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Yasmine Khizrane

À la veille de l’ouverture de la 3ᵉ Conférence des Nations Unies sur les océans (UNOC3), un dîner officiel s’est tenu à l’emblématique hôtel Le Negresco, réunissant chefs d’État, membres de familles royales et figures internationales de la diplomatie environnementale. Parmi les personnalités les plus remarquées de la soirée, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa a incarné avec grâce et conviction l’engagement du Maroc en faveur de la préservation des mers et océans.

Une apparition élégante et symbolique

Représentant le Royaume du Maroc avec une élégance rare, SAR Lalla Hasnaa a fait une entrée remarquée, vêtue d’un somptueux caftan en satin noir, souligné par un délicat travail de broderie ton sur ton. Elle arborait des bijoux bleu turquoise éclatants, en harmonie parfaite avec la thématique marine de la conférence. Le contraste subtil entre la profondeur du noir et l’éclat du turquoise évoquait avec finesse la beauté et la fragilité des océans, que la conférence entend défendre.

Une soirée d’exception marquée par la présence royale

Ce dîner diplomatique de haut niveau s’est déroulé en présence de nombreuses figures royales : le prince héritier Haakon de Norvège, la princesse héritière Victoria de Suède, ainsi que le prince Albert II de Monaco, venu en voisin et fervent défenseur des océans. Le président Emmanuel Macron, hôte de la conférence, a accueilli personnellement les invités de marque, quelques heures après avoir conclu une visite d’État à Monaco. Bien que le prince de Galles ait été absent à cette soirée, il prononcera un discours attendu dès l’ouverture de la conférence. Charles III et son fils William partagent une passion reconnue pour la cause océanique, à l’instar de nombreux leaders présents.

Un sommet crucial pour l’avenir des mers

Organisée du 9 au 13 juin à Nice, cette 3ᵉ conférence des Nations Unies sur les océans a pour objectif de renforcer la protection du milieu marin, en mobilisant des financements, en promouvant la recherche scientifique et en rehaussant l’ambition politique en matière de gouvernance maritime. L’ONU rappelle que l’objectif de développement durable relatif aux océans (ODD 14) reste aujourd’hui le moins financé de tous.

Dans ce contexte, la présence de Lalla Hasnaa incarne une voix précieuse du Sud global, portée par une diplomatie environnementale résolument tournée vers l’avenir et la coopération internationale.

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Il y a un peu plus d’un an, elle nous avait parlé de “Casa”, un titre coup de cœur devenu tube. Depuis, Ouidad n’a pas cessé de tracer son chemin. Authentique, solaire, entre deux mondes qu’elle ne veut jamais opposer, la France et le Maroc, la pharmacie et la musique, la chanteuse franco-marocaine revient aujourd’hui avec “La Fame”, un morceau pop et vintage, à son image : libre, coloré, assumé. À l’aube d’une tournée au Maroc, où elle retrouvera ce public qui la soutient depuis le début, Hola! MAROC est allé prendre de ses nouvelles… et un peu de son énergie contagieuse aussi !

Credit Photo : Mateo Galego
  • Ouidad tu seras en tournée au Maroc du 17 au 21 juin, ton pays d’origine. Une première tournée, chargée d’émotions et de symboles. Comment vis-tu cette perspective ? As-tu hâte de retrouver le public marocain sur scène  ?

Ce n’est pas mon tout premier concert au Maroc, mais c’est bien ma première tournée, oui. Et franchement, je suis ravie. Heureuse de rentrer à la maison, de retrouver mon public marocain qui me soutient énormément. C’est un vrai bonheur. En plus, c’est aussi l’occasion pour mes proches sur place de venir me voir sur scène, donc forcément, c’est très spécial.

Credit Photo : Mateo Galego
  • La version arabe de ton titre “Casa” a rencontré un grand succès. Comment est née cette idée ?

C’est venu tout naturellement. Dès le départ, on s’est dit que c’était une évidence. Le morceau parle à un public qui parle arabe, alors c’était important pour moi que le message soit compris de tous. C’était aussi une manière de rendre hommage aux gens qui m’ont vue grandir, à ceux qui m’ont façonnée.

  • Tu t’attendais à un tel accueil pour cette version ?

