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Yasmine Khizrane

Deux ans après avoir uni leurs destins au cœur d’Amman, le prince héritier Hussein et la princesse Rajwa de Jordanie ont célébré leur anniversaire de mariage dans l’intimité du palais royal. Le couple a partagé deux nouveaux portraits empreints de complicité et de douceur, pris dans les jardins qui avaient accueilli leur somptueuse cérémonie.

© Royal Hashemite Court

Le 1er juin 2023, le prince Hussein de Jordanie épousait Rajwa Al-Saif, jeune architecte saoudienne, lors d’un mariage majestueux célébré au palais de Zahran. Devant les regards du monde entier, la nouvelle princesse brillait ce jour-là dans une robe Elie Saab, marquant le début d’un chapitre prometteur dans l’histoire de la dynastie hachémite. Moins d’un an et demi plus tard, le couple accueillait une petite fille, prénommée Iman, première petite-fille du roi Abdallah II et de la reine Rania.

Une parenthèse à deux

Pour marquer leurs noces de cuir, le prince héritier et son épouse ont choisi de s’offrir une parenthèse à deux, loin du tumulte et même… de leur adorable fille, qui attire si souvent l’attention. Deux clichés inédits ont été publiés pour l’occasion. Sur le premier, Hussein et Rajwa échangent un regard complice ponctué d’un rire partagé. La princesse y apparaît rayonnante dans une robe fluide signée Petar Petrov, ceinturée par une élégante pièce de chez Schiaparelli. Sur le second, le couple s’enlace tendrement sous les arbres du jardin royal, dans une atmosphère à la fois simple et profondément touchante. Ces images ont été capturées lors du mariage de la cousine du prince, la princesse Aisha, célébré début mai.

©Royal Hashemite Court

Une princesse pleinement engagée

En deux années de vie conjugale, Rajwa de Jordanie s’est installée avec élégance dans son rôle de future reine. Son retour sur la scène publique après son congé maternité a été marqué par une présence affirmée aux côtés du prince héritier, que ce soit lors de l’ouverture du parlement ou d’événements plus symboliques comme la rupture du jeûne avec des enfants orphelins pendant le ramadan. Sa popularité ne cesse de croître, portée par sa discrétion, son style et son engagement.

© Royal Hashemite Court

Et maintenant ?

Alors que leur fille Iman grandit loin des projecteurs, une question commence à se poser dans les cercles royaux comme chez les observateurs : le couple envisage-t-il déjà d’agrandir la famille ? Dans une monarchie où la succession demeure masculine, l’arrivée d’un fils permettrait d’assurer une transition dynastique directe. Pour l’heure, le prince Hashem, frère cadet de Hussein, reste le deuxième dans l’ordre de succession.

© Royal Hashemite Court

Mais au-delà des enjeux institutionnels, ce deuxième anniversaire vient surtout rappeler que la modernité et la tradition peuvent cohabiter harmonieusement dans la monarchie jordanienne, et que l’amour, même royal, peut se vivre avec naturel et simplicité.

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Du palais impérial de Tokyo aux pavillons futuristes de l’Expo 2025 à Osaka, le Grand-Duc de Luxembourg a passé six jours au Japon, entre découvertes culturelles, moments symboliques et rencontres marquantes. À ses côtés, Xavier Bettel et Yuriko Backes ont accompagné cette visite aux accents officiels, mais aussi profondément humains, à l’occasion de la Journée du Luxembourg célébrée à l’Exposition universelle.

Un dîner impérial à Tokyo

Au cours de cette visite, Leurs Majestés l’Empereur et l’Impératrice du Japon ont convié le Grand-Duc à un dîner officiel au Palais impérial de Tokyo. La Princesse Aiko était également présente lors de cette réception empreinte de solennité et de respect mutuel.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Rencontres politiques de haut niveau

Le Grand-Duc et la ministre Yuriko Backes ont rencontré le Premier ministre japonais, Monsieur Shigeru Ishiba. Cette entrevue a permis de réaffirmer la volonté commune de renforcer les relations bilatérales, à l’approche du centenaire de l’établissement des relations diplomatiques entre le Luxembourg et le Japon, prévu pour 2027.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Découverte de la culture et de l’innovation japonaises

