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Yasmine Khizrane

Le 16 décembre, un événement attendu par de nombreux admirateurs de la famille royale britannique s’est déroulé avec la publication des vœux de fin d’année du prince Harry et de Meghan Markle. À l’approche des fêtes de Noël et du Nouvel An, le couple a partagé leur carte de vœux annuelle, qui a rapidement captivé l’attention des internautes et des médias.

Le message, sobre mais chaleureux, se lit ainsi : « Nous vous souhaitons une heureuse saison festive et une joyeuse année ». Ce message de saison est accompagné des noms des fondations du couple, inscrits en bas de la carte, dans le cadre de leur travail au sein de l’organisation Archewell. Mais ce sont bien les images qui ont véritablement marqué cette carte de vœux, notamment une très rare photo des enfants du duc et de la duchesse de Sussex, Archie et Lilibet.

Depuis plus de deux ans, les enfants du couple n’étaient pas apparus sur une carte de vœux officielle. Ce cliché très attendu a donc enflammé les réseaux sociaux, où les fans ont salué ce moment intime et touchant. Archie, âgé de 5 ans, et Lilibet, 3 ans, sont immortalisés dans une scène pleine de tendresse : les deux enfants courent, de dos, vers leurs parents, créant une image émouvante de complicité familiale.

Instagram Capture d’écran

La carte comporte également six autres photos, représentant divers aspects de la vie du couple. Parmi ces clichés, on distingue le prince Harry en visite auprès de malades, Meghan Markle rayonnante lors de vacances, et des images officielles du couple lors de réunions. Ces photos, soigneusement choisies, témoignent de l’engagement humanitaire et social du couple à l’international, un thème cher à leur cœur.

L’image qui occupe la place centrale sur la carte est celle des enfants courant vers leurs parents, dans un moment simple mais empli d’amour. Un geste rare et précieux, capturant l’essence de leur vie de famille à l’abri des projecteurs. À noter également la présence des trois chiens de la famille — Pula, le labrador noir, et les deux beagles, Guy et Mamma Mia — qui ajoutent une touche personnelle et chaleureuse à ce cliché familial.

Ce moment, empreint de douceur et d’intimité, a non seulement touché les fans du couple mais a également rappelé l’importance pour Harry et Meghan de préserver leur vie privée tout en continuant à promouvoir leurs causes humanitaires. Cette carte de vœux, aussi sobre qu’émotive, a fait naître un vent de tendresse à l’approche des fêtes de fin d’année.

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Le football africain vient de couronner une véritable pionnière. Lors des prestigieux CAF Awards 2024, organisés lcelundi 16 décembre à Marrakech, la Marocaine Bouchra Karboubi a été élue meilleure arbitre féminine de l’année. Une distinction majeure qui célèbre un parcours exemplaire, jalonné de premières historiques et d’une détermination sans faille.

Une trajectoire hors norme

Née en 1987 à Taza, au nord-est du Maroc, Bouchra Karboubi a su se faire une place dans l’un des bastions les plus masculins du sport : l’arbitrage. Tout commence en 2001, lorsqu’une école d’arbitrage ouvre ses portes dans sa ville natale. Jeune passionnée de football, elle décide de s’y inscrire, bravant les critiques et les préjugés d’une société où voir une femme sur un terrain de football relevait de l’exception.« À Taza, il était considéré comme honteux qu’une fille porte un short et partage un espace dominé par les hommes », a-t-elle confié. Malgré ces défis, elle persévère et obtient en 2007 son statut d’arbitre nationale, marquant ainsi ses débuts officiels dans le championnat féminin marocain.Sa progression est rapide. Dès l’âge de 19 ans, elle dirige des matchs de première et deuxième divisions féminines. Son déménagement à Meknès lui permet de poursuivre son ascension, convainquant même les plus sceptiques de sa famille, notamment son père, de soutenir son ambition.En 2016, elle devient arbitre internationale et entre dans l’arène continentale lors de la Coupe d’Afrique des Nations féminine 2018 au Ghana.

Une pionnière sur tous les fronts

Bouchra Karboubi ne se contente pas d’évoluer dans l’arbitrage féminin. En 2020, elle écrit une page d’histoire en devenant la première femme arabe à arbitrer un match de première division masculine dans le Championnat Botola Pro. Ce moment marque un tournant pour elle, mais aussi pour l’arbitrage marocain et africain.Sa carrière prend une autre dimension en 2022 lorsqu’elle est choisie comme arbitre assistante vidéo (VAR) pour la finale de la Coupe d’Afrique des Nations masculine, opposant le Sénégal à l’Égypte. C’est la première fois qu’une femme africaine occupe un tel rôle à ce niveau.Le début de l’année 2024 confirme son statut de modèle : elle devient la première femme nord-africaine et arabe à diriger un match de CAN masculine, lors de la rencontre Guinée-Bissau contre Nigeria. Quelques jours plus tard, elle officie comme quatrième arbitre lors de la finale entre la Côte d’Ivoire et le Nigeria, consolidant son influence au sein des plus grandes compétitions du continent.

Une reconnaissance au sommet

C’est donc avec émotion que Bouchra Karboubi a reçu son trophée de meilleure arbitre féminine lors de la cérémonie des CAF Awards 2024. Dans son discours, elle a adressé un message puissant aux jeunes générations :
« J’espère que mon parcours inspirera d’autres jeunes femmes à suivre leur passion, quel que soit le domaine qu’elles choisissent, particulièrement dans la région arabe. »Cette reconnaissance souligne non seulement son talent, mais aussi son rôle de pionnière dans un environnement encore marqué par des inégalités de genre.

Un modèle pour l’avenir

Le parcours de Bouchra Karboubi est plus qu’un simple témoignage de réussite personnelle : il incarne un mouvement vers une plus grande inclusion des femmes dans le sport. Son succès au niveau international prouve que, malgré les barrières culturelles et sociales, la persévérance et l’excellence finissent toujours par triompher.En redéfinissant les normes de l’arbitrage africain, elle ouvre la voie à une nouvelle génération de femmes prêtes à s’imposer dans des rôles de premier plan. À travers sa passion et son dévouement, Bouchra Karboubi n’est pas seulement une arbitre : elle est une icône d’émancipation et de progrès.

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C’est une nomination qui fera date dans l’histoire de la mode. Matthieu Blazy, créateur franco-belge de 40 ans, a été désigné directeur artistique de Chanel, un des rôles les plus prestigieux du secteur. Dès 2025, il supervisera les collections haute couture, prêt-à-porter et accessoires, succédant à Virginie Viard et tournant une nouvelle page après le règne de Karl Lagerfeld, qui avait marqué la maison pendant plus de trois décennies.