Honnêtement, parfois on le sent. Quand quelque chose part du cœur, il y a une énergie particulière qui l’accompagne. Chaque fois que j’ai vécu un vrai succès, je l’ai pressenti un peu avant, au fond de moi.

Credit Photo : Mateo Galego
  • Tu viens de dévoiler La Fame, un morceau intense, différent de Casa mais tout aussi prenant, où tu explores les coulisses de la célébrité. Quel message as-tu voulu faire passer à travers ce titre ? Que dit-il de ta propre expérience ?

Je crois qu’on est beaucoup à se perdre dans cette quête de “fame”. Sur les réseaux, on passe notre temps à se comparer, à regarder des vies idéalisées. Mais quand tu rencontres ces mêmes personnes dans la vraie vie, tu te rends compte que c’est souvent très différent. Les réseaux, ce n’est pas la réalité. Et parfois, on cherche la “fame” sans même s’en rendre compte. Moi aussi, je suis tombée dans ce piège-là. Aujourd’hui, j’essaie de faire les choses pour moi, avec plus de conscience. Je veux que les jeunes comprennent ça : ne croyez pas tout ce que vous voyez.

  • Le clip de La Fame se distingue par son esthétique forte, ses couleurs vibrantes et son univers visuel soigné. Est-ce une nouvelle direction artistique que tu explores avec ce projet ?

Oui, totalement ! Cette direction artistique, je l’avais en tête depuis un moment. J’adore le vintage, les couleurs franches, les looks un peu décalés… Et surtout, je voulais montrer une autre facette de moi. Jusqu’ici, on me voyait souvent sérieuse, concentrée. Mais dans la vie, je suis un vrai clown. Mon entourage me pousse à le montrer davantage, et je crois que j’y suis enfin arrivée avec ce clip.

  • Tu es très présente sur TikTok. Tu l’utilises comme un terrain de jeu ou c’est devenu un outil stratégique ?

Au départ, c’était juste pour le fun. Pendant le Covid, je bossais à la pharmacie, et le soir je scrollais comme tout le monde. J’ai commencé à poster des trucs pour rigoler, sans trop réfléchir. Aujourd’hui encore, j’essaie de garder cette spontanéité. Sur TikTok, tu peux tester, être toi-même. Il y a moins de codes, moins de pression qu’ailleurs. Et j’adore ça !

Credit Photo : Mateo Galego
  • Tu vis une forme de double vie : pharmacienne d’un côté, artiste de l’autre. Comment fais-tu pour gérer ça ?

J’ai trouvé un bon équilibre avec mon patron. On s’est mis d’accord sur des jours fixes, ce qui me permet de garder une forme de stabilité. Ça me rassure aussi, de rester ancrée dans une routine plus “normale”.

  • Côté style, tu nous avais parlé de ton amour pour les vêtements oversize. Tu restes fidèle à ce look ?

Oui, même si j’évolue un peu. Ce que je cherche, avant tout, c’est le confort. Même dans des pièces un peu plus ajustées, je veux pouvoir bouger, respirer. J’apprends à assumer ma silhouette, à explorer d’autres coupes, sans jamais aller trop loin. C’est une question d’équilibre.

  • Et côté mise en beauté ? Tu sembles toujours très à l’aise avec ton image.

Je crois que c’est une question de connaissance de soi. Avec le temps, j’ai compris ce qui me va, ce que j’aime. Travailler avec des maquilleurs m’a aussi permis d’apprendre plein de choses. Mais je reste fidèle à une beauté assez naturelle. Ma petite sœur par exemple adore les maquillages très marqués ; moi, je trouve que ça me va moins.

  • Parlons musique : tu prépares un projet en ce moment ?

Oui, il y a quelque chose qui se construit. J’espère sortir un album d’ici fin 2025 ou début 2026. D’ici là, deux ou trois morceaux devraient voir le jour. Ce ne sera pas exactement dans la même direction artistique que “La Fame”. Il y aura un peu de tout, en arabe, en français… Je veux que ça me ressemble.

  • Tu es plus exigeante aujourd’hui dans ta façon de créer ?

Oui, je suis très minutieuse. Mais en même temps, je veux préserver une forme de liberté. Pour moi, l’exigence, c’est ça : rester sincère, ne pas se brider.

Credit Photo : Mateo Galego
  • Si tu pouvais parler à la Ouidad d’il y a cinq ans, que lui dirais-tu ?