À Tokyo, la délégation luxembourgeoise a visité teamLab, une exposition d’art numérique immersive reconnue mondialement pour sa créativité et son interactivité.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Elle s’est également rendue au gymnase olympique de Yoyogi, monument emblématique de l’architecture moderne japonaise, construit en 1961 pour les Jeux de Tokyo 1964.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

La Journée du Luxembourg célébrée à Osaka

Le point d’orgue de cette visite fut la célébration officielle de la Journée du Luxembourg à l’Expo 2025 à Osaka. Lors d’une réception réunissant des représentants économiques et institutionnels des deux pays, le Grand-Duc, accompagné de Xavier Bettel et de Yuriko Backes, a salué les liens étroits qui unissent le Luxembourg et le Japon.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Dans son discours, le Chef de l’État a mis en avant le dynamisme de la délégation économique luxembourgeoise, rassemblée par la Chambre de commerce, et a félicité l’équipe luxembourgeoise de l’Expo 2025 pour la réalisation remarquable du pavillon national.

Une cérémonie officielle et un concert prestigieux

La cérémonie de la Journée nationale du Luxembourg a débuté par la levée des drapeaux luxembourgeois et japonais, suivie des hymnes nationaux et d’un discours prononcé par le Grand-Duc.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Lors d’une réception au pavillon luxembourgeois, le Grand-Duc a pu échanger avec des membres de la communauté luxembourgeoise résidant à Osaka. La journée s’est clôturée par le concert Echoes of Tomorrow, réunissant trois artistes luxembourgeois de renom : le pianiste Francesco Tristano, le xylophoniste Pascal Schumacher et la danseuse Jill Crovisier, en collaboration avec la danseuse japonaise Maika Fujii.

Visite des pavillons internationaux et hommages aux relations économiques

Le Grand-Duc a également visité les pavillons nationaux de plusieurs pays, dont le Japon, l’Arabie saoudite (qui accueillera l’Expo 2030 à Riyad), Singapour, l’Ukraine, l’Inde, le Koweït, les Pays-Bas, la Belgique, l’Allemagne et la France.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Au cours de son séjour, le Chef de l’État a rencontré plusieurs dirigeants d’entreprises japonaises et les consuls honoraires du Luxembourg à Tokyo et à Osaka, saluant leur engagement dans le renforcement des liens économiques et culturels avec le Grand-Duché.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Un passage culturel à Kyoto pour conclure la visite

La s’est achevée à Kyoto par la découverte de sites historiques et culturels emblématiques, témoins du riche patrimoine japonais.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Cette visite officielle a contribué à approfondir encore davantage les relations d’amitié et de coopération entre le Luxembourg et le Japon.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey
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Fille du prince Fayçal bin Hussein et nièce du roi Abdallah II de Jordanie, la princesse Aisha bint Fayçal a récemment célébré son mariage avec Karim Yazid Al Mufti, dans un cadre intime et empreint de tradition. Descendante directe de la dynastie hachémite, la princesse Aisha incarne une génération de femmes royales à la fois discrètes, éduquées et engagées dans la vie civile.

Une robe empreinte d’histoire et un diadème symbolique

Pour cette journée mémorable, la princesse Aisha a fait le choix d’une robe alliant modernité et héritage : une jupe longue en satin ivoire et un corsage de dentelle finement travaillé. Mais c’est le diadème qui a capté les regards : une pièce florale délicate, déjà portée par sa sœur aînée, la princesse Ayah, lors de son mariage en 2014.

© Royal Hashemite Court

Ce bijou pourrait être un héritage transmis par leur mère, la princesse Alia Tabbaa, première épouse du prince Fayçal bin Hussein. Ce geste, hautement symbolique, perpétue une tradition familiale et pourrait prochainement se répéter si la princesse Sara, sœur jumelle d’Aisha, venait à se marier.

Une union entre excellence académique et enracinement royal

La princesse Aisha est diplômée d’un master en droit, spécialisé en législation religieuse et société, et d’un baccalauréat en criminologie. Elle exerce dans le domaine de la communication et mène parallèlement des travaux de recherche, notamment sur la sécurité dans le sport.