Matthieu Blazy sur le podium lors du défilé Prêt-à-Porter Automne 2023 de Bottega Veneta, le 25 février 2023 à Milan, en Italie. (Photo de Giovanni Giannoni/WWD via Getty Images)

La décision met fin à des mois de spéculations autour du successeur de Viard. Alors que des noms comme Hedi Slimane, Simon Porte Jacquemus ou Pierpaolo Piccioli circulaient dans les cercles de la mode, Chanel a finalement choisi Matthieu Blazy, ancien directeur artistique de Bottega Veneta (groupe Kering), salué pour son approche novatrice et son respect des traditions artisanales.

Un parcours d’excellence à l’image de la Maison Française

Originaire de Paris et formé à l’école La Cambre à Bruxelles, Matthieu Blazy s’est rapidement distingué par sa créativité et sa capacité à réinventer les codes du luxe. Après des débuts aux côtés de Raf Simons, qui lui confie un rôle chez sa marque éponyme, Blazy affine son art chez Margiela, Céline sous Phoebe Philo, puis Calvin Klein, avant de rejoindre Bottega Veneta en 2021.Chez la maison italienne, Blazy a laissé une empreinte indélébile. Sa première collection, dévoilée en février 2022, réinterprète avec modernité le célèbre tressage de cuir « intreccio ». Il étonne avec des créations telles que des jeans en cuir trompe-l’œil et des bottes sculpturales, sublimant les matières tout en repoussant les limites techniques. Son style, à la fois audacieux et respectueux des traditions, a immédiatement séduit critiques et acheteurs.

CHIPPING NORTON, ANGLETERRE – 29 NOVEMBRE : Tim Blanks et Matthieu Blazy prennent la parole sur scène lors de #BoFVOICES à Soho Farmhouse, le 29 novembre 2023, à Chipping Norton, Angleterre. (Photo de John Phillips/Getty Images pour BoF)

Une vision pour Chanel entre héritage et modernité

L’arrivée de Matthieu Blazy chez Chanel intervient à un moment charnière pour l’industrie du luxe, confrontée à un ralentissement économique après des années de croissance fulgurante. Le propriétaire de la maison, Alain Wertheimer, et la directrice générale Leena Nair, ont salué en Blazy « l’un des créateurs les plus talentueux de sa génération », capable d’infuser « énergie et vision » à la marque emblématique. Bruno Pavlovsky, président des activités mode de Chanel, a quant à lui mis en avant « l’approche audacieuse » et « l’attachement profond aux savoir-faire artisanaux » du créateur. Ce choix reflète une volonté de conjuguer héritage et modernité, une exigence au cœur de l’ADN de Chanel.

MILAN, ITALIE – 18 JUIN : (De gauche à droite) Pieter Mulier, Matthieu Blazy et Willy Vanderperre assistent au défilé de mode homme Prada Printemps/Été 2024 lors de la Fashion Week Homme de Milan A/H 2023-2024 à la Fondazione Prada, le 18 juin 2023 à Milan, Italie. (Photo de Jacopo M. Raule/Getty Images pour Prada)

Un créatif connecté à son temps prêt à relever ce défi de taille

Au-delà de la mode, Matthieu Blazy se distingue par son intérêt pour l’art contemporain et le design. Lors de ses défilés chez Bottega Veneta, il a multiplié les collaborations artistiques remarquées, comme les chaises uniques de Gaetano Pesce ou la réinterprétation d’objets iconiques de Le Corbusier. Ces initiatives témoignent de sa capacité à transcender les frontières de la création pour offrir des expériences immersives et narratives. Raf Simons, qui a joué un rôle déterminant dans la carrière de Blazy, le décrit comme un « génie des relations humaines », un créateur qui sait fédérer les équipes et faire émerger des idées novatrices. Une qualité précieuse dans une maison aussi complexe et emblématique que Chanel.

Reprendre les rênes de Chanel n’est pas une tâche aisée. Le fantôme de Karl Lagerfeld, qui a transformé la marque en empire mondial, plane encore sur la maison. Mais Matthieu Blazy semble prêt à relever le défi. Fidèle à son approche, il pourrait conjuguer respect des codes établis – tels que les emblématiques tailleurs en tweed et les sacs matelassés – avec une vision contemporaine et audacieuse. En 2025, tous les regards seront tournés vers Chanel pour découvrir comment Matthieu Blazy réinterprétera l’héritage de Gabrielle Chanel tout en inscrivant la maison dans une nouvelle ère. Une nomination qui promet de faire vibrer le monde de la mode.

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Jessica Alba, actrice et icône de mode, a captivé les regards ce samedi 14 décembre 2024, lors de la cérémonie des Discobolo Awards à Rome. L’événement, organisé dans le somptueux cadre de l’Hôtel Eden, a célébré le cinéma italien et international, mettant à l’honneur les talents qui font vibrer le grand écran.

ROME, ITALIE – 14 DÉCEMBRE : De gauche à droite, Michele Morrone, Jessica Alba, Paolo Bonolis, Vincenzo de Moor et Salvatore Esposito assistent aux « Discobolo Awards » 2024 à l’Hôtel Eden, le 14 décembre 2024, à Rome, en Italie. (Photo par Elisabetta Villa/Getty Images pour The Andrea Iervolino Company)

Un retour remarqué au cinéma

Jessica Alba revient sur le devant de la scène avec son rôle dans le film « Maserati : The Brothers », dirigé par le réalisateur primé Bobby Moresco. Ce long-métrage, qui explore les destins croisés de deux frères dans l’Italie des années 60, a réuni un casting prestigieux incluant Michele Morrone, Andy Garcia, et Salvatore Esposito. La projection du film a été l’un des temps forts de cette soirée consacrée à l’excellence cinématographique.

Un choix vestimentaire empreint de poésie

Sur le tapis rouge, Jessica Alba a fait une entrée éblouissante dans une robe signée Valentino, issue de la collection pré-automne 2025. Transparente, ornée de délicates broderies florales, cette pièce élégante soulignait la grâce et la féminité de l’actrice. Connu pour son sens du style, Alba n’en est pas à son premier choix réussi avec la maison Valentino, une marque qu’elle affectionne tout particulièrement. Sa tenue, stylisée par Ariella Masjedi, a été acclamée pour sa combinaison parfaite d’audace et de raffinement.

