pour penser, ensemble, l’avenir de l’enfant sur le continent. Organisé par l’ONDE sous le thème « La participation des enfants au développement de l’Afrique », le Forum s’est voulu un espace inédit de réflexion, d’échanges et de co-construction, où les enfants parlementaires eux-mêmes ont porté leurs voix, leurs espoirs et leurs propositions. Cinq ateliers thématiques, de l’éducation inclusive à la santé mentale, en passant par le travail des enfants et la protection des plus vulnérables, ont alimenté une vision collective ambitieuse, scellée par la Déclaration de Rabat, adoptée par acclamation. Celle-ci acte la création du Réseau africain pour les droits de l’enfant, dont le siège sera accueilli par l’ONDE, marquant une étape historique vers une Afrique où les enfants ne sont plus seulement protégés, mais pleinement acteurs du développement et de la paix.

SAR la Princesse Lalla Meryem présidant le premier forum africain du parlement de l’enfant

Un moment politique, humain et symbolique. Et une image : celle d’une princesse qui incarne, avec calme et modernité, la dignité d’une cause qui ne souffre aucun compromis.

0 commentaires
0 PinterestEmail
Sydney Love lance une capsule bijoux spécial CAN, Sydney Love Morocco

Pour célébrer ses seize ans, Sydney Love dévoile une capsule joaillière dédiée à la Coupe d’Afrique des Nations : un bracelet talisman imaginé par Ihssane Rihani, où l’élégance rencontre la passion marocaine.

@ihsun.daily alias Ihssan Rihani, lors de la petite soirée de présentation de la capsule CAN à Casablanca

Il y a des créations qui racontent une histoire avant même d’être portées. Pour célébrer ses seize années d’audace et de raffinement, Sydney Love dévoile une capsule inattendue et irrésistible, une ode joaillière au Maroc, à son équipe nationale et à l’énergie vibrante de la Coupe d’Afrique des Nations. À l’origine de cette vision, Ihssane Rihani, fondatrice de la maison, entrepreneure lumineuse et working-mom créative, imagine un bijou qui réconcilie l’élégance intemporelle avec la ferveur footballistique. Une déclaration de style, pensée comme un porte-bonheur à porter au poignet.

La pièce phare de la capsule Sydney Love Morocco, un bracelet en bandana rouge orné de charms inspirés des couleurs du drapeau marocain, est née d’une rencontre instinctive et complice entre Sydney Love et la maison française Badhnati, experte du bijou à nouer. Conçu comme un talisman, il s’enrichit d’une aventurine verte, pierre de chance en lithothérapie, pensée pour accompagner les supporters et transmettre une énergie positive à l’équipe nationale durant la CAN. Audacieux, unisexe, à la fois tendre et affirmé, ce bracelet capture cette fierté que l’on porte haut, avec cette touche de style que seule Ihssane Rihani sait insuffler.

Cette collection, présentée comme un hommage vibrant à l’esprit marocain, témoigne plus que jamais de l’ADN de Sydney Love : une maison qui crée des émotions, tisse des récits et façonne des objets du quotidien en véritables fragments d’histoire personnelle. Chaque détail reflète la vision d’Ihssane, qui depuis seize ans cultive un sens délicat de la beauté, de l’intuition et de la modernité, en reliant la mode, l’art et la sensibilité marocaine contemporaine.

À travers la collection CAN, la maison s’adresse à toutes celles et ceux qui veulent vivre la CAN avec élégance, en adoptant une pièce qui transcende la tendance pour devenir un symbole. Un bijou qui se partage, qui s’offre, qui se transmet. Une manière chic et joyeuse de dire : On y croit. On y va. Et on brille.

Fondée en 2008, Sydney Love continue d’incarner au Maroc une adresse incontournable pour les amoureux de pièces singulières, réunissant des créateurs venus d’Italie, d’Espagne, de France ou d’Inde. La maison, qui développe également sa propre ligne Sydney Designs, imaginée par Ihssane au Maroc et produite en Italie, affirme plus que jamais son statut de concept-store joaillier d’exception. Et avec cette capsule CAN, elle signe l’un de ses plus beaux hommages : celui d’un Maroc fier, créatif et résolument glamour.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Album photo souvenir d’une journée placée sous le signe de l’humanité, de la coopération et du raffinement marocain.

