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À Prague, les Journées du patrimoine culturel marocain ont mis à l’honneur un Royaume pluriel. Parmi les instants forts de cet événement, le défilé de caftans signé Samira Haddouchi s’est imposé comme une ode à l’élégance marocaine. Une célébration portée par l’ambassadrice Hanane Saadi et soutenue par Chrifa Lalla Fatim-Zahra Alaoui Azizi en collaboration avec l’Association Joussour.

La styliste Samira Haddouchi, l’Ambassadrice du Maroc en République tchèque, Hanane Saadi et Chrifa Lalla Fatim-Zahra Alaoui Azizi, aux journées du patrimoine du Maroc à Prague

Sous les dorures baroques du palais de Troja à Prague, un joyau de l’architecture tchèque, les Journées du patrimoine culturel marocain ont pris vie avec éclat. Initiée par l’Ambassade du Maroc à Prague, en étroite collaboration avec l’Association Joussour pour les arts et la créativité, cette célébration a offert une plongée poétique dans la richesse du patrimoine marocain.

Défilé de caftans signés Samira Haddouchi au coeur de Prague et des journées du patrimoine dans la république Tchèque

Parmi les moments les plus applaudis : un défilé de caftans majestueux, imaginé par la styliste Samira Haddouchi, figure de proue de la création marocaine contemporaine. Dans un jeu subtil de broderies traditionnelles et de coupes audacieuses, ses silhouettes ont raconté un Maroc intemporel et résolument raffiné. « À travers mes créations, je veux que l’âme du Maroc touche les cœurs du monde », a-t-elle confié.

Défilé de caftans signés Samira Haddouchi au coeur de Prague et des journées du patrimoine dans la république Tchèque

L’événement, porté avec conviction par l’ambassadrice du Maroc en République tchèque, Hanane Saadi, a rassemblé un parterre de personnalités politiques, diplomatiques et culturelles, venues saluer l’esprit d’ouverture et la diversité du Royaume. La présence de Chrifa Lalla Fatim-Zahra Alaoui Azizi, engagée à travers l’Association Joussour, a souligné la volonté de mettre l’art et la culture au service du dialogue entre les peuples.

Défilé de caftans signés Samira Haddouchi au coeur de Prague et des journées du patrimoine dans la république Tchèque

Entre musique andalouse, danses folkloriques, artisanat vivant et gastronomie envoûtante, le programme a peint un tableau vibrant de la mémoire et de l’identité marocaine. Et au cœur de cette fresque, le caftan s’est imposé comme un symbole fort : celui d’un patrimoine qui se réinvente sans jamais perdre son âme.

Défilé de caftans signés Samira Haddouchi au coeur de Prague et des journées du patrimoine dans la république Tchèque

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Sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa a présidé ce jeudi soir, à la Place emblématique « Bab Al Makina », la cérémonie d’ouverture de la 28e édition du Festival de Fès des musiques sacrées du monde.

Organisé du 16 au 24 mai 2025, le Festival se tient cette année sous le thème évocateur de « Renaissances », offrant un hommage vibrant aux cultures du monde et à leur pouvoir de résilience, d’élévation et de dialogue.

Dans une atmosphère chargée d’émotion et de spiritualité, la cérémonie d’ouverture a rassemblé un public venu de divers horizons, au cœur de l’une des villes les plus symboliques du patrimoine spirituel marocain. La présence de Son Altesse Royale a conféré à l’événement un éclat particulier, réaffirmant l’engagement constant de la Princesse Lalla Hasnaa en faveur de la culture, du dialogue interculturel et de la valorisation du patrimoine immatériel.

Le Festival de Fès, reconnu à l’international comme un carrefour des traditions spirituelles, réunit cette année encore des artistes et ensembles venus des cinq continents, dans un esprit d’universalité et de paix. Concerts, conférences, rencontres et moments de méditation musicale composeront cette semaine dédiée à la beauté des sons sacrés et au renouveau des liens humains.

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Fille du prince Fayçal bin Hussein et nièce du roi Abdallah II de Jordanie, la princesse Aisha bint Fayçal a récemment célébré son mariage avec Karim Yazid Al Mufti, dans un cadre intime et empreint de tradition. Descendante directe de la dynastie hachémite, la princesse Aisha incarne une génération de femmes royales à la fois discrètes, éduquées et engagées dans la vie civile.