ROME, ITALIE – 14 DÉCEMBRE : Jessica Alba assiste aux « Discobolo Awards » 2024 à l’Hôtel Eden, le 14 décembre 2024, à Rome, en Italie. (Photo par Elisabetta Villa/Getty Images pour The Andrea Iervolino Company)

Une soirée sous le signe de l’élégance et du cinéma

Les Discobolo Awards ont rassemblé des figures majeures du 7ᵉ art dans une atmosphère empreinte de glamour. Alba, à 43 ans, continue d’incarner le mélange parfait entre talent et sophistication. Aux côtés de ses collègues et amis du casting, elle a offert aux photographes un moment de grâce qui restera dans les mémoires.

Avec son retour sur grand écran et son charisme indéniable, Jessica Alba confirme qu’elle est toujours l’une des figures incontournables d’Hollywood et une source d’inspiration sur les tapis rouges.

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Au carrefour de la solitude et de la rencontre, là où les âmes se frôlent et se dévoilent, se trouve Kenza Ito Mekouar, psychologue, thérapeute holistique, professeur de yoga, conférencière et maman. Elle rayonne d’une énergie inspirante, brillante comme un soleil marocain. Ancrée dans la richesse de sa terre natale qu’elle chérit tant, le Maroc, Kenza respire la générosité et la bienveillance.

Dans une atmosphère empreinte de sérénité et dans l’intimité de son propre reflet, elle confit lors de ce moment : « Je crois qu’il est essentiel d’apprendre à écouter ses propres besoins, à se comprendre soi-même avant de chercher à répondre aux attentes des autres. Pour moi, le bonheur ne réside pas simplement dans la joie éphémère, mais dans la capacité à trouver son chemin, sa place dans le monde, en harmonie avec ce qui nous anime véritablement. »

 Passionnée de danse et de musique depuis ses premiers jours, elle entend résonner chaque note et ressent chaque mouvement comme un hommage à la vie et à l’amour. Connectée au monde lorsqu’il le faut, Kenza sait aussi et surtout se déconnecter pour se retrouver et puiser dans les silences l’essence même de l’existence.  Son objectif ? Réveiller l’enfant qui sommeille en chacun de nous, nous invitant à voir le monde avec un regard nouveau et émerveillé. 

Kenza, vêtue de blanc et parée d’accessoires dorés évoquant les motifs délicats de sa tenue, danse avec l’océan en toile de fond. Sa grâce naturelle et son style raffiné s’harmonisent avec les vagues, créant une image de liberté et de connexion avec la nature : « La beauté, pour moi, est synonyme d’amour en partage et d’accroche à l’instant présent. Lorsque nous sommes entourés de beauté, que ce soit un magnifique coucher de soleil, une architecture harmonieuse ou la nature elle-même, nous sommes automatiquement ancrés dans l’instant présent. »

Sa vocation initiale l’a conduite sur le divan de la psychanalyse et de la psychologie, mais sa soif de proximité humaine l’a finalement orientée vers une approche plus proximale, plus intime, loin du déni du corps.  Aujourd’hui, bien qu’elle reçoive toujours des patients en séance, elle a également de nombreux élèves qu’elle accueille dans ses cours ou lors de ses retraites, au sein desquelles elle cultive un espace où chacun peut se sentir comme à sa juste place, et autorisé à être lui-même, tout simplement.

À l’Iglesia Al-Jadidah, Kenza resplendit dans une somptueuse robe rouge signée Coup de soleil, fusionnant élégamment passé et présent. Une allure et un état d’esprit qui  s’unissent harmonieusement avec ce lieu chargé d’histoire, créant un tableau de grâce et de sophistication. Toujours profondément connectée avec ce qui l’entoure, elle partage : « Lorsqu’on se nettoie énergétiquement et psychologiquement, on est forcément plus léger, et notre vibration est plus haute. »

Généreuse, elle guide avec douceur et talent, instillant l’importance de la gratitude, et ponctuant d’ailleurs souvent ses phrases par un « Al hamdoullah » sincère et apaisant. Elle est une alchimiste de l’âme, transformant les moments ordinaires en expériences extraordinaires de partage et de découverte.  Sa vie est un témoignage vibrant de la puissance de la Vie, de la maternité consciente, de la magie de la connexion à soi et à l’autre, et du potentiel créateur infini de chaque être humain.  

Rencontre avec celle qui crée LA rencontre

UNE VOIE, PUIS UNE VOIX, TISSANT LE DESTIN…

Pouvez-vous nous parler du parcours qui vous a menée à la psychologie clinique ?

J’ai grandi au Maroc ou j’ai eu une enfance paisible. C’est plutôt arrivé naturellement. Aller voir un psy n’était pas du tout tabou dans ma famille. Cela faisait partie de notre hygiène de vie, au même titre que consulter un dentiste ou un médecin.  Plus tard, pendant les années lycée, on me disait souvent : « Tu devrais aller vers psycho. »  Pourquoi ? Parce que la psychologie fait partie intégrante des sciences humaines et sociales, et se rapproche en ce sens des lettres et de la philosophie.  Or j’étais une véritable littéraire, se préparant à passer un bac L.  Mais à cette remarque, je répondais : « Je ne sais pas si j’en suis capable, il faut, pour ça, beaucoup de générosité. » Après mon bac, j’ai fait une prépa littéraire à Paris. Bien que je m’en sortais bien, je trouvais cela trop rigide, trop scolaire, ce qui ne me plaisait pas vraiment.  J’ai donc fini par m’inscrire en fac de psychologie, où l’ambiance était moins tendue, et j’y suis allée avec plus de plaisir.  À Paris V, j’ai découvert ma passion pour la psychologie clinique, la psychopathologie, et la psychanalyse.  J’ai donc décidé de changer de fac pour aller à Paris VII où j’ai étudié la psychanalyse avec des maîtres à penser comme Fethi Benslama, Paul-Laurent Assoun et Alain Vanier. Là, je me suis véritablement épanouie. Les lectures étaient passionnantes, les cours aussi. Parallèlement, j’allais aux cours Florent et goûtais chaque jour à la saveur de la vie parisienne.

Puis vous êtes rentrée définitivement au Maroc…

Malgré cet épanouissement, je faisais encore, quelque part, ce que les autres attendaient de moi. Étudier la psychologie n’était pas uniquement un choix personnel. Il avait été initié et orienté par d’autres.  En rentrant au Maroc, j’ai donc commencé à pratiquer en tant que psychologue. Après une année de bénévolat au chevet des patients, dans le service des maladies infectieuses dirigé à l’époque par Hakima Himmich, fondatrice de l’ALCS, j’ai compris ce qui m’animait le plus : l’accompagnement proximal, le soutien et l’écoute des personnes en détresse.  