© Royal Hashemite Court

Son époux, Karim Yazid Al Mufti, 31 ans, est diplômé de la King’s School de Londres, avant d’obtenir un master en gestion du sport à l’université Georgetown de Washington. Titulaire également d’un baccalauréat en administration des affaires, il œuvre aujourd’hui comme directeur du développement commercial pour plusieurs entreprises familiales opérant dans les secteurs de l’hôtellerie et de la restauration.

Une famille royale en mouvement

Le prince Fayçal, frère du roi Abdallah II, est une figure active de la monarchie hachémite. Marié à la princesse Alia Tabbaa de 1987 à 2008, il est le père de quatre enfants : Ayah, Omar et les jumelles Aisha et Sara. Après deux autres unions, il est aujourd’hui marié à Zeina Lubbadeh, avec qui il a deux fils.

© Royal Hashemite Court

Le mariage de la princesse Aisha illustre le positionnement discret mais influent de la jeune génération royale jordanienne : une jeunesse cultivée, engagée, et ancrée dans des valeurs de continuité familiale. Un événement chargé de grâce, à l’image de la mariée elle-même.

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Le prince héritier Hussein de Jordanie poursuit ses engagements internationaux avec une visite officielle au Japon, où il représente son pays dans le cadre de l’Exposition universelle d’Osaka. Ce déplacement marque une nouvelle étape dans le rôle diplomatique croissant du jeune prince de 30 ans, appelé à succéder un jour à son père, le roi Abdallah II.

©Royal Hashemite Court

Avant de se rendre à Osaka, où se tenait la Journée nationale consacrée à la Jordanie, le prince Hussein a été accueilli à Tokyo par plusieurs membres éminents de la famille impériale japonaise. Il a notamment été reçu par le prince héritier Fumihito, frère cadet de l’empereur Naruhito, accompagné de son épouse, la princesse Kiko, et de leurs enfants, la princesse Kako et le jeune prince Hisahito.

Une rencontre entre héritiers

Cette rencontre a revêtu une dimension à la fois protocolaire et symbolique, illustrant les liens d’amitié et de respect mutuel entre les deux monarchies. Pour le prince Hisahito, 18 ans, il s’agissait d’une apparition remarquée dans un cadre officiel aux côtés de dignitaires étrangers, un exercice auquel il est encore peu habitué, mais qui pourrait se multiplier à mesure qu’il se prépare à un rôle plus important au sein de la maison impériale.

©Royal Hashemite Court

Dans l’ordre de succession japonais, Hisahito est destiné à devenir un jour héritier présomptif, une position rendue possible par le fait que son oncle, l’empereur Naruhito, n’a pas de fils.

Un prince jordanien déjà très actif

Quant au prince Hussein, il incarne depuis plusieurs années déjà la nouvelle génération de la monarchie jordanienne. Très impliqué dans les affaires publiques, il accompagne régulièrement son père lors de sommets et d’événements diplomatiques, et a déjà multiplié les prises de parole à l’international. Sa présence au Japon confirme son statut d’ambassadeur de premier plan pour le royaume hachémite.

©Royal Hashemite Court
©Royal Hashemite Court

Célébrations jordaniennes à Osaka

Après cette première étape à Tokyo, le prince s’est envolé vers Osaka, à plus de 500 kilomètres au sud-ouest, pour assister aux célébrations officielles de la Jordanie dans le cadre de l’exposition universelle. À son arrivée, il a été accueilli par la princesse Hisako de Takamado, figure bien connue de la famille impériale japonaise.

©Royal Hashemite Court

Il s’agissait là de chaleureuses retrouvailles : la princesse Hisako avait assisté en personne au mariage du prince Hussein avec la princesse Rajwa, en juin 2023 à Amman.

©Royal Hashemite Court

Une diplomatie jeune et engagé

Ce déplacement illustre une fois de plus la stratégie de diplomatie douce adoptée par la Jordanie, qui mise sur la jeunesse de son prince héritier pour renforcer ses liens bilatéraux à travers le monde, tout en affirmant sa présence sur la scène internationale.