Une robe empreinte d’histoire et un diadème symbolique

Pour cette journée mémorable, la princesse Aisha a fait le choix d’une robe alliant modernité et héritage : une jupe longue en satin ivoire et un corsage de dentelle finement travaillé. Mais c’est le diadème qui a capté les regards : une pièce florale délicate, déjà portée par sa sœur aînée, la princesse Ayah, lors de son mariage en 2014.

© Royal Hashemite Court

Ce bijou pourrait être un héritage transmis par leur mère, la princesse Alia Tabbaa, première épouse du prince Fayçal bin Hussein. Ce geste, hautement symbolique, perpétue une tradition familiale et pourrait prochainement se répéter si la princesse Sara, sœur jumelle d’Aisha, venait à se marier.

Une union entre excellence académique et enracinement royal

La princesse Aisha est diplômée d’un master en droit, spécialisé en législation religieuse et société, et d’un baccalauréat en criminologie. Elle exerce dans le domaine de la communication et mène parallèlement des travaux de recherche, notamment sur la sécurité dans le sport.

© Royal Hashemite Court

Son époux, Karim Yazid Al Mufti, 31 ans, est diplômé de la King’s School de Londres, avant d’obtenir un master en gestion du sport à l’université Georgetown de Washington. Titulaire également d’un baccalauréat en administration des affaires, il œuvre aujourd’hui comme directeur du développement commercial pour plusieurs entreprises familiales opérant dans les secteurs de l’hôtellerie et de la restauration.

Une famille royale en mouvement

Le prince Fayçal, frère du roi Abdallah II, est une figure active de la monarchie hachémite. Marié à la princesse Alia Tabbaa de 1987 à 2008, il est le père de quatre enfants : Ayah, Omar et les jumelles Aisha et Sara. Après deux autres unions, il est aujourd’hui marié à Zeina Lubbadeh, avec qui il a deux fils.

© Royal Hashemite Court

Le mariage de la princesse Aisha illustre le positionnement discret mais influent de la jeune génération royale jordanienne : une jeunesse cultivée, engagée, et ancrée dans des valeurs de continuité familiale. Un événement chargé de grâce, à l’image de la mariée elle-même.

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Formé à l’École Duperré et passé par les ateliers de Castelbajac ou Stella Cadente, Christophe Guillarmé a tracé sa voie avec exigence et audace. Depuis ses débuts à 21 ans, il impose un style unique, entre Glam’Rock, couture et féminité affirmée. Présent sur les plus grands tapis rouges – Cannes, Venise, Marrakech – le créateur habille aussi bien Paris Hilton que Julie Gayet, Lindsay Lohan, Haïfa Wehbe, Blanca Blanco ou Nora Arnezede…

À la veille de son envol pour Cannes, il ous reçoit dans son show-room niché sur les Champs-Élysées et nous dévoile ses robes les plus audacieuses, ses coups de cœur glamour et son irrésistible envie de fouler à nouveau le tapis rouge du Festival de Marrakech.

Depuis son showroom parisien, Christophe Guillarmé nous reçoit à la veille de son départ pour le festival du cinéma de Cannes
  • Quelles folies couture avez-vous glissées dans vos valises pour Cannes cette année ? Un scoop sur les célébrités que vous habillerez ?

Chaque année, je glisse dans mes valises quelques pièces inédites de la collection suivante — cette fois, été 2026. Parmi elles, une robe sirène en tulle crème rebrodée, à encolure bateau, avec des manchons surdimensionnés… une création que j’imagine déjà sur Victoria Silvstedt.
Je prépare aussi une robe hommage pour Hayley, la fille de David Hasselhoff — une silhouette forte, en clin d’œil à la robe rouge emblématique portée aux Golden Globes par sa maman récemment disparue. Ce sera un moment chargé d’émotion.

  • Votre style glamour a conquis les tapis rouges du monde entier. Qu’est-ce qui vous fait encore vibrer à Cannes après toutes ces années ?

L’adrénaline est toujours là, intacte. Le stress de proposer la bonne tenue au bon talent, de soigner chaque accessoire, chaque détail… Rien ne change. Et au-delà de la robe, il faut accompagner, rassurer, orchestrer l’entrée sur le tapis rouge. C’est un moment éphémère mais si intense.