Je lui dirais : T’inquiète pas, ton téléphone va sonner. Tu vas avoir des opportunités, partir en tournée, bosser avec des marques, rencontrer ton public… Tu vas kiffer. Et tu vas faire kiffer. Continue.

  • Tes chansons s’inspirent de ton vécu ?

Oui, complètement. Parfois c’est ce que je vis, parfois ce sont des histoires de mes proches. Par exemple, “Je Reste”  est directement inspiré du vécu de ma meilleure amie.

  • Tu as l’impression de vivre entre deux mondes : France/Maroc, pharmacie/musique. Est-ce parfois un tiraillement ?

Pas du tout. Je n’ai pas à choisir. Je suis tout ça à la fois : franco-marocaine, pharmacienne, artiste. Et je n’ai pas à m’excuser pour ça. J’aimerais être un exemple pour celles et ceux qui pensent qu’on ne peut pas tout faire. Si, on peut. Il faut juste s’en donner les moyens. Et même si ça ne fonctionne pas toujours, au moins tu auras essayé.

Credit Photo : Mateo Galego
  • Quelle est ta devise dans la vie ?

Il y en a une que j’aime particulièrement, une citation d’Oscar Wilde : “Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait.” Je m’y retrouve complètement. Si j’avais su à quel point les études de pharmacie étaient dures, je ne les aurais peut-être jamais commencées. Mais je ne savais pas. Alors je l’ai fait. Et c’est pareil pour la musique. Je me suis lancée sans vraiment mesurer la complexité du métier, mais c’est ce qui m’a permis d’oser. J’ai un tempérament de fonceuse. Si je réfléchissais trop, je ne ferais rien. Même dans ma vie de tous les jours, je fonctionne comme ça. Par exemple, quand j’ai voulu faire du snowboard, on m’a dit que c’était difficile. J’ai répondu : “Je vais essayer quand même.” J’ai besoin de vivre les choses par moi-même. J’aime aller au bout, quitte à me tromper. C’est comme ça que je construis mon parcours !

  • Un dernier mot pour ton public marocain que tu retrouves très bientôt ?

Merci. Pour votre amour, pour votre soutien. J’ai tellement hâte de vous retrouver. Soyez fiers de vous, et surtout : n’ayez jamais à vous excuser d’être qui vous êtes.

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Deux ans après avoir uni leurs destins au cœur d’Amman, le prince héritier Hussein et la princesse Rajwa de Jordanie ont célébré leur anniversaire de mariage dans l’intimité du palais royal. Le couple a partagé deux nouveaux portraits empreints de complicité et de douceur, pris dans les jardins qui avaient accueilli leur somptueuse cérémonie.

© Royal Hashemite Court

Le 1er juin 2023, le prince Hussein de Jordanie épousait Rajwa Al-Saif, jeune architecte saoudienne, lors d’un mariage majestueux célébré au palais de Zahran. Devant les regards du monde entier, la nouvelle princesse brillait ce jour-là dans une robe Elie Saab, marquant le début d’un chapitre prometteur dans l’histoire de la dynastie hachémite. Moins d’un an et demi plus tard, le couple accueillait une petite fille, prénommée Iman, première petite-fille du roi Abdallah II et de la reine Rania.

Une parenthèse à deux

Pour marquer leurs noces de cuir, le prince héritier et son épouse ont choisi de s’offrir une parenthèse à deux, loin du tumulte et même… de leur adorable fille, qui attire si souvent l’attention. Deux clichés inédits ont été publiés pour l’occasion. Sur le premier, Hussein et Rajwa échangent un regard complice ponctué d’un rire partagé. La princesse y apparaît rayonnante dans une robe fluide signée Petar Petrov, ceinturée par une élégante pièce de chez Schiaparelli. Sur le second, le couple s’enlace tendrement sous les arbres du jardin royal, dans une atmosphère à la fois simple et profondément touchante. Ces images ont été capturées lors du mariage de la cousine du prince, la princesse Aisha, célébré début mai.

©Royal Hashemite Court

Une princesse pleinement engagée

En deux années de vie conjugale, Rajwa de Jordanie s’est installée avec élégance dans son rôle de future reine. Son retour sur la scène publique après son congé maternité a été marqué par une présence affirmée aux côtés du prince héritier, que ce soit lors de l’ouverture du parlement ou d’événements plus symboliques comme la rupture du jeûne avec des enfants orphelins pendant le ramadan. Sa popularité ne cesse de croître, portée par sa discrétion, son style et son engagement.