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Ce dimanche 11 mai, le Prince héréditaire Jacques et sa sœur la Princesse Gabriella ont célébré un moment marquant de leur enfance : leur première communion. La première communion est une étape importante dans la tradition chrétienne : c’est la première fois qu’un enfant reçoit l’eucharistie, symbole de son entrée plus consciente dans la vie religieuse. L’événement s’est tenu à l’Église Saint-Charles, à Monaco, un lieu emblématique du Rocher situé non loin du Palais princier. Pour l’occasion, la famille princière a partagé une série de photos inédites sur les réseaux sociaux, immortalisant cette journée empreinte de solennité et de tendresse.

Sur les images dévoilées par le Palais, les jumeaux de 9 ans apparaissent côte à côte, habillés de leurs aubes blanches traditionnelles. Sourires complices, regard franc : leur lien évident transparaît à travers chaque cliché. Une deuxième photo les montre aux côtés de leurs parents, le Prince Albert II et la Princesse Charlène, devant les marches de l’église. Une image de famille sobre et élégante, qui témoigne d’un moment à la fois intime et institutionnel.

Même si le Palais souligne la dimension spirituelle de cette étape, c’est avant tout l’unité familiale et l’émotion du moment qui ressortent. Cette apparition publique des jumeaux, encore rares, est toujours très attendue par les Monégasques comme par les observateurs du gotha, tant Jacques et Gabriella suscitent une attention grandissante au fil des ans.

©Axel Bastello/Palais princier, Monaco

Nés en décembre 2014, Jacques et Gabriella partagent une relation particulièrement fusionnelle. Depuis leur plus jeune âge, ils apparaissent souvent ensemble lors des cérémonies officielles, comme lors de la fête nationale monégasque, et accompagnent régulièrement leurs parents dans certaines activités protocolaires, toujours avec une fraîcheur et une spontanéité qui marquent les esprits.

Le choix de leurs prénoms, dévoilé il y a quelque temps par le Prince Albert II dans une interview au magazine Point de Vue, apporte un éclairage personnel sur leur histoire familiale. Jacques, prénom hérité de plusieurs branches familiales et choisi aussi en mémoire d’un cousin sud-africain de la princesse Charlène disparu trop tôt, s’est imposé comme une évidence pour le couple princier. Quant à Gabriella, son prénom a été choisi avec le cœur, sans référence directe à une tradition familiale — une manière de souligner sa singularité dans cette lignée princière.

En grandissant, Jacques et Gabriella semblent prendre leur rôle au sérieux, sans pour autant perdre l’insouciance propre à leur âge. À travers cette cérémonie, c’est une nouvelle étape qui se dessine pour les deux enfants, entre continuité des traditions et construction de leur propre parcours.

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C’est un voyage aux couleurs intenses et aux émotions profondes que Delphine Wespiser vient de vivre au Maroc. De l’énergie vibrante de Taghazout à la magie intemporelle de Marrakech, la sublime ex miss France s’est laissée porter par les éléments, la lumière, les rencontres… et une cause qui lui tient à cœur. Un séjour comme une parenthèse enchantée, entre émerveillement et engagement.

Credit Photo : Virginie Gazzola

Delphine Wespiser est une habituée du Maroc, un pays qu’elle connaît bien et qu’elle semble apprecier pour la diversité de ses paysages et de ses cultures. Lors de chacun de ses séjours, elle prend le temps de découvrir de nouvelles facettes du Maroc, qu’il s’agisse de ses plages, de ses montagnes ou de ses villes animées. À chaque visite, elle s’imprègne de l’atmosphère locale et de l’accueil chaleureux des habitants, contribuant ainsi à renforcer ses liens avec le Royaume.

Credit Photo : Virginie Gazzola

« Je suis venue au Maroc pour assister au festival Xperienza au Radisson Blu de Taghazout. C’était absolument magique ! La déco, les couleurs, les DJ… tout tournait autour des éléments naturels : feu, air, terre, eau. On devait même se déguiser en fonction de notre signe. Moi, je suis Terre, et ça ne m’étonne pas : je suis très connectée à la nature, aux animaux. »

Credit Photo : Virginie Gazzola

Un lien à la nature qu’elle a retrouvé dans les activités proposées : premiers pas en surf, quad dans le désert, cuisine locale en bord de mer… et une parenthèse bien-être inoubliable.