À Nairobi, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Asmaa, Présidente de la Fondation Lalla Asmaa, a lancé, aux côtés de Son Excellence Madame Rachel Ruto, Première Dame du Kenya, la quatrième phase du programme « Unis, on s’entend mieux », qui redonnera l’ouïe à soixante-dix enfants kényans atteints de surdité profonde.

Unies par la compassion et la volonté d’agir, les deux femmes ont planté un arbre au Kenyatta National Hospital, symbole de paix, de vie et de continuité. Sous le ciel de Nairobi, leurs silhouettes lumineuses incarnaient à la fois la douceur et la détermination de deux femmes engagées pour un même idéal : celui d’une Afrique solidaire et humaine.

La journée du lancement du programme « Unis, on s’entend mieux » à Nairobi fut une véritable célébration de l’espoir et de l’unité africaine. Accueillies dans une atmosphère vibrante par les rythmes et les chants d’une troupe locale haute en couleur, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Asmaa et la Première Dame du Kenya, Rachel Ruto, ont inauguré ensemble cette opération humanitaire au Kenyatta National Hospital. La Première Dame a ensuite planté un arbre symbolique, geste de paix et de vie, avant que les deux femmes ne visitent le pavillon ORL où étaient réunis les enfants candidats aux implants cochléaires. La journée s’est poursuivie par des discours empreints d’émotion, la signature d’un mémorandum d’entente entre les deux fondations et des moments de partage ponctués de chants et de sourires, témoignant de la joie et de la gratitude d’un peuple tout entier.

Le soir venu, au Palais Présidentiel de Nairobi, la Première Dame Rachel Ruto a offert un dîner officiel en l’honneur de Son Altesse Royale. Pour cette soirée d’exception, la Princesse Lalla Asmaa a ébloui l’assemblée dans un somptueux caftan marocain, chef-d’œuvre de l’artisanat et de l’élégance haute couture traditionnelle. D’un vert royal, l’étoffe en soie se parait de broderies ton sur ton d’une finesse exquise, tandis que les manches, auréolées d’une sfifa large, semblaient se fondre dans la texture soyeuse du tissu. La ceinture, délicatement sertie d’émeraudes et rehaussée d’une boucle d’or fin ajouré, soulignait la taille de la Princesse avec une grâce discrète. Les cheveux lissés en arrière, elle irradiait une beauté naturelle et une sérénité princière, dans une harmonie parfaite entre tradition et modernité.

Autour d’elle, la soirée s’est déroulée dans une atmosphère chaleureuse, rythmée par des échanges empreints d’amitié et de respect. Entre le Maroc et le Kenya, une même aspiration : celle d’unir les cœurs et de bâtir un avenir commun, plus juste et plus humain.

Par sa présence rayonnante et son engagement constant, la Princesse Lalla Asmaa incarne la quintessence d’un Maroc généreux, raffiné et profondément tourné vers l’Afrique.

0 commentaires
0 PinterestEmail
Lalla Asmaa élégante en robe mauve lilas vintage à Nairobi lors de sa rencontre avec la Première Dame du Kenya

Élégance royale et féminité intemporelle. La princesse Lalla Asmaa a illuminé le tarmac de Nairobi dans une silhouette vintage d’une délicatesse exquise, lors de sa réception par Madame Rachel Ruto, Première Dame du Kenya.

Lalla Asmaa élégante en robe mauve lilas vintage à Nairobi lors de sa rencontre avec la Première Dame du Kenya

C’est une image d’une grâce rare. À son arrivée à l’aéroport international de Nairobi, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Asmaa a fait une entrée remarquée, tout en discrétion et en élégance.