© Royal Hashemite Court

Et maintenant ?

Alors que leur fille Iman grandit loin des projecteurs, une question commence à se poser dans les cercles royaux comme chez les observateurs : le couple envisage-t-il déjà d’agrandir la famille ? Dans une monarchie où la succession demeure masculine, l’arrivée d’un fils permettrait d’assurer une transition dynastique directe. Pour l’heure, le prince Hashem, frère cadet de Hussein, reste le deuxième dans l’ordre de succession.

© Royal Hashemite Court

Mais au-delà des enjeux institutionnels, ce deuxième anniversaire vient surtout rappeler que la modernité et la tradition peuvent cohabiter harmonieusement dans la monarchie jordanienne, et que l’amour, même royal, peut se vivre avec naturel et simplicité.

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Du palais impérial de Tokyo aux pavillons futuristes de l’Expo 2025 à Osaka, le Grand-Duc de Luxembourg a passé six jours au Japon, entre découvertes culturelles, moments symboliques et rencontres marquantes. À ses côtés, Xavier Bettel et Yuriko Backes ont accompagné cette visite aux accents officiels, mais aussi profondément humains, à l’occasion de la Journée du Luxembourg célébrée à l’Exposition universelle.

Un dîner impérial à Tokyo

Au cours de cette visite, Leurs Majestés l’Empereur et l’Impératrice du Japon ont convié le Grand-Duc à un dîner officiel au Palais impérial de Tokyo. La Princesse Aiko était également présente lors de cette réception empreinte de solennité et de respect mutuel.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Rencontres politiques de haut niveau

Le Grand-Duc et la ministre Yuriko Backes ont rencontré le Premier ministre japonais, Monsieur Shigeru Ishiba. Cette entrevue a permis de réaffirmer la volonté commune de renforcer les relations bilatérales, à l’approche du centenaire de l’établissement des relations diplomatiques entre le Luxembourg et le Japon, prévu pour 2027.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Découverte de la culture et de l’innovation japonaises

À Tokyo, la délégation luxembourgeoise a visité teamLab, une exposition d’art numérique immersive reconnue mondialement pour sa créativité et son interactivité.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Elle s’est également rendue au gymnase olympique de Yoyogi, monument emblématique de l’architecture moderne japonaise, construit en 1961 pour les Jeux de Tokyo 1964.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

La Journée du Luxembourg célébrée à Osaka

Le point d’orgue de cette visite fut la célébration officielle de la Journée du Luxembourg à l’Expo 2025 à Osaka. Lors d’une réception réunissant des représentants économiques et institutionnels des deux pays, le Grand-Duc, accompagné de Xavier Bettel et de Yuriko Backes, a salué les liens étroits qui unissent le Luxembourg et le Japon.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Dans son discours, le Chef de l’État a mis en avant le dynamisme de la délégation économique luxembourgeoise, rassemblée par la Chambre de commerce, et a félicité l’équipe luxembourgeoise de l’Expo 2025 pour la réalisation remarquable du pavillon national.

Une cérémonie officielle et un concert prestigieux

La cérémonie de la Journée nationale du Luxembourg a débuté par la levée des drapeaux luxembourgeois et japonais, suivie des hymnes nationaux et d’un discours prononcé par le Grand-Duc.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Lors d’une réception au pavillon luxembourgeois, le Grand-Duc a pu échanger avec des membres de la communauté luxembourgeoise résidant à Osaka. La journée s’est clôturée par le concert Echoes of Tomorrow, réunissant trois artistes luxembourgeois de renom : le pianiste Francesco Tristano, le xylophoniste Pascal Schumacher et la danseuse Jill Crovisier, en collaboration avec la danseuse japonaise Maika Fujii.