Lors de la projection de Marriage Story au Festival International du Film de Marrakech
Delphine Wespiser, animatrice et Miss France dans une longue robe étages Christophe Guillarmé en tulle beige rebrodée de cristaux parée par Helena Joy, pochette Carmen Steffens
  • Si le tapis rouge était une scène de film, vous seriez… le héros, le scénariste ou le metteur en scène ?

Sans hésiter : scénariste, pour construire chaque silhouette au millimètre, et metteur en scène pour capter la lumière, guider les poses, attirer les photographes… Créer un moment de grâce.

77e Festival de Cannes – Montée des marches pour la CÉRÉMONIE D’OUVERTURE et la projection du film LE DEUXIÈME ACTE de QUENTIN DUPIEUX. L’actrice et mannequin Agatha Maksimova dans une longue robe sirène ivoire Christophe Guillarmé parée par Uchéal Paris, pochette De Marquet, Coiffure Eros Giuliani, maquillage F.A.M Fashion MakeUp & School
  • Après Cannes, mettrez-vous le cap sur le Festival International du Film de Marrakech ? Quels souvenirs gardez-vous des éditions précédentes ? Le Maroc vous inspire-t-il ?

Oh, Marrakech me manque ! J’y suis allé pendant dix éditions consécutives, mais depuis 2019, je n’ai pas pu y retourner. J’ai eu la chance d’habiller Asmaa Khamlichi, puis Leila Hadioui à ses débuts sur les réseaux sociaux. L’accueil du public marocain, la ferveur sur le tapis rouge… c’est unique.
Côté inspiration, les caftans sont une mine d’or. La broderie main, les finitions, les jeux de transparence… tout est d’une richesse inouïe. Et le cinéma marocain, à travers des réalisateurs comme Nour-Eddine Lakhmari que j’admire beaucoup, m’apporte aussi beaucoup de matière créative.

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Dans le cadre de sa visite officielle en Azerbaïdjan, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa, Présidente de la Fondation pour la sauvegarde du patrimoine culturel de Rabat, s’est rendue ce lundi à l’Allée d’Honneur de Bakou pour y déposer une gerbe de fleurs sur la tombe du leader national Heydar Aliyev, figure emblématique de l’histoire moderne du pays.

Credit Photo : Map

Accueillie à son arrivée par M. Mohamed Orkhan, Grand Conseiller auprès du cabinet du Président de la République d’Azerbaïdjan, Son Excellence M. Ilham Aliyev, Son Altesse Royale a salué la mémoire de l’ancien président, père de l’indépendance contemporaine de l’AzerbaïdjanPoursuivant sa visite commémorative, la Princesse Lalla Hasnaa s’est également rendue à l’Allée des Martyrs, lieu hautement symbolique dédié aux hommes et femmes ayant donné leur vie pour la souveraineté du pays. Elle y a déposé des œillets rouges sur quatre tombes de martyrs, avant de fleurir la flamme éternelle, en hommage au sacrifice et à la bravoure de ces héros nationaux.

Credit Photo : Map

Cette visite officielle s’est déroulée en présence de plusieurs hauts responsables marocains : le ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, M. Mohammed Mehdi Bensaid, l’ambassadeur de Sa Majesté le Roi à Bakou, M. Mohamed Adil Embarch, la Secrétaire générale de la Fondation pour la sauvegarde du patrimoine culturel de Rabat, Lalla Nouzha Alaoui, ainsi que le Directeur général de la Maison de l’Artisan, M. Tarik Sadik.

Credit Photo : Map

Ce moment de recueillement illustre la profondeur des liens d’amitié et de respect mutuel entre le Royaume du Maroc et la République d’Azerbaïdjan, et témoigne de l’engagement de Son Altesse Royale en faveur de la mémoire, de l’histoire et du dialogue interculturel.

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Invitée d’honneur du Festival international du tapis d’Azerbaïdjan, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa a honoré de sa présence un événement célébrant un artisanat séculaire et identitaire. Une visite qui s’inscrit dans la continuité de son engagement constant en faveur de la préservation du patrimoine, de la valorisation des arts et de la promotion de la culture marocaine dans toute sa splendeur.