Vêtue d’une robe chemisier vintage des années 40 aux tons mauve lilas, une teinte subtilement royale, la sœur du Roi Mohammed VI a incarné cette élégance raffinée et mesurée qui la distingue.

La coupe fluide et la sobriété de la tenue rappelaient les icônes d’une autre époque, un style intemporel, affirmé par une délicate verte-cardigan au ton sombre et rehaussé par une paire d’escarpins pastel parfaitement assortis. Ses cheveux impeccablement tirés à l’arrière mettaient en lumière la douceur de ses traits et l’harmonie de l’ensemble.

Face à elle, Madame Rachel Ruto, Première Dame du Kenya, rayonnait dans une robe tailleur couture d’un rouge éclatant, symbolisant l’énergie et la modernité de son pays.

Une belle pause féminine sur le tarmac, empreinte de respect et de chaleur, où les deux femmes se sont saluées avant de rejoindre le salon d’honneur pour un moment d’échange et de courtoisie diplomatique.

Une scène élégante, à l’image de la princesse Lalla Asmaa, dont la présence conjugue toujours sobriété, grâce et distinction.

0 commentaires
0 PinterestEmail
Rabat – Le Roi Mohammed VI et le Prince Héritier Moulay El Hassan, unis pour la santé et l’avenir du Maroc

Dans une atmosphère empreinte de solennité et de modernité, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, accompagné de Son Altesse Royale le Prince Héritier Moulay El Hassan, a inauguré à Rabat le Complexe Hospitalo-Universitaire International Mohammed VI, un établissement d’excellence au service de la santé, de la recherche et de la formation.

Le Roi Mohammed VI et le Prince Moulay El Hassan inaugurent le Complexe Hospitalo-Universitaire Mohammed VI de Rabat

Vêtus de djellabas safranées aux reflets cuivrés, le Roi et le Prince affichaient une harmonie chromatique d’une rare élégance. Seule variation : la broderie, plus sobre et délicate pour le Prince Héritier, avec un Fez sur la tête, et plus audacieuseet couture pour le Roi, dans un ton bordeaux profond qui soulignait la majesté de sa silhouette. Un ensemble sublimé par le couvre-chef royal orné de l’écusson du Royaume, symbole d’autorité et de raffinement intemporel.

Le Roi Mohammed VI et le Prince Moulay El Hassan inaugurent le Complexe Hospitalo-Universitaire Mohammed VI de Rabat

Cette structure de référence, portée par la Fondation Mohammed VI des Sciences et de la Santé, incarne la vision éclairée du Souverain pour un Maroc tourné vers l’innovation, l’équité et l’humain.

Dans le même esprit, le Roi a donné Ses Hautes Instructions pour la mise en service du Centre Hospitalier Universitaire Mohammed VI d’Agadir, véritable pôle médical d’excellence pour la région du Souss-Massa.

Le Roi Mohammed VI et le Prince Moulay El Hassan inaugurent le Complexe Hospitalo-Universitaire Mohammed VI de Rabat
Le Roi Mohammed VI et le Prince Moulay El Hassan inaugurent le Complexe Hospitalo-Universitaire Mohammed VI de Rabat

Deux gestes forts, symboles d’un Royaume qui soigne, forme et innove. Deux générations côte à côte, unies dans la même ambition : celle d’un Maroc moderne, bienveillant et visionnaire.

0 commentaires
0 PinterestEmail
Amal Adyel pose en studio

Entre marathon, Ironman et entrepreneuriat, la première Marocaine à avoir participé au championnat du monde d’Ironman à Kona confie à ¡HOLA! Maroc son amour du sport, de la vie et de la liberté.

À 40 ans, Amal Adyel n’a rien perdu de son énergie, ni de son envie de courir après la vie, littéralement. Marathonienne aguerrie, triathlète accomplie, entrepreneure et première Marocaine à avoir participé au Championnat du monde d’Ironman à Kailua-Kona (Hawaï), elle incarne la détermination et la grâce d’une femme qui trace son chemin à grandes enjambées.