Visite des pavillons internationaux et hommages aux relations économiques

Le Grand-Duc a également visité les pavillons nationaux de plusieurs pays, dont le Japon, l’Arabie saoudite (qui accueillera l’Expo 2030 à Riyad), Singapour, l’Ukraine, l’Inde, le Koweït, les Pays-Bas, la Belgique, l’Allemagne et la France.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Au cours de son séjour, le Chef de l’État a rencontré plusieurs dirigeants d’entreprises japonaises et les consuls honoraires du Luxembourg à Tokyo et à Osaka, saluant leur engagement dans le renforcement des liens économiques et culturels avec le Grand-Duché.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Un passage culturel à Kyoto pour conclure la visite

La s’est achevée à Kyoto par la découverte de sites historiques et culturels emblématiques, témoins du riche patrimoine japonais.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Cette visite officielle a contribué à approfondir encore davantage les relations d’amitié et de coopération entre le Luxembourg et le Japon.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey
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Fille du prince Fayçal bin Hussein et nièce du roi Abdallah II de Jordanie, la princesse Aisha bint Fayçal a récemment célébré son mariage avec Karim Yazid Al Mufti, dans un cadre intime et empreint de tradition. Descendante directe de la dynastie hachémite, la princesse Aisha incarne une génération de femmes royales à la fois discrètes, éduquées et engagées dans la vie civile.

Une robe empreinte d’histoire et un diadème symbolique

Pour cette journée mémorable, la princesse Aisha a fait le choix d’une robe alliant modernité et héritage : une jupe longue en satin ivoire et un corsage de dentelle finement travaillé. Mais c’est le diadème qui a capté les regards : une pièce florale délicate, déjà portée par sa sœur aînée, la princesse Ayah, lors de son mariage en 2014.

© Royal Hashemite Court

Ce bijou pourrait être un héritage transmis par leur mère, la princesse Alia Tabbaa, première épouse du prince Fayçal bin Hussein. Ce geste, hautement symbolique, perpétue une tradition familiale et pourrait prochainement se répéter si la princesse Sara, sœur jumelle d’Aisha, venait à se marier.

Une union entre excellence académique et enracinement royal

La princesse Aisha est diplômée d’un master en droit, spécialisé en législation religieuse et société, et d’un baccalauréat en criminologie. Elle exerce dans le domaine de la communication et mène parallèlement des travaux de recherche, notamment sur la sécurité dans le sport.

© Royal Hashemite Court

Son époux, Karim Yazid Al Mufti, 31 ans, est diplômé de la King’s School de Londres, avant d’obtenir un master en gestion du sport à l’université Georgetown de Washington. Titulaire également d’un baccalauréat en administration des affaires, il œuvre aujourd’hui comme directeur du développement commercial pour plusieurs entreprises familiales opérant dans les secteurs de l’hôtellerie et de la restauration.

Une famille royale en mouvement

Le prince Fayçal, frère du roi Abdallah II, est une figure active de la monarchie hachémite. Marié à la princesse Alia Tabbaa de 1987 à 2008, il est le père de quatre enfants : Ayah, Omar et les jumelles Aisha et Sara. Après deux autres unions, il est aujourd’hui marié à Zeina Lubbadeh, avec qui il a deux fils.

© Royal Hashemite Court

Le mariage de la princesse Aisha illustre le positionnement discret mais influent de la jeune génération royale jordanienne : une jeunesse cultivée, engagée, et ancrée dans des valeurs de continuité familiale. Un événement chargé de grâce, à l’image de la mariée elle-même.

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Le prince héritier Hussein de Jordanie poursuit ses engagements internationaux avec une visite officielle au Japon, où il représente son pays dans le cadre de l’Exposition universelle d’Osaka. Ce déplacement marque une nouvelle étape dans le rôle diplomatique croissant du jeune prince de 30 ans, appelé à succéder un jour à son père, le roi Abdallah II.

©Royal Hashemite Court

Avant de se rendre à Osaka, où se tenait la Journée nationale consacrée à la Jordanie, le prince Hussein a été accueilli à Tokyo par plusieurs membres éminents de la famille impériale japonaise. Il a notamment été reçu par le prince héritier Fumihito, frère cadet de l’empereur Naruhito, accompagné de son épouse, la princesse Kiko, et de leurs enfants, la princesse Kako et le jeune prince Hisahito.

Une rencontre entre héritiers

Cette rencontre a revêtu une dimension à la fois protocolaire et symbolique, illustrant les liens d’amitié et de respect mutuel entre les deux monarchies. Pour le prince Hisahito, 18 ans, il s’agissait d’une apparition remarquée dans un cadre officiel aux côtés de dignitaires étrangers, un exercice auquel il est encore peu habitué, mais qui pourrait se multiplier à mesure qu’il se prépare à un rôle plus important au sein de la maison impériale.