SAR la Princesse Lalla Hasnaa visite à Bakou le Festival international du tapis d’Azerbaïdjan (Photo Abdellah Lmidmani)

Une présence royale au cœur des traditions d’Orient

C’est dans le cadre historique de la vieille ville d’Icherisheher, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, que Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa a visité, ce dimanche 4 mai à Bakou, le Festival international du tapis d’Azerbaïdjan. En sa qualité de Présidente de la Fondation pour la sauvegarde du patrimoine culturel de Rabat, elle a été chaleureusement accueillie par les autorités azerbaïdjanaises. SAR a parcouru les pavillons mettant à l’honneur les savoir-faire de plusieurs pays d’Asie centrale et assisté aux démonstrations de tissage, découvrant la richesse des motifs, la subtilité des couleurs et la précision des gestes qui caractérisent cet art ancestral. Elle a également visité le Centre des Arts Traditionnels et exploré l’exposition immersive « Zaman », véritable ode numérique à la culture et à l’histoire de l’Azerbaïdjan. Cette immersion dans les héritages tissés d’Orient s’inscrit dans le sillage de sa mission : celle d’honorer et de transmettre les cultures du monde, dans un esprit de respect mutuel et de mise en valeur des patrimoines vivants.

SAR la Princesse Lalla Hasnaa visite à Bakou le Festival international du tapis d’Azerbaïdjan (Photo Abdellah Lmidmani)

Un engagement culturel inscrit dans la durée

Figure de l’élégance et ambassadrice naturelle du raffinement marocain, la Princesse Lalla Hasnaa incarne une vision humaniste et engagée de la culture. Chaque année, elle préside la cérémonie d’ouverture du prestigieux Festival des musiques sacrées de Fès, symbole d’un dialogue spirituel et artistique entre les peuples. En 2023, elle avait déjà été l’invitée d’honneur du Fashion Trust Arabia à Marrakech, clôturant une année de mise en lumière du Maroc au Qatar. Elle y avait, avec sa grâce coutumière, célébré la créativité marocaine contemporaine dans le décor majestueux du Palais El Badii. Fine connaisseuse de la couture et porteuse fière du caftan marocain, SAR n’hésite pas à promouvoir les artisans et stylistes du Royaume à travers ses apparitions, alliant modernité, héritage et élégance. À chaque occasion, son engagement pour l’artisanat, la transmission des savoirs et la diplomatie culturelle témoigne d’une vision éclairée, où l’esthétique devient un langage universel et la culture un trait d’union entre les nations.

La Princesse Lalla Hasnaa et Cheikha Al Mayassa du Qatar, lors des festivités de clôture de l’année du Maroc au Qatar (Photo MAP)
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La Présidente de la Fondation Lalla Asmaa a visité ce vendredi 2 mai l’Université Gallaudet à Washington, seule université au monde entièrement dédiée à l’éducation des personnes sourdes et malentendantes. Une visite riche en émotions marquée par la signature d’un protocole d’entente entre l’Université et la Fondation, dans une volonté commune de bâtir un avenir plus inclusif.

(Photo Ismail Belkodia)

Dans l’enceinte paisible et engagée de l’Université Gallaudet à Washington, SAR la Princesse Lalla Asmaa a fait résonner la voix d’une cause qui lui est chère depuis toujours : celle des enfants sourds et malentendants. Présidente de la Fondation Lalla Asmaa, Son Altesse Royale a présidé la cérémonie de signature d’un protocole d’entente historique entre la prestigieuse institution américaine et sa fondation, ouvrant ainsi la voie à une collaboration d’envergure internationale.

Accueillie par la présidente de l’université, Mme Roberta Cordano, et accompagnée de plusieurs personnalités marocaines de haut rang, SAR la Princesse a visité plusieurs pôles emblématiques de l’université : du laboratoire « Motion Light Lab » au « Student Academic Center », jusqu’au centre d’éducation nationale Laurent Clerc. Partout, l’innovation et l’humanité se conjuguent pour créer des environnements d’apprentissage sur mesure, adaptés à la singularité des élèves sourds.