Vous avez mentionné un événement marquant en 2017. Pouvez-vous nous en parler ?

En 2017, après un souci familial, j’ai eu un problème de santé dont j’avais déjà fait l’expérience dix ans plus tôt. La semaine d’hospitalisation qui s’en est suivie m’a fait prendre conscience de beaucoup de choses, notamment du fait que je n’écoutais pas assez mon corps et que je passais à côté de moi-même, à force de m’occuper des autres ou de vouloir leur faire plaisir.  Je ressentais de la colère, et je me demandais comment cela pouvait m’arriver une seconde fois. Alitée, immobile, je faisais face à ma propre douleur sans possibilité de la fuir ni de la contourner. J’étais furieuse contre le monde entier, jusqu’au moment où je me suis dit : « Les autres ne sont pas responsables de ce qui t’arrive. C’est à toi de prendre des décisions, de faire tes choix. »  Six mois plus tard, en juillet 2017, j’étais au Costa Rica pour passer ma première certification en tant que professeure de yoga. Et tout s’est enchaîné très vite.  Quand on suit son cœur, les choses s’alignent si naturellement que c’en est presque déconcertant.

Un moment suspendu entre ciel et terre. Kenza Ito Mekouar, connectée à l’univers tout en se déconnectant du tumulte du monde. Une vision d’harmonie et de sérénité absolue

Vous voyagez régulièrement, seule, à l’autre bout du monde. Cela demande beaucoup de courage, surtout en tant que femme. C’est vital pour vous ?

La solitude a toujours été présente dans ma vie. Je l’apprivoise et réussis à l’apprécier. Je voyage régulièrement seule et je n’ai jamais eu de problème à aller au cinéma ou au restaurant sans autre compagnie que moi-même, notamment pendant mes années d’études à Paris. C’est ma façon à moi de me recharger : j’ai besoin de me retrouver.  J’apprécie mes moments de solitude même lorsque je voyage avec des amis. Je suis d’ailleurs souvent initiatrice de ces voyages, tout simplement parce que je les prévois d’abord pour moi-même, puis que celles et ceux qui souhaitent se joindre à moi le font.  Mais je n’attends pas forcément d’être accompagnée pour partir à l’aventure. A force de trop attendre les autres, on passe souvent à côté de moments riches dont nous avons pourtant besoin, sur notre chemin, pour grandir en conscience et se faire du bien.  Je ne dis pas pour autant que je n’ai pas besoin des autres. Ce sont deux choses différentes : on peut apprendre à apprécier ses moments de solitude tout en reconnaissant, en tant qu’humains, notre besoin les uns des autres. Tisser des liens, se sentir soutenu, vivre dans le partage, participent, à mon sens, au bien-être, à l’équilibre et au bonheur.

DES AMIS POUR LA VIE, LA MAGIE DES RETRAITES

Que cherchent les participants dans vos retraites de bien-être ?

Les participants viennent se reconnecter à eux-mêmes, se recharger, retrouver les parts d’eux-mêmes égarées au milieu du tumulte de la vie quotidienne. Mais ils viennent aussi, parfois sans le savoir, se rencontrer les uns les autres.  Nos sociétés, axées sur l’immédiateté, l’individualisme et la performance, manquent de douceur et de rapports humains authentiques.  Les retraites permettent de recréer des espaces sécures où des liens « vrais » et des amitiés profondes peuvent voir le jour. Dans notre quotidien, on peut côtoyer des gens pendant des années sans vraiment les connaître. Dans les retraites, quelques heures suffisent parfois à se rencontrer, puisqu’on est dans l’écoute, la pleine présence et le partage.  Et ça me remplit de joie de voir des amitiés extraordinaires naître, des liens qui traversent les frontières et perdurent. Mais attention : le travail que l’on réalise en retraite n’est pas facile pour autant. La rencontre avec soi-même requiert beaucoup de courage et de volonté. Accueillir sa propre vulnérabilité aussi, mais ce qu’il y a de plus beau là dedans, c’est qu’en le faisant, on permet à l’autre de le faire aussi. La dynamique de groupe et la puissance des cercles de parole sont remarquables.

Plus qu’une enseignante de yoga, une inspiration. Kenza partage son art avec passion, transmettant à ses élèves bienveillance et équilibre. Chaque cours devient une expérience inoubliable

Comment créez-vous un sentiment de communauté parmi des participants de cultures diverses ?

La clé réside dans ce que l’on parvient à toucher en l’autre. Ce que l’on réussit à faire vibrer à une fréquence qui dépasse les différences culturelles, religieuses, identitaires.  C’est en touchant cette corde sensible avec subtilité et délicatesse que l’on permet à chacun de reconnaître sa propre humanité en l’autre. Et que l’on permet au groupe de n’être plus qu’ « UN ».  Et puis, bien sûr, des valeurs  universelles comme le respect, l’écoute, le non-jugement et l’authenticité ont un impact profond sur le groupe.  Les activités et les moments de travail et de partage sont essentiels.   La musique, langage universel, aussi. Chaque participant enrichit le groupe de son histoire et de ses partages. De ce qu’il est venu apporter, déposer.  C’est ainsi que des amitiés durables se créent. Les participants restent souvent en contact après les retraites, les partages perdurent, ce qui est extraordinaire.  Les hommes, bien qu’un peu moins nombreux, tissent également des liens forts. Voir ces amitiés naître est une véritable bénédiction.C’est en ce sens aussi que l’on peut parler d’UNION, mot duquel le yoga puise son origine étymologique (Yuj).

Des retraites en famille, cela semble de plus en plus d’actualité…

Absolument. J’ai toujours accueilli des participants venus en couple, ou en famille. Des mères et des filles, des frères et sœurs. J’ai même déjà reçu un grand-père et son petit-fils.  Récemment lors de la Full Moon Candle Ceremony à Rabat, beaucoup de participants sont venus en famille. C’était très inspirant de voir ces liens familiaux se consolider à travers le partage d’expériences transformatives.  Les couples en ressortent souvent plus soudés, la communication entre frères et sœurs, parents et enfants, plus fluide et apaisée, les rapports remplis d’une énergie nouvelle.  Et paradoxalement, il est intéressant de faire sortir les familles de leur zone de confort en leur offrant l’opportunité d’échanger avec d’autres personnes, sans s’enfermer dans la facilité des rapports pré-établis.  C’est aussi une façon de leur permettre de vivre leurs propres expériences de manière plus profonde, sans constamment avoir le souci de l’autre. De faire leur propre voyage, indépendamment les uns des autres. C’est très puissant de voir comment les membres d’une même famille ou d’un couple parviennent à grandir individuellement tout en renforçant leurs liens affectifs et en améliorant leur relation.