©Royal Hashemite Court

Dans l’ordre de succession japonais, Hisahito est destiné à devenir un jour héritier présomptif, une position rendue possible par le fait que son oncle, l’empereur Naruhito, n’a pas de fils.

Un prince jordanien déjà très actif

Quant au prince Hussein, il incarne depuis plusieurs années déjà la nouvelle génération de la monarchie jordanienne. Très impliqué dans les affaires publiques, il accompagne régulièrement son père lors de sommets et d’événements diplomatiques, et a déjà multiplié les prises de parole à l’international. Sa présence au Japon confirme son statut d’ambassadeur de premier plan pour le royaume hachémite.

©Royal Hashemite Court
©Royal Hashemite Court

Célébrations jordaniennes à Osaka

Après cette première étape à Tokyo, le prince s’est envolé vers Osaka, à plus de 500 kilomètres au sud-ouest, pour assister aux célébrations officielles de la Jordanie dans le cadre de l’exposition universelle. À son arrivée, il a été accueilli par la princesse Hisako de Takamado, figure bien connue de la famille impériale japonaise.

©Royal Hashemite Court

Il s’agissait là de chaleureuses retrouvailles : la princesse Hisako avait assisté en personne au mariage du prince Hussein avec la princesse Rajwa, en juin 2023 à Amman.

©Royal Hashemite Court

Une diplomatie jeune et engagé

Ce déplacement illustre une fois de plus la stratégie de diplomatie douce adoptée par la Jordanie, qui mise sur la jeunesse de son prince héritier pour renforcer ses liens bilatéraux à travers le monde, tout en affirmant sa présence sur la scène internationale.

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Ce dimanche 11 mai, le Prince héréditaire Jacques et sa sœur la Princesse Gabriella ont célébré un moment marquant de leur enfance : leur première communion. La première communion est une étape importante dans la tradition chrétienne : c’est la première fois qu’un enfant reçoit l’eucharistie, symbole de son entrée plus consciente dans la vie religieuse. L’événement s’est tenu à l’Église Saint-Charles, à Monaco, un lieu emblématique du Rocher situé non loin du Palais princier. Pour l’occasion, la famille princière a partagé une série de photos inédites sur les réseaux sociaux, immortalisant cette journée empreinte de solennité et de tendresse.

Sur les images dévoilées par le Palais, les jumeaux de 9 ans apparaissent côte à côte, habillés de leurs aubes blanches traditionnelles. Sourires complices, regard franc : leur lien évident transparaît à travers chaque cliché. Une deuxième photo les montre aux côtés de leurs parents, le Prince Albert II et la Princesse Charlène, devant les marches de l’église. Une image de famille sobre et élégante, qui témoigne d’un moment à la fois intime et institutionnel.

Même si le Palais souligne la dimension spirituelle de cette étape, c’est avant tout l’unité familiale et l’émotion du moment qui ressortent. Cette apparition publique des jumeaux, encore rares, est toujours très attendue par les Monégasques comme par les observateurs du gotha, tant Jacques et Gabriella suscitent une attention grandissante au fil des ans.

©Axel Bastello/Palais princier, Monaco

Nés en décembre 2014, Jacques et Gabriella partagent une relation particulièrement fusionnelle. Depuis leur plus jeune âge, ils apparaissent souvent ensemble lors des cérémonies officielles, comme lors de la fête nationale monégasque, et accompagnent régulièrement leurs parents dans certaines activités protocolaires, toujours avec une fraîcheur et une spontanéité qui marquent les esprits.

Le choix de leurs prénoms, dévoilé il y a quelque temps par le Prince Albert II dans une interview au magazine Point de Vue, apporte un éclairage personnel sur leur histoire familiale. Jacques, prénom hérité de plusieurs branches familiales et choisi aussi en mémoire d’un cousin sud-africain de la princesse Charlène disparu trop tôt, s’est imposé comme une évidence pour le couple princier. Quant à Gabriella, son prénom a été choisi avec le cœur, sans référence directe à une tradition familiale — une manière de souligner sa singularité dans cette lignée princière.