Credit Photo : Virginie Gazzola

« A Taghazout, j’ai eu le droit a l’un des trois meilleurs massages de ma vie. Les senteurs, les mains expertes… j’étais complètement ailleurs. Le Maroc, c’est un enchantement des sens à chaque instant. »

Credit Photo : Virginie Gazzola

Mais son voyage ne s’est pas arrêté là. Avant de reprendre l’avion, l’animatrice et chroniqueuse de la télévision française s’est rendue à Marrakech pour visiter et soutenir l’association Nos Amis pour la Vie, qui recueille et soigne des chiens maltraités au Maroc.

Credit Photo : Virginie Gazzola

« Ça m’a bouleversée. J’ai beaucoup pleuré en voyant l’état de certains animaux… J’ai lancé un appel aux dons sur mes réseaux. J’aimerais vraiment que les choses bougent, que la gestion de la cause animale évolue ici. Les animaux méritent notre protection. »

Profondément marquée par cette rencontre, Delphine repart avec des souvenirs vibrants, mais aussi un message à transmettre : « Le Maroc m’a offert du rêve. Je veux, à mon tour, offrir un peu d’espoir aux êtres vivants qu’on oublie trop souvent. »

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Une étreinte longtemps attendue ! Le port de Panama a été, ce samedi 3 mai, le théâtre d’un moment rare et profondément émouvant. Après plus de trois mois de séparation, la reine Letizia d’Espagne a retrouvé sa fille aînée, la princesse Leonor, engagée dans une traversée navale autour du monde à bord du navire-école Juan Sebastián de Elcano. Sur le quai, les yeux scrutant le grand voilier, la souveraine attendait avec impatience que sa fille foule la terre ferme.

© Casa de S.M. el Rey, España

Dès qu’elle est descendue, vêtue de son impeccable uniforme blanc, Leonor s’est dirigée d’un pas rapide vers sa mère. L’instant, capturé par les objectifs présents, a échappé à tout protocole : un câlin sincère, spontané, entre une mère et sa fille, oubliant un temps le poids de leurs titres.

© Casa de S.M. el Rey, España

Un moment privilégié, en plein tour du monde

Cette escale au Panama, huitième étape d’un périple en onze escales, marque une parenthèse précieuse dans le calendrier chargé de la future héritière. À 19 ans, la princesse des Asturies poursuit sa formation militaire avec sérieux et détermination. Depuis son départ de Cadix, en janvier dernier, elle a traversé l’Atlantique, marqué les esprits au Brésil et en Uruguay, et participé à des visites officielles au Chili et au Pérou. La présence de la reine Letizia à Panama n’était donc pas anodine : elle souhaitait être là, malgré les kilomètres et les devoirs royaux, pour célébrer cette brève réunion familiale — d’autant plus symbolique qu’elle coïncide avec la Fête des Mères, célébrée le 4 mai en Espagne.

© Casa de S.M. el Rey, España
© Casa de S.M. el Rey, España

Une princesse parmi ses pairs

Après les retrouvailles, mère et fille ont rejoint les autres familles pour une visite du centre historique de Panama, entre culture et mémoire. En fin de journée, une réception à bord du célèbre voilier a permis à tous de se réunir. La reine, rayonnante dans une élégante tenue rouge, a retrouvé l’élégance discrète qui fait sa signature. Leonor, toujours en uniforme, partageait fièrement cette étape avec ses camarades de l’École navale militaire.

© Casa de S.M. el Rey, España

Un cheminement exemplaire

Ces moments partagés s’inscrivent dans le parcours exigeant de la jeune héritière, déterminée à remplir ses fonctions avec engagement. Après sa formation dans l’armée de terre l’an passé, Leonor enchaînera dès la rentrée avec une immersion dans l’armée de l’air, dernière étape de sa formation militaire. Son retour en Espagne est prévu après une dernière escale à New York, début juin, alors que ses camarades reprendront la mer pour rentrer.