Alors qu’elle s’apprête à participer au Marathon de Casablanca, Amal confie à ¡HOLA! Maroc sa passion du sport, son rapport à la féminité et cette force tranquille qui la pousse toujours plus loin.

Le tout premier Ironman de Amal Adyel à Hawaï

Une course à domicile, mais pas comme les autres

« Cette année, c’est un tournant à 360°. L’organisation du Marathon de Casablanca a été confiée à de vrais passionnés, l’Association des Grands Coureurs de Casablanca (AGCC). » confie Amal, le regard pétillant au-dessus d’un café sur un rooftop casablancais. Pour cette édition, le parcours a été entièrement repensé : départ depuis la Mosquée Hassan II, passage par la corniche, le Maârif, Ghandi, Racine, les Twins Center… Un itinéraire qui célèbre l’âme de Casablanca, sa modernité et ses contrastes.

Cette année, Amal participera au relais du marathon, une formule innovante où quatre coureurs se partagent les 42 kilomètres. « C’est une belle idée, dit-elle, car cela crée un vrai esprit d’équipe. Le running, c’est aussi une aventure humaine. »

Amal Adyel pose en studio
Amal Adyel se confie à HOLA ! MAROC à la veille du marathon de Casablanca

Du Marathon à l’Ironman : l’art de se dépasser

En 2019, Amal relève un défi que peu auraient osé : son premier Ironman full distance à Nice, sans expérience préalable en triathlon. « Des amis m’ont dit : ‘Tu devrais tenter un Ironman.’ J’ai répondu : ‘Vous êtes fous.’ Et puis je l’ai fait. » raconte-t-elle avec un sourire. Quatre kilomètres de natation, 180 kilomètres de vélo, un marathon de 42 kilomètres. Un parcours titanesque qu’elle a bouclé grâce à sa rigueur, sa préparation et un mental d’acier.

Depuis, Amal a enchaîné les épreuves mythiques : Nice, Klagenfurt, Copenhague, avant de décrocher une qualification historique pour Kona, les championnats du monde d’Ironman à Hawaï. Une expérience qu’elle décrit comme « le sommet d’un rêve », symbole d’une discipline qui, selon elle, « permet de vaincre la peur, d’apprivoiser la douleur et de se redécouvrir à chaque course. »

Chef d’entreprise et sportive accomplie

Loin des pistes, Amal dirige une entreprise familiale dans la construction. En parallèle, elle a fondé Pikala, un concept store dédié au triathlon et aux sports d’endurance. « Pikala est né pendant la pandémie, après une vidéo virale d’un enfant qui criait ‘Picalti !’ quand on lui a volé son vélo. » se souvient-elle en riant. Le lieu, unique au Maroc, mêle boutique, nutrition, espace café et conseils personnalisés pour amateurs et professionnels du sport. « Je voulais créer un endroit où les gens peuvent vivre le sport, pas seulement le pratiquer. » Son secret pour concilier business et sport ? Une organisation millimétrée. « Je gère 300 employés, je m’entraîne, je voyage, mais le sport est devenu mon équilibre. Il fait partie de mon ADN. »

Une femme de cœur, entre famille et féminité

Amal assume sa dualité : la rigueur de la sportive et la douceur de la femme. « Être sportive ne veut pas dire renoncer à être femme. Le matin, je cours en brassière à 5h30, et quelques heures plus tard, je peux être en robe et talons. C’est ça, ma liberté. » Modeuse dans l’âme, elle revendique le droit d’être à la fois performante et élégante, forte et sensible.