D’où vient cette ambiance toujours très chaleureuse lors de vos retraites ?

De l’authenticité. De la sincérité. De l’honnêteté, valeur suprême sans laquelle il ne peut y avoir de spiritualité. En nous autorisant à être nous-mêmes, en embrassant nos failles, notre vulnérabilité, nos parts d’ombre, nous déposons les armes et les masques sociaux.  Ce travail, souvent douloureux, est nécessaire si l’on veut aller à la rencontre de la joie véritable. Si je fuis une partie de moi-même, je ne suis plus moi-même. Je ne suis plus entier, complet.  Dès lors, toutes les expériences qu’il m’est donné de vivre, je ne peux les vivre que superficiellement, la joie comme la peine.  Or travailler avec l’entièreté de son être, accepter l’inconfort, accueillir  les émotions que l’on redoute, avoir le courage de se laisser guider vers des espaces inconscients (et c’est là que mon travail de psy intervient), c’est aussi se permettre de goûter aux plus grandes joies.  Lorsqu’on se nettoie énergétiquement et psychologiquement, on est forcément plus léger, et notre vibration est plus haute. Nous sommes tous dans notre vérité, dans une pureté retrouvée, celle de l’enfance, de la spontanéité. Cela nous permet de nous reconnecter à notre essence sans exiger de nous-mêmes d’être « la meilleure version de soi », injonction sociétale qui tue à petit feu. Et c’est magique d’observer que c’est souvent en acceptant d’incarner la « pire » version de soi-même qu’advient la meilleure, ou du moins, la plus vraie.

Comment intégrez-vous la musique dans vos pratiques ?

J’intègre la musique comme un soutien essentiel, un étayage.  Elle accompagne les mouvements lors des cours de yoga, porte la parole et les émotions.  Les chants sacrés, qui font partie intégrante du Yoga (c’est ce qu’on appelle le Bhakti Yoga, le yoga de l’amour et de la dévotion) viennent quant à eux ouvrir les cœurs. Ils nous permettent de vibrer à l’unisson et de communiquer à travers le langage musical, qui crée des ponts par-delà les frontières. Ces chants, non religieux, possèdent une puissance extraordinaire. Je me permets d’ailleurs de souligner la différence entre le sacré et le religieux, pour éviter toute confusion : est sacré ce qui porte de l’intention, ce qui est fait avec amour. C’est pour cette raison que nous parlons de chants sacrés ou de musique sacrée. Aucune autre interprétation ne doit venir entraver cette intention première, celle de vibrer ensemble, à cœur ouvert.  Tout simplement.

Kenza Ito Mekouar fait de la musique bien plus qu’un simple fond sonore lors de ses cours de yoga : elle en fait une compagne essentielle, un pont vers l’émotion et l’ouverture des cœurs. Les chants sacrés, empreints de Bhakti Yoga, transportent chaque participant dans un voyage spirituel et collectif, vibrant à l’unisson au-delà des mots et des frontières. Une expérience où chaque note devient une intention, et chaque vibration, une invitation à l’amour et à la dévotion.

UN VOYAGE COLLECTIF VERS LE BIEN-ÊTRE

L’importance de l’acceptation de la différence semble être le b.a-ba pour vous. Pouvez-vous nous expliquer comment cela se manifeste concrètement et pourquoi c’est si crucial ?

Bien sûr. Avoir conscience que nous sommes une partie infime d’un grand « Tout » ne doit pas nous empêcher de percevoir et d’accueillir avec respect nos différences. Il ne s’agit ni de les nier, ni d’en faire un obstacle. Bien au contraire : accepter la différence est en quelque sorte une libération : si nous partons du principe que l’autre doit être comme nous et se comporter comme nous, nous devenons très exigeants envers lui, et nous sommes alors forcément déçus face à nos attentes. Or les frustrations créent de la tension et de la distance.

DANS L’ÉCLAT D’UNE MATERNITÉ ÉVIDENTE

Avez-vous toujours nourri ce désir profond de devenir maman, comblée aujourd’hui par l’arrivée de votre enfant il y a quelques années ?

Oui, à 1000 %. Je l’ai toujours désiré, et je ressens une gratitude infinie de l’être devenu, el Hamdoullah.  Dès le collège, je rêvais déjà des prénoms de mes enfants. D’ailleurs, dans une autre vie, j’aurais pu en avoir 10 (même si, Dieu merci, un enfant, c’est merveilleux et amplement suffisant pour la femme que je suis). Écologiquement parlant, fonder une famille nombreuse, ce n’est peut-être pas idéal, en même temps je ne pense pas que la solution à nos problèmes démographiques et environnementaux consiste uniquement à faire moins d’enfants, mais plutôt à faire des enfants conscients. C’est notre conscience de la vie et de nous-mêmes qui peut aider à faire évoluer le monde dans le bon sens. Aussi, mon enfant m’a fait aimer encore plus fort les autres enfants, sans distinction. Je pense que c’est cet amour universel que nous enseignent nos enfants : à aimer au déjà des différences, à reconnaître notre progéniture en celle des autres, à ne plus juger, à mieux comprendre, à se rappeler qu’en chacun sommeille un enfant intérieur (ce qui aide tellement à pardonner…), et que chaque personne de ce monde est la merveille, est l’univers de quelqu’un d’autre (de ses parents). L’un de mes poèmes préférés, écrit par Pablo Casals, finit d’ailleurs ainsi : « Oui, tu es une merveille, et lorsque tu seras grand, pourrais-tu faire du mal à quelqu’un qui, comme toi, est une merveille ? Tu dois œuvrer, nous devons œuvrer à rendre le monde digne de ses enfants. »Pour moi, devenir maman, c’est ne pas tolérer qu’on puisse faire du mal à un enfant, quelle que soit sa confession ou sa couleur de peau (et je précise que beaucoup de femmes n’ayant pas enfanté portent cette sagesse et incarnent la maternité dans ce qu’elle a de plus beau, puisque ce sont les mères et les gardiennes de notre Monde)

On dit d’ailleurs souvent qu’une énergie maternelle qui se manifeste dans votre travail…

Absolument. Souvent dans mes retraites, je me retrouve avec des femmes qui ont l’âge de ma mère et qui me disent qu’en ma présence, elles ont l’impression d’être avec une maman. C’est une énergie qui a toujours fait partie de moi. Elle se manifeste dans la façon dont je prends soin des participants, dont je les guide et les soutiens.  Cette énergie maternelle m’aide à créer un espace de sécurité et de bienveillance dans lequel les participants peuvent alors s’ouvrir en se sentant autorisés à être eux-mêmes. C’est une partie intégrante de qui je suis.