© Casa de S.M. el Rey, España

À travers ces retrouvailles sobres mais émouvantes, c’est une image moderne et humaine de la monarchie espagnole qui se dessine : celle d’une souveraine présente, et d’une héritière prête à prendre le large… tout en restant ancrée dans ses liens familiaux les plus profonds.

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Ce 29 avril 2025 marque un tournant dans la vie de l’infante Sofia : la benjamine du roi Felipe VI et de la reine Letizia atteint l’âge de la majorité. Pour souligner cet anniversaire important, la Maison royale a publié cinq photographies inédites de la jeune femme, prises dans le cadre verdoyant des jardins du palais de la Zarzuela. Ces clichés, capturés quelques jours auparavant, offrent une image naturelle et souriante de Sofia, à l’aube de sa vie d’adulte.

©Casa de Su Majestad el Rey, España

Un prénom symbolique et une discrétion assumée

Née le 29 avril 2007, Sofia de Borbón y Ortiz est arrivée un peu plus de dix-huit mois après sa sœur aînée, la princesse Leonor. Elle porte le prénom de sa grand-mère paternelle, l’ancienne reine Sofia, figure respectée et toujours très appréciée des Espagnols. En ce jour d’anniversaire, la cadette royale entre officiellement dans l’âge adulte, tandis que Leonor, âgée de 19 ans, poursuit rigoureusement son parcours militaire, prévu sur trois années, en tant qu’héritière de la couronne.

©Casa de Su Majestad el Rey, España

Des études internationales avant l’université

Actuellement, l’infante Sofia termine ses études au prestigieux UWC Atlantic College, au Pays de Galles, où elle s’apprête à passer son baccalauréat international. Si son avenir universitaire reste encore à préciser, tout indique qu’elle poursuivra des études supérieures dès la rentrée prochaine.

©Casa de Su Majestad el Rey, España

Des portraits naturels pour une majorité en toute simplicité

Pour cette occasion particulière, la Maison royale a choisi de présenter des portraits sobres et lumineux, illustrant la personnalité discrète de la jeune infante. Vêtue d’une chemise bleu clair et d’un pantalon bleu marine, Sofia affiche un style simple et élégant, fidèle à son image publique. Les clichés auraient été pris durant les vacances de Pâques, période à laquelle Sofia était de retour en Espagne auprès de ses parents.

©Casa de Su Majestad el Rey, España

Un anniversaire loin du protocole royal

Contrairement à l’anniversaire très institutionnel de la princesse Leonor en 2023 – ponctué par un serment devant le Parlement, une remise de décoration royale et une série de cérémonies officielles – celui de Sofia se veut beaucoup plus intime. Aucune obligation protocolaire n’était au programme pour la cadette, qui, bien qu’éloignée de la ligne directe de succession, incarne une présence stable et toujours mesurée au sein de la famille royale.

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Le cœur de la chanteuse espagnole Rosalía semble avoir retrouvé le rythme de l’amour… et cette fois, c’est un acteur aux origines marocaines qui le fait battre. Aperçue dans une ambiance très complice avec Emilio Sakraya, la star catalane ne cache plus ses affinités avec ce talentueux artiste germano-marocain.

Getty Images

C’est au restaurant Cipriani de Beverly Hills – repaire discret des célébrités – que les deux artistes ont été surpris, partageant un dîner cosy et des gestes tendres. Photographies à l’appui, diffusées par le très informé portail américain Deux Moi, on y voit Rosalía et Emilio échanger une chaleureuse accolade, tout sourire, avant de quitter les lieux dans la même voiture. De quoi faire naître les rumeurs… et les premiers soupçons d’idylle.

Emilio Sakraya, un charme venu de Berlin… et du Maroc

Peu connu du grand public au Maroc, Emilio Sakraya mérite pourtant toute l’attention. Né à Berlin il y a 28 ans, il est le fils de l’actrice Meryem Moutaoukkil, d’origine marocaine. Une double culture riche qu’il revendique avec fierté et qui teinte aussi bien son art que son charisme à l’écran.

Getty Images

Acteur accompli, Emilio s’est illustré dans plusieurs productions internationales : Warrior Nun, 60 Minutes, Tribes of Europe ou encore Pure Gold. Mais il est aussi chanteur et compte déjà quatre albums studio à son actif. Un profil complet, à l’image d’un artiste de sa génération, qui conjugue passion et polyvalence.