Elle court Amal Adyel toute l’année, tout le temps … et partout dans le monde

Côté cœur, elle confie avec pudeur : « Mon cœur est grand comme mon sport. Je n’ai pas besoin de remplir une case, je vis dans le partage et l’amour au sens large. » Sa famille, elle, la soutient inconditionnellement. « Mes parents étaient là pour mon 24H Challenge, ma mère m’a accompagnée à Hawaï. C’était son anniversaire… Je lui ai dédié cette course. » Entre Fès, Meknès et Casablanca, Amal Adyel appartient à cette génération de Marocaines qui conjuguent audace, indépendance et inspiration. Elle incarne la femme moderne : athlète, cheffe d’entreprise, et âme libre, toujours en mouvement. Et à 40 ans, son regard porte déjà vers de nouvelles pistes : Valence, Sydney, ou peut-être Tokyo.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Quarante-cinq ans après avoir fondé GUESS à Los Angeles, Paul Marciano est revenu là où tout a commencé : Marrakech, sa ville natale.

Show mondial Guess by Paul Marciano au palais Badii à Marrakech

Pour célébrer cette étape emblématique, le créateur a choisi le somptueux Palais El Badi comme écrin de la conférence mondiale One World, One Brand, réunissant plus de 800 invités venus du monde entier. Entre glamour international et hommage intime, GUESS signe un retour aux sources empreint d’émotion et d’élégance.

Show mondial Guess by Paul Marciano au palais Badii à Marrakech

Point d’orgue de cette célébration : un défilé magique au cœur du Palais El Badi, joyau du XVIᵉ siècle, où les collections Printemps-Été et Pré-Automne 2026 ont illuminé la scène, entre héritage marocain et esprit californien.

Entouré de figures influentes de la mode, d’ambassadeurs et de célébrités, le fondateur de GUESS a offert à Marrakech une parenthèse glamour et sincère, où luxe et émotions se sont unis sous les étoiles du désert.

Show mondial Guess by Paul Marciano au palais Badii à Marrakech
0 commentaires
0 PinterestEmail

Entre ombre et lumière, La Brillante n’est pas un riad de plus dans la Médina. C’est un bijou d’architecture contemporaine aux allures de maison de femme, où le luxe s’exprime avec douceur, élégance et émotion. J’y ai vécu un séjour suspendu, dans une bulle d’intimité et d’émotion.

Dès le seuil franchi, La Brillante se révèle comme une confidence. Nichée à deux pas du Palais Bahia et de la mythique place Jemaa el-Fna, cette demeure singulière conjugue l’âme de la Médina avec une modernité subtile. Ici, tout est pensé pour célébrer la féminité : la lumière, les textures, les parfums, jusqu’à l’énergie même du lieu.

L’entrée donne le ton. Une exposition éphémère de caftans et de bijoux accueille le visiteur comme dans un boudoir vivant, où la tradition dialogue avec l’art contemporain. L’atmosphère est délicate, enveloppante, presque confidentielle.

Au centre, un patio ouvert sur le ciel reflète son bleu dans un bassin turquoise qui miroite sous la lumière naissante de Marrakech. La nuit, la lune scintille et se fait complice, caressant les murs et effleurant les eaux, comme une invitation au rêve. J’y ai plongé au petit matin, avant d’entamer mes migrations urbaines et professionnelles, mais sans avoir pu savourer le plouf du soir ou celui, plus secret, de la nuit. Le mois prochain, j’en ferai ma douce escapade, rien qu’à moi pour retrouver l’éclat discret, mais inoubliable de cet hôtel.

Les quatre chambres et deux suites s’ouvrent sur ce cœur apaisé, chacune pensée comme un cocon de charme. Dans ma suite, un caftan couture trônait telle une œuvre d’art, et un beau livre d’Yves Saint Laurent veillait sur le décor, clin d’œil à l’élégance intemporelle. La literie s’habille d’un doux confort, mêlant coton et lin imprimé. Les boiseries, d’un bois noble au veinage délicat, réchauffent l’atmosphère d’une modernité apaisée. La salle de bain, quant à elle, célèbre la transparence et le désir : une grande baignoire immaculée, une cabine de douche aux lignes géométriques, et cette ouverture vers le patio, où la lumière s’infiltre comme une caresse.

Au spa, les rituels signés Nectarome plongent dans la quintessence du terroir marocain : huiles d’argan, senteurs de jasmin, gestes ancestraux. On en ressort légère, sereine, comme réconciliée avec soi-même.