En grandissant, Jacques et Gabriella semblent prendre leur rôle au sérieux, sans pour autant perdre l’insouciance propre à leur âge. À travers cette cérémonie, c’est une nouvelle étape qui se dessine pour les deux enfants, entre continuité des traditions et construction de leur propre parcours.

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C’est un voyage aux couleurs intenses et aux émotions profondes que Delphine Wespiser vient de vivre au Maroc. De l’énergie vibrante de Taghazout à la magie intemporelle de Marrakech, la sublime ex miss France s’est laissée porter par les éléments, la lumière, les rencontres… et une cause qui lui tient à cœur. Un séjour comme une parenthèse enchantée, entre émerveillement et engagement.

Credit Photo : Virginie Gazzola

Delphine Wespiser est une habituée du Maroc, un pays qu’elle connaît bien et qu’elle semble apprecier pour la diversité de ses paysages et de ses cultures. Lors de chacun de ses séjours, elle prend le temps de découvrir de nouvelles facettes du Maroc, qu’il s’agisse de ses plages, de ses montagnes ou de ses villes animées. À chaque visite, elle s’imprègne de l’atmosphère locale et de l’accueil chaleureux des habitants, contribuant ainsi à renforcer ses liens avec le Royaume.

Credit Photo : Virginie Gazzola

« Je suis venue au Maroc pour assister au festival Xperienza au Radisson Blu de Taghazout. C’était absolument magique ! La déco, les couleurs, les DJ… tout tournait autour des éléments naturels : feu, air, terre, eau. On devait même se déguiser en fonction de notre signe. Moi, je suis Terre, et ça ne m’étonne pas : je suis très connectée à la nature, aux animaux. »

Credit Photo : Virginie Gazzola

Un lien à la nature qu’elle a retrouvé dans les activités proposées : premiers pas en surf, quad dans le désert, cuisine locale en bord de mer… et une parenthèse bien-être inoubliable.

Credit Photo : Virginie Gazzola

« A Taghazout, j’ai eu le droit a l’un des trois meilleurs massages de ma vie. Les senteurs, les mains expertes… j’étais complètement ailleurs. Le Maroc, c’est un enchantement des sens à chaque instant. »

Credit Photo : Virginie Gazzola

Mais son voyage ne s’est pas arrêté là. Avant de reprendre l’avion, l’animatrice et chroniqueuse de la télévision française s’est rendue à Marrakech pour visiter et soutenir l’association Nos Amis pour la Vie, qui recueille et soigne des chiens maltraités au Maroc.

Credit Photo : Virginie Gazzola

« Ça m’a bouleversée. J’ai beaucoup pleuré en voyant l’état de certains animaux… J’ai lancé un appel aux dons sur mes réseaux. J’aimerais vraiment que les choses bougent, que la gestion de la cause animale évolue ici. Les animaux méritent notre protection. »

Profondément marquée par cette rencontre, Delphine repart avec des souvenirs vibrants, mais aussi un message à transmettre : « Le Maroc m’a offert du rêve. Je veux, à mon tour, offrir un peu d’espoir aux êtres vivants qu’on oublie trop souvent. »

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Une étreinte longtemps attendue ! Le port de Panama a été, ce samedi 3 mai, le théâtre d’un moment rare et profondément émouvant. Après plus de trois mois de séparation, la reine Letizia d’Espagne a retrouvé sa fille aînée, la princesse Leonor, engagée dans une traversée navale autour du monde à bord du navire-école Juan Sebastián de Elcano. Sur le quai, les yeux scrutant le grand voilier, la souveraine attendait avec impatience que sa fille foule la terre ferme.

© Casa de S.M. el Rey, España

Dès qu’elle est descendue, vêtue de son impeccable uniforme blanc, Leonor s’est dirigée d’un pas rapide vers sa mère. L’instant, capturé par les objectifs présents, a échappé à tout protocole : un câlin sincère, spontané, entre une mère et sa fille, oubliant un temps le poids de leurs titres.