Cette visite n’est pas seulement symbolique. Elle incarne l’engagement constant de SAR la Princesse Lalla Asmaa à offrir aux enfants sourds marocains bien plus qu’une éducation : un avenir, une reconnaissance de leur langue, de leur culture, de leur potentiel. C’est aussi dans cette optique qu’un projet pionnier est en gestation : la création au Maroc de la première université en Afrique et au Moyen-Orient entièrement dédiée aux personnes sourdes.

« Depuis plus de cinquante ans, la Fondation agit sans relâche pour offrir une éducation digne, des soins accessibles et une intégration réelle », a rappelé Karim Essakalli, président délégué de la Fondation.

Ce protocole signé à Gallaudet est bien plus qu’un accord : c’est un pacte de confiance, fondé sur des valeurs partagées et une vision inclusive portée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI. C’est aussi une promesse que la surdité ne sera jamais un frein à la dignité, à la réussite ou à la joie de vivre ensemble.

SAR la Princesse Lalla Asmaa, tout au long de cette journée, a incarné cette bienveillance active, en s’adressant aux étudiants, en s’intéressant à leurs projets, et en saluant deux jeunes marocains formés à Gallaudet, dont un ancien élève de la Fondation.

Avec cette visite, Washington devient le théâtre d’un élan solidaire entre deux mondes unis par une même cause : donner une voix à ceux qu’on n’entend pas assez, et leur offrir les moyens de se faire entendre pleinement.

Source : MAP

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La fille de la princesse Lalla Meryem apparaît radieuse dans une somptueuse robe japonisante fleurie de fil d’or. Une nouvelle photo partagée par le chanteur Badr Soultan a enchanté les internautes, en ce jour d’anniversaire de l’adorable nièce du Roi Mohammed VI.

(Photo instagram Badr Soultan)

Ce 30 avril, les réseaux sociaux ont vibré à l’unisson à la vue d’un cliché inédit de Lalla Soukaina, publié par le chanteur Badr Soultan. Une apparition rare et très remarquée de la princesse, qui fêtait hier ses 39 ans. Rayonnante, elle pose dans une robe d’inspiration nippone, brodée de délicates fleurs en 3D dorées, incarnant grâce et modernité avec une élégance naturelle.

Maman comblée de jumeaux, Aya et Al Hassan, nés en 2015 de son union avec Mehdi Regragui, Lalla Soukaina est aussi l’un des visages les plus aimés de la famille royale. Petite-fille chérie du défunt Roi Hassan II, elle a toujours été très proche de son oncle, le Roi Mohammed VI, et incarne avec discrétion une nouvelle génération de princesses marocaines, raffinée, cultivée et profondément ancrée dans ses valeurs.

Fille unique de la princesse Lalla Meryem, elle a grandi entre élégance royale et sens du devoir. Sa mère, première fille du Roi Hassan II, est une figure très engagée dans la défense des droits des femmes et de l’enfance, et a transmis à sa fille ce goût de l’excellence et de l’harmonie.

Ce dernier post de Badr Soultan, aussi touchant qu’élégant, aura permis à ses followers d’admirer une fois de plus la beauté discrète et intemporelle de Lalla Soukaina, dont la présence continue d’émerveiller, même dans la rareté.

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Vendredi soir, la Fondation diplomatique a célébré à Rabat les lauréats des Trophées de la diplomatie publique 2025. Parmi les personnalités distinguées, la créatrice Samira Haddouchi a reçu le Prix Femme et Leadership, consacrant une carrière dédiée à la valorisation du caftan marocain avec élégance et modernité.

Samira Haddouchi reçoit le prix Femme et Leadership aux Trophées de la diplomatie publique à Rabat, des mains de la Ministre de la Solidarité, de l’Insertion sociale et de la Famille, Madame Aawatif Hayar, aux côtés de Salaheddine Mezouar (Photo DR)

Rabat célèbre ses talents dans un écrin d’élégance et d’excellence lors d’un rendez-vous désormais incontournable qui met à l’honneur des personnalités marocaines et internationales dont l’engagement, la créativité et la vision contribuent à l’influence du Royaume sur la scène mondiale. Économie, sport, médias, recherche, droits humains… autant de domaines à travers lesquels se dessine une diplomatie des valeurs portée par des figures d’exception.