Quelles sont les valeurs que vous souhaitez transmettre à votre enfant ?

 Les valeurs et les principes qui me tiennent à cœur dans l’éducation de mon enfant sont profondément enracinés dans l’idée de partir de soi-même. Contrairement à ce que l’on a enseigné aux générations précédentes, je crois qu’il est essentiel d’apprendre à écouter ses propres besoins, à se comprendre soi-même avant de chercher à répondre aux attentes des autres. Pour moi, le bonheur ne réside pas simplement dans la joie éphémère, mais dans la capacité à trouver son chemin, sa place dans le monde, en harmonie avec ce qui nous anime véritablement.

LE MAROC, UN AMOUR ENRACINÉ

Vous organisez des retraites dans des lieux qui semblent être choisis avec soin. Pourriez-vous nous dévoiler votre approche dans la sélection de ces lieux ?

Je privilégie des endroits qui ont une âme, une beauté qui attire et qui inspire. La beauté, pour moi, est synonyme d’amour en partage, et d’accroche à l’instant présent. Lorsque nous sommes entourés de beauté, que ce soit un magnifique coucher de soleil, une architecture harmonieuse ou la nature elle-même, nous sommes automatiquement ancrés dans l’instant présent. Nous n’avons pas envie d’aller ailleurs, de nous échapper, car nous sentons notre âme nourrie de l’intérieur. C’est pourquoi je recherche des lieux qui captivent non seulement par leur esthétique, mais aussi par leur capacité à raconter une histoire, à éveiller nos sens. Je suis attirée par des endroits qui me font vibrer, qui ont un potentiel émotionnel fort. Que ce soit en bord de mer, en montagne ou au cœur de la nature, ces lieux ont un pouvoir de guérison et d’éveil. Je les choisis, pour la plupart, simples et épurés, parfois plus sophistiqués, mais en connexion avec la nature, car cette dernière est l’un des plus grands remèdes qu’il soit.

Un dernier mot pour conclure…

Je dirai, de ne pas hésiter à aller à la recherche de cette expansion de la conscience en passant par le corps. De travailler à regarder la beauté du monde et de l’humain, plutôt que la laideur ou tout ce qui n’est pas comme on le voudrait. D’apprendre à moins juger. D’entreprendre un chemin pour grandir en âme et en amour. J’aimerais d’ailleurs citer Spinoza, dont mon ami Frédéric Lenoir explique et développe si bien la pensée, qui disait, que, dans la nature, tout être vivant tend à croître, persévère pour croître et pour grandir. Et l’état de bonheur viendrait, en grande partie, de ce sentiment de grandir, en s’accomplissant à travers des choses qui ont du sens, pour un chemin de vie qui trouve son sens… pas à pas, petit à petit.

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Johnny Depp, éternel charmeur et icône du cinéma, a illuminé Djeddah lors du Red Sea International Film Festival. Avec son charisme intact et une aura toujours fascinante, il a captivé l’objectif lors d’un photocall pour son dernier projet, Modì, Three Days on the Wing of Madness. Ce film, qu’il réalise, plonge dans la vie tourmentée du peintre Amedeo Modigliani. Une apparition qui rappelle que, même après des années mouvementées, Johnny Depp reste une légende incontestée, prête à marquer de nouveaux chapitres dans l’histoire du cinéma.

DJEDDAH, ARABIE SAOUDITE – 12 DÉCEMBRE : Stephen Deuters, Johnny Depp, Riccardo Scamarcio, Sam Sarkar et Jason Forman posent lors d’un photocall pour le film Modì, Three Days on the Wing of Madness au Red Sea International Film Festival 2024, le 12 décembre 2024, à Djeddah, Arabie Saoudite. (Photo de Tim P. Whitby/Getty Images pour le Red Sea International Film Festival)

Cette apparition marque un nouveau chapitre dans la carrière de Depp, qui a traversé des années mouvementées. Depuis son premier rôle marquant dans Edward aux mains d’argent, il a bâti une carrière impressionnante, devenant l’un des acteurs les plus polyvalents et charismatiques de sa génération. Mais les dernières années n’ont pas été de tout repos pour l’artiste. Entre des batailles juridiques très médiatisées avec son ex-femme Amber Heard et une pause dans sa carrière hollywoodienne, Depp a trouvé refuge et renouveau dans des projets plus intimes et européens.

DJEDDAH, ARABIE SAOUDITE – 12 DÉCEMBRE : Johnny Depp assiste à la projection de Modì, Three Days on the Wing of Madness au Red Sea International Film Festival 2024, le 12 décembre 2024, à Djeddah, Arabie Saoudite. (Photo de Daniele Venturelli/Getty Images pour le Red Sea International Film Festival)

En 2023, il a fait un retour remarqué avec Jeanne du Barry, où il interprète Louis XV, un rôle qui l’a rapproché du cinéma français et des festivals européens. Sa performance a été largement saluée, marquant un tournant dans sa carrière après une période difficile.À Djeddah, Depp semblait revigoré, incarnant avec son style unique une élégance qui n’appartient qu’à lui. Son charme magnétique et sa passion pour les arts continuent de captiver, et Modì s’annonce comme une nouvelle preuve de son talent et de sa sensibilité artistique. Ce retour, sur un tapis rouge aussi prestigieux, réaffirme que Johnny Depp reste une légende vivante du cinéma.

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Depuis son divorce avec Ben Affleck, Jennifer Lopez semble incarner une vérité universelle : rien ni personne ne peut éteindre l’éclat d’une femme déterminée. Loin de s’effondrer, la star a embrassé cette nouvelle étape de sa vie avec une énergie renouvelée, prouvant une fois de plus qu’elle est bien plus qu’une icône glamour. Elle est une force de la nature, une femme «  »unstoppable« , et surtout, une inspiration.