© Casa de S.M. el Rey, España

Un moment privilégié, en plein tour du monde

Cette escale au Panama, huitième étape d’un périple en onze escales, marque une parenthèse précieuse dans le calendrier chargé de la future héritière. À 19 ans, la princesse des Asturies poursuit sa formation militaire avec sérieux et détermination. Depuis son départ de Cadix, en janvier dernier, elle a traversé l’Atlantique, marqué les esprits au Brésil et en Uruguay, et participé à des visites officielles au Chili et au Pérou. La présence de la reine Letizia à Panama n’était donc pas anodine : elle souhaitait être là, malgré les kilomètres et les devoirs royaux, pour célébrer cette brève réunion familiale — d’autant plus symbolique qu’elle coïncide avec la Fête des Mères, célébrée le 4 mai en Espagne.

© Casa de S.M. el Rey, España
© Casa de S.M. el Rey, España

Une princesse parmi ses pairs

Après les retrouvailles, mère et fille ont rejoint les autres familles pour une visite du centre historique de Panama, entre culture et mémoire. En fin de journée, une réception à bord du célèbre voilier a permis à tous de se réunir. La reine, rayonnante dans une élégante tenue rouge, a retrouvé l’élégance discrète qui fait sa signature. Leonor, toujours en uniforme, partageait fièrement cette étape avec ses camarades de l’École navale militaire.

© Casa de S.M. el Rey, España

Un cheminement exemplaire

Ces moments partagés s’inscrivent dans le parcours exigeant de la jeune héritière, déterminée à remplir ses fonctions avec engagement. Après sa formation dans l’armée de terre l’an passé, Leonor enchaînera dès la rentrée avec une immersion dans l’armée de l’air, dernière étape de sa formation militaire. Son retour en Espagne est prévu après une dernière escale à New York, début juin, alors que ses camarades reprendront la mer pour rentrer.

© Casa de S.M. el Rey, España

À travers ces retrouvailles sobres mais émouvantes, c’est une image moderne et humaine de la monarchie espagnole qui se dessine : celle d’une souveraine présente, et d’une héritière prête à prendre le large… tout en restant ancrée dans ses liens familiaux les plus profonds.

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Ce 29 avril 2025 marque un tournant dans la vie de l’infante Sofia : la benjamine du roi Felipe VI et de la reine Letizia atteint l’âge de la majorité. Pour souligner cet anniversaire important, la Maison royale a publié cinq photographies inédites de la jeune femme, prises dans le cadre verdoyant des jardins du palais de la Zarzuela. Ces clichés, capturés quelques jours auparavant, offrent une image naturelle et souriante de Sofia, à l’aube de sa vie d’adulte.

©Casa de Su Majestad el Rey, España

Un prénom symbolique et une discrétion assumée

Née le 29 avril 2007, Sofia de Borbón y Ortiz est arrivée un peu plus de dix-huit mois après sa sœur aînée, la princesse Leonor. Elle porte le prénom de sa grand-mère paternelle, l’ancienne reine Sofia, figure respectée et toujours très appréciée des Espagnols. En ce jour d’anniversaire, la cadette royale entre officiellement dans l’âge adulte, tandis que Leonor, âgée de 19 ans, poursuit rigoureusement son parcours militaire, prévu sur trois années, en tant qu’héritière de la couronne.

©Casa de Su Majestad el Rey, España

Des études internationales avant l’université

Actuellement, l’infante Sofia termine ses études au prestigieux UWC Atlantic College, au Pays de Galles, où elle s’apprête à passer son baccalauréat international. Si son avenir universitaire reste encore à préciser, tout indique qu’elle poursuivra des études supérieures dès la rentrée prochaine.

©Casa de Su Majestad el Rey, España

Des portraits naturels pour une majorité en toute simplicité

Pour cette occasion particulière, la Maison royale a choisi de présenter des portraits sobres et lumineux, illustrant la personnalité discrète de la jeune infante. Vêtue d’une chemise bleu clair et d’un pantalon bleu marine, Sofia affiche un style simple et élégant, fidèle à son image publique. Les clichés auraient été pris durant les vacances de Pâques, période à laquelle Sofia était de retour en Espagne auprès de ses parents.

©Casa de Su Majestad el Rey, España

Un anniversaire loin du protocole royal

Contrairement à l’anniversaire très institutionnel de la princesse Leonor en 2023 – ponctué par un serment devant le Parlement, une remise de décoration royale et une série de cérémonies officielles – celui de Sofia se veut beaucoup plus intime. Aucune obligation protocolaire n’était au programme pour la cadette, qui, bien qu’éloignée de la ligne directe de succession, incarne une présence stable et toujours mesurée au sein de la famille royale.

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