La Brillante réussit ce pari rare : conjuguer l’intimité d’une maison particulière à l’audace d’un boutique-hôtel cinq étoiles. Son rooftop restaurant offre une vue spectaculaire sur la Médina, où l’on savoure une cuisine qui marie tradition et modernité, dans le respect des saisons et des produits locaux. Le soir venu, le lounge bar en terrasse devient un refuge feutré pour contempler la ville ocre en silence.

Plus qu’un hôtel, La Brillante est une émotion, une maison d’âme où la féminité s’exprime sans artifice. Dans la ville ocre, souvent associée à la fête et à la nuit, cette adresse offre un autre visage de Marrakech : celui d’une élégance intime, apaisée, lumineuse.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Le mois dernier, la chanteuse nous envoûtait avec ses clichés solaires à Hvar en Croatie, destination prisée des célébrités. Ce week-end, elle revient à Marrakech pour présenter son nouveau coup de cœur : un tricycle électrique au design rétro-futuriste, déjà appelé à devenir une pièce iconique. Ghita Lahmamssi nous en dis plus sur son rôle de muse de la Lampago et se livre à quelques confidences sur sa vie d’artiste à cent à l’heure.

« Grrr. WOW. Silence… Lampago. » C’est par cette formule incisive que Hatim Baraka, président d’Exotic Vintage Cars, décrit la nouvelle venue. Une phrase percutante, scandée comme un refrain, qui résume l’ADN de ce bijou roulant : une alliance de design intemporel, d’élégance rétro et de mobilité durable. Pour Ghita, c’est un véritable coup de foudre : « Lampago n’est pas seulement une voiture, c’est un bijou. Son design, ses lignes, ses couleurs… tout respire l’élégance. Je n’ai pas réfléchi une seconde : le concept est unique et il m’a immédiatement séduite. »

Première à piloter la Lampago au Maroc, Ghita raconte son émotion : « Je ne m’attendais pas à une conduite aussi fluide et agréable. C’était une sensation particulière, presque comme un défilé de mode. À Casablanca, tout le monde se retournait. J’avais l’impression d’être sur un podium, mais cette fois derrière un volant. » Son choix ? La White Ivory, symbole de raffinement et d’harmonie : « Elle me ressemble : raffinée, douce, avec des couleurs apaisantes. Elle incarne sérénité et élégance, mais aussi une certaine audace. »

  • Luxe, glamour et durabilité, ces valeurs vous parlent-elles ?

Le vrai luxe aujourd’hui, c’est de respecter l’environnement. Lampago est électrique, zéro carbone, éco-friendly. Quand une marque réussit à allier glamour, élégance et durabilité, je ne peux qu’y adhérer.

  • La mode… c’est aussi une valeur intrinsèque à Lampago, vous la ressentez ?

Lampago a ce petit quelque chose de couture. Chaque détail est pensé comme une pièce de haute couture. On n’a pas l’impression de conduire une voiture, mais de porter une création.

Toujours proche des podiums, Ghita confirme sa présence à la Fashion Week de Paris et annonce qu’elle renouera bientôt avec les catwalks. De Paris à Marrakech, la ville ocre reste son refuge : « Je prends toujours un instant pour respirer profondément l’air de Marrakech. C’est une bouffée d’énergie, un retour aux racines. Ensuite, hammam et repas marocain : c’est ma façon de me sentir immédiatement chez moi. »

  • Pour finir sur de belles notes, une chanson, un album en route ?

Je prépare un album qui me tient énormément à cœur. C’est une étape de renaissance. Mon prochain opus s’appelle Phoenix et les premiers titres sortiront dans quelques jours.

0 commentaires
0 PinterestEmail
Are you sure want to unlock this post?
Unlock left : 0
Are you sure want to cancel subscription?

Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. Accepter Lire Plus

Politique de confidentialité & de cookies
-
00:00
00:00
Update Required Flash plugin
-
00:00
00:00