Un tour du monde des tapis rouges

Ces derniers mois, J.Lo a enchaîné les apparitions éblouissantes lors d’avant-premières à travers le globe. Des robes haute couture qui sculptent son allure légendaire aux bijoux scintillants, chaque look raconte une histoire : celle d’une femme libre, sûre d’elle, et plus belle que jamais. Que ce soit à New York ou à Londres Jennifer attire les regards avec un magnétisme indéniable. Mais derrière ces paillettes, elle reste fidèle à sa nature.

HOLLYWOOD, CALIFORNIE – 17 NOVEMBRE : Jennifer Lopez arrive aux Governors Awards 2024 au Dolby Theatre, le 17 novembre 2024 à Hollywood, en Californie. (Photo par Steve Granitz/FilmMagic)

Un cliché récemment devenue virale la montre, à minuit passé, toujours vêtue d’une robe glamour, en train de préparer un snack dans sa cuisine.

Capture d’ecran @jlo

Quelques jours plus tard, c’est dans une tenue plus simple mais tout aussi élégante qu’elle s’est attelée à la préparation d’une dinde pour Thanksgiving. Toujours radieuse, toujours authentique, Jennifer prouve que la vraie élégance ne se mesure pas seulement aux projecteurs, mais aussi dans ces moments d’intimité qui témoignent d’une simplicité désarmante.

Capture d’ecran @jlo

Une présence sur tous les fronts qui reste connectée à sa communauté malgré les aléas de la vie

Jennifer Lopez n’a jamais été du genre à ralentir, et ce nouveau chapitre de sa vie ne fait pas exception. Entre sa tournée de concerts, ses collaborations avec Prime Video, et son dévouement à ses entraînements quotidiens, elle jongle avec une grâce presque irréelle. On la voit poser pour des campagnes ou des journées presse dans des tenues qui mettent en valeur sa silhouette sculpturale. Elle n’a jamais cessé d’entretenir son corps, cette discipline qu’elle cultive depuis des années, et qui est aujourd’hui l’un de ses plus grands atouts. Dans une autre séquence devenue virale, elle s’installe dans sa cuisine pour concocter un cocktail, partageant avec ses followers ses astuces pour une boisson parfaitement équilibrée. Avec cette capacité unique à allier éclat et authenticité, J.Lo reste connectée à son époque, inspirant ses millions d’admirateurs à travers le monde.

Plus forte, plus lumineuse… et récompensée !

Le divorce, loin d’être une fin, a été pour elle un point de départ. JLO ne se contente pas d’exister, elle brille. Elle est énergique, connectée, présente sur tous les fronts : cuisine, musique, cinéma, et vie de famille. Ce qui frappe le plus, c’est son énergie inébranlable, sa capacité à transformer les défis en opportunités. Ce 5 décembre, elle a reçu un prix Ilors ndieWire Honors 2024, pour son rôle dans « Unstoppable »… qui lui va si bien, finalement !

Jennifer Lopez pose avec le Maverick Award pour son rôle dans « Unstoppable » lors des IndieWire Honors 2024, qui se sont tenus à Citizen News, Los Angeles, le 5 décembre 2024. (Photo par Rich Polk/IndieWire via Getty Images)

Dans une époque où les femmes sont souvent définies par leurs relations, la belle latina rappelle une leçon essentielle : une femme déterminée le restera, quels que soient les obstacles. Plus forte, plus belle et plus radieuse que jamais, elle réinvente ce que signifie être une icône moderne.

En somme, Jennifer Lopez est bien plus qu’une star. Elle est une inspiration pour toutes les femmes, une ode à la résilience et à la puissance féminine. Une chose est certaine : J.Lo n’a pas fini de conquérir le monde. Et franchement, qui pourrait l’arrêter ?

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Lors du récent Red Sea International Film Festival 2024 à Djeddah, Yasmine Sabri a marqué les esprits en foulant le tapis rouge dans une somptueuse robe rouge qui a presque volé la vedette à l’événement lui-même. Radieuse et pleine de grâce, l’actrice égyptienne a capté tous les regards par sa beauté et son charisme, réaffirmant son statut d’icône glamour de la scène internationale.

Une ascension fulgurante et un talent naturel

Née à Alexandrie en 1988, Yasmine Sabri a commencé sa carrière en tant que nageuse passionnée avant de se tourner vers le cinéma. Très tôt, elle s’illustre dans des rôles marquants, notamment dans la série Halawet El Donia. Sa performance dans El Dezel marque un tournant décisif, la propulsant sous les projecteurs du cinéma arabe. Grâce à son talent naturel, elle est rapidement devenue une figure incontournable de la scène cinématographique, alliant beauté, charisme et performances mémorables.

Une ambassadrice de style et d’élégance

Suivie par plus de 20 millions de personnes sur les réseaux sociaux, réputée pour son goût raffiné, Yasmine est souvent saluée pour ses choix vestimentaires audacieux et impeccables. Ambassadrice de grandes marques de luxe, elle est une présence constante sur les tapis rouges, où elle incarne la sophistication moderne. Son partenariat avec Cartier est un exemple éclatant de son rayonnement international.

SAN FRANCISCO, CALIFORNIE – 5 AVRIL : Yasmine Sabri assiste à la célébration par Cartier du lancement de la montre Santos de Cartier au Pier 48, le 5 avril 2018 à San Francisco, en Californie. (Photo par Kimberly White/Getty Images pour Cartier)

Une femme engagée et inspirante

Au-delà de son image glamour, Yasmine est une ardente défenseuse de l’autonomisation des femmes et des causes humanitaires. Son engagement pour l’éducation et la santé témoigne de son désir de contribuer positivement à la société, en particulier dans sa région natale.

RIYADH, ARABIE SAOUDITE – 2 NOVEMBRE : Yasmine Sabri est intervenue sur scène lors du quatrième jour de HIA HUB, la plus grande conférence régionale dédiée à la mode, à la beauté et au style de vie, qui s’est tenue dans le quartier JAX de Riyad, le 2 novembre 2024. (Photo par Cedric Ribeiro/Getty Images pour HIA HUB)

Quelques anecdotes marquantes

  • Sa ressemblance avec les grandes actrices égyptiennes de l’âge d’or lui a valu une admiration particulière.
  • Elle partage souvent des messages inspirants sur les réseaux sociaux, reflétant son intérêt pour le développement personnel.

Avec sa beauté intemporelle, son talent et son dévouement, Yasmine Sabri continue d’être une source d’inspiration et une figure incontournable du cinéma arabe.