Rosalía entre musique, cinéma… et romance

Rosalía ne ralentit pas. Alors qu’elle prépare son nouvel album en studio, elle vient également de rejoindre le casting de la prochaine saison d’Euphoria, la série phénomène de HBO aux côtés de Zendaya. Une première incursion dans l’univers hollywoodien, qu’elle vit comme un nouveau défi artistique :

« Euphoria a été ma série préférée ces dernières années, et je ne pourrais être plus heureuse ni plus reconnaissante », a-t-elle confié sur ses réseaux.

Et si le hasard faisait bien les choses ? Entre deux tournages, Emilio pourrait bien être son meilleur coach face aux caméras…

Un couple à suivre… de près

Si la relation reste pour l’instant non officielle, l’alchimie est bien là. Et au-delà du glamour, c’est aussi une belle lumière portée sur les talents marocains à l’international. Emilio Sakraya, avec ses racines marocaines et son parcours artistique impressionnant, pourrait bien être l’une des révélations de 2025 – et le nouvel homme fort aux côtés de la diva espagnole.

Affaire à suivre… avec attention !

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Ce lundi 14 avril marque un tournant symbolique dans l’histoire du vol spatial civil : six femmes, issues d’horizons aussi variés que l’ingénierie, le journalisme, le militantisme ou le show-business, s’apprêtent à franchir la frontière de l’espace à bord de la capsule New Shepard de Blue Origin. Parmi elles : la star planétaire Katy Perry, pour qui ce voyage sonne comme l’aboutissement d’un rêve de quinze ans.

Credit Photo : Instagram Katy Perry

À 15h30, heure française, la capsule propulsée depuis le désert texan grimpera au-delà des 100 kilomètres d’altitude – franchissant la fameuse ligne de Kármán, seuil symbolique de l’espace. Onze minutes d’ascension et de descente, dont quelques secondes précieuses d’apesanteur, suffiront à inscrire ce vol dans l’histoire : il s’agira du premier vol spatial civil entièrement féminin depuis Valentina Terechkova en 1963. Aux côtés de Perry : la journaliste Gayle King, l’ingénieure aérospatiale Aisha Bowe, l’activiste Amanda Nguyen, la productrice Kerianne Flynn et Lauren Sanchez – compagne de Jeff Bezos et à l’origine de cette mission baptisée Feather (« Plume »), un nom qui ne laisse rien au hasard.

Credit Photo : Instagram Katy Perry

Pour la chanteuse de Firework, ce voyage n’est pas qu’un caprice de célébrité : il revêt une forte dimension spirituelle. Dans une vidéo postée sur Instagram à la veille du décollage, Perry confie avoir perçu plusieurs « signes » l’invitant à accepter cette aventure cosmique. « Ma mère m’a toujours appelée plume, et quand j’ai vu l’insigne de la mission, j’ai su que c’était pour moi », raconte-t-elle. Autre coïncidence troublante : le nom de la capsule, Tortoise (« Tortue »), qui correspond à un autre surnom affectueux que sa mère lui donne depuis l’enfance. Un clin d’œil céleste qui a suffi à la convaincre. L’artiste prévoit même d’emporter sa voix avec elle là-haut : « Je pense que je vais chanter. Je dois chanter dans l’espace », a-t-elle lancé, mi-sérieuse mi-enjouée, depuis le simulateur de vol.

Avec ce 11e vol habité, Blue Origin, la société spatiale de Jeff Bezos, entend affirmer son leadership dans le secteur du tourisme suborbital. En mettant en orbite une escouade de femmes influentes et médiatisées, l’entreprise capitalise sur un message d’empowerment, tout en renforçant sa visibilité auprès du grand public. À l’heure où l’espace devient une scène à la fois scientifique, politique et commerciale, cette mission Taking Up Space — littéralement « prendre de la place » — s’impose comme un geste à la fois symbolique et stratégique : celui d’une nouvelle ère où la conquête spatiale se veut inclusive, spectaculaire… et rentable.

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