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Chaque saison, la Fashion Week inspire de nouvelles tendances, mais ce sont les looks de rue qui les rendent accessibles et adaptables à notre quotidien. Cet hiver, la cagoule, longtemps oubliée ou associée à une simple fonction pratique, fait son grand retour et s’impose comme un accessoire incontournable. À mi-chemin entre confort et audace, elle conquiert les fashionistas et transcende son image traditionnelle pour devenir une pièce stylée et polyvalente.

Pourquoi ce retour en force ? Peut-être est-ce l’envie de revisiter les accessoires rétro, ou encore les températures glaciales qui incitent à trouver des solutions élégantes pour se protéger du froid. Une chose est certaine : la cagoule s’affiche désormais dans des déclinaisons aussi variées que créatives. Des versions en cachemire doux aux modèles brodés, en passant par les teintes éclatantes, elle s’adapte à tous les styles. Les choix osés, comme les imprimés léopard ou zébrés, insufflent une énergie ludique aux tenues, tandis que les couleurs neutres apportent une touche chic et minimaliste.

Comment intégrer la cagoule dans son dressing ?

Si vous souhaitez embrasser cette tendance, plusieurs options s’offrent à vous :

  • Pour illuminer vos looks : Optez pour une cagoule crème ou rose poudré, idéales pour éclairer votre visage.
  • Pour une élégance intemporelle : Le noir reste une valeur sûre, parfait pour compléter un look sobre et sophistiqué.
  • Pour oser l’originalité : Choisissez des modèles avec des motifs audacieux ou des textures inhabituelles.

La cagoule n’est plus seulement fonctionnelle. Elle se porte aussi bien avec un manteau oversize qu’avec un look urbain plus travaillé. C’est un statement, un moyen de montrer que l’on peut allier confort et style sans compromis. Et pour celles et ceux qui souhaitent aller plus loin, de nombreuses marques proposent des modèles écoresponsables, fabriqués à partir de matériaux durables.

En 2024, la cagoule se place au cœur des tendances hivernales. Elle s’impose comme un accessoire caméléon qui allie chaleur et style. Alors, que vous soyez adepte des looks minimalistes ou des pièces affirmées, cet incontournable de la saison trouvera sa place dans votre garde-robe.

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Lorsqu’il s’agit de cheveux, les tendances évoluent aussi vite que les saisons. En 2025, deux styles s’imposent : le glamour intemporel des cheveux longs et la modernité chic du carré. Mais comment choisir celui qui vous mettra le mieux en valeur et vous permettra de briller comme une star ?

Yasmine Sabri : l’incarnation du glamour avec ses cheveux longs

Sur le tapis rouge du Red Sea International Film Festival, Yasmine Sabri a capté tous les regards avec ses longs cheveux lisses et soyeux. Leur éclat, leur mouvement et leur élégance ont parfaitement complété sa robe somptueuse, prouvant une fois encore que les cheveux longs sont synonymes de sophistication intemporelle. Ce look ultra-féminin, qui flatte presque tous les types de visages, fait rêver. Il rappelle l’essence du glamour hollywoodien, mêlée à une touche de modernité.

DJEDDAH, ARABIE SAOUDITE – 5 DÉCEMBRE : Yasmine Sabri assiste à la cérémonie d’ouverture du Festival International du Film de la Mer Rouge 2024, le 5 décembre 2024 à Djeddah, en Arabie Saoudite. (Photo par Arnold Jerocki/Getty Images)

Le carré : une audace raffinée

Georgina Rodriguez, icône de style et d’élégance, a récemment opté pour le carré, prouvant que cette coupe intemporelle peut être un choix audacieux et moderne à la fois. Toujours en vogue, le carré séduit par sa polyvalence et son raffinement. Qu’il s’agisse d’un ultra-court façon boyish, d’un bob classique droit, ou encore d’un carré légèrement wavy, cette coupe offre une multitude de déclinaisons pour s’adapter à toutes les envies.

DJEDDAH, ARABIE SAOUDITE – 5 DÉCEMBRE : Georgina Rodríguez assiste à la cérémonie d’ouverture du Festival International du Film de la Mer Rouge 2024, le 5 décembre 2024 à Djeddah, en Arabie Saoudite. (Photo par Arnold Jerocki/Getty Images)

Cheveux longs ou carré : pour quoi opter

Le choix entre ces deux styles dépend avant tout de votre morphologie et de votre style de vie.

  • Les cheveux longs : Idéal pour celles qui ont un visage rond, carré ou ovale. Ils allongent et adoucissent les traits. Parfait pour les occasions spéciales, ils nécessitent cependant un entretien minutieux.
  • Le carré : Si vous avez un visage ovale ou en forme de cœur, il encadre magnifiquement les pommettes. Plus facile à entretenir, il convient à un mode de vie actif et dynamique.

Petit conseil : Essayez des simulations capillaires avec des applications ou consultez un coiffeur expert pour visualiser le résultat avant de sauter le pas.

Comment obtenir et entretenir de longs cheveux sains ?

Si vous optez pour des cheveux longs, voici un guide pour les garder éclatants comme ceux de Yasmine Sabri :

  1. Adoptez une routine capillaire adaptée :
    • Lavez vos cheveux avec un shampoing doux sans sulfates.
    • Appliquez un masque nourrissant une fois par semaine, idéalement à base de kératine ou d’huile d’argan.
  2. Protégez vos cheveux :
    • Limitez l’utilisation de la chaleur. Lorsque vous utilisez un fer ou un sèche-cheveux, appliquez toujours un protecteur thermique.
    • Portez un chapeau ou utilisez des soins UV pour protéger vos cheveux du soleil.
  3. Mangez pour vos cheveux :
    • Une alimentation riche en protéines, oméga-3, vitamines B et biotine est essentielle. Les noix, le saumon, les œufs et les légumes verts sont vos meilleurs alliés.
  4. Hydratez vos pointes :
    • Massez régulièrement vos cheveux avec de l’huile de coco ou d’amande douce pour éviter les pointes fourchues.
  5. Visitez votre coiffeur :
    • Un petit rafraîchissement des pointes tous les 2-3 mois prévient les dommages et favorise une croissance saine.

Que vous optiez pour la longueur ou pour un carré stylé, le secret d’une chevelure remarquable réside dans son entretien. Laissez vos cheveux parler pour vous et refléter votre personnalité. Et n’oubliez jamais : une femme confiante et bien dans sa peau reste toujours tendance.

Alors, cheveux longs ou carré ? Faites votre choix et brillez de mille feux !

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