Samira Haddouchi reçoit le prix Femme et Leadership aux Trophées de la diplomatie publique à Rabat (Photo DR)

Parmi elles, Samira Haddouchi, créatrice de mode originaire de Tanger, s’est vu décerner le prestigieux Trophée Femme et Leadership, saluant plus de vingt ans de passion au service du caftan marocain. À travers ses créations, elle sublime le patrimoine textile national en y insufflant une touche résolument contemporaine, entre élégance intemporelle et audace stylistique. Samira, dont les pièces ont séduit des icônes au Maroc comme à l’international, incarne un certain art de vivre à la marocaine, tout en affirmant une vision féminine forte, ancrée dans la tradition mais tournée vers l’avenir.

Samira Haddouchi reçoit le prix Femme et Leadership aux Trophées de la diplomatie publique à Rabat (Photo DR)

Le palmarès 2025 a également distingué des figures telles que Salim Bin Mohammed Al-Malik, Mohamed Cheikh Biadillah, le Groupe Banque Populaire, Marsa Maroc, l’Université Mohammed VI Polytechnique, Medi1 TV, Saadani Maa Al Ainine, Soufiane El Bakkali, ainsi que l’équipe nationale U17 de football, championne d’Afrique. Dans un décor raffiné, réunissant figures politiques, personnalités culturelles, entrepreneurs et diplomates, cette soirée a également célébré le rôle croissant de Rabat en tant qu’écrin privilégié de manifestations culturelles de haut rang, consolidant son statut de capitale vivante, moderne et ouverte sur le monde.

L’événement a rappelé que les parcours individuels, lorsqu’ils sont portés par le talent, l’éthique et l’innovation, deviennent des vecteurs puissants de rayonnement pour tout un pays. Une belle leçon de diplomatie… en caftan.

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Le pape François s’est éteint ce lundi à l’âge de 88 ans. En hommage à cette figure de paix et de dialogue, retour en images sur sa visite historique au Maroc en 2019, marquée par une rencontre fraternelle avec le roi Mohammed VI et des moments forts de spiritualité et d’unité.

Le pape François est décédé lundi matin à l’âge de 88 ans, a annoncé le Vatican dans un communiqué empreint de solennité. “C’est avec une profonde tristesse que je dois annoncer le décès de notre Saint-Père François”, a déclaré le cardinal Kevin Farrell. Le souverain pontife s’est éteint paisiblement au lendemain de sa dernière apparition publique, lors des célébrations de Pâques sur la place Saint-Pierre à Rome. Sorti récemment de l’hôpital après une longue hospitalisation pour une pneumonie bilatérale, il laisse derrière lui un héritage de paix, de dialogue interreligieux et d’humanité.

Pape François et Sa Majesté le Roi Mohammed VI lors de la visite du Chef du Vatican au royaume Chérifien les 30 et 31 mars 2019. (Photo Getty Images)
Pape François et Sa Majesté le Roi Mohammed VI lors de la visite du Chef du Vatican au royaume Chérifien les 30 et 31 mars 2019. (Photo Getty Images)
Pape François et Sa Majesté le Roi Mohammed VI lors de la visite du Chef du Vatican au royaume Chérifien les 30 et 31 mars 2019. (Photo Getty Images)

En hommage à cette figure emblématique, retour en images sur sa visite historique au Maroc en mars 2019. Accueilli par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le pape François avait marqué les esprits par une rencontre d’une intensité rare, empreinte de spiritualité, d’ouverture et de fraternité. Durant ce voyage, il avait visité l’Institut Mohammed VI de formation des imams, saluant la vision marocaine d’un Islam modéré. Son discours au Complexe sportif Moulay Abdellah à Rabat, devant des milliers de fidèles, demeure un moment inoubliable de communion et de tolérance.

Sa Majesté le Roi Mohammed VI avec le Pape François en visite au Maroc les 30 et 31 mars 2019, entouré de son illustre famille, le Prince héritier Moulay El Hassan, le Prince Moulay Rachid, la Princesse Lalla Khadija, LL.AA.RR les princesses Lalla Meryem, Lalla Hasnaa, Lalla Asmaa et Lalla Oum Keltoum portant son aîné Moulay Ahmad. (Photo Getty Images)

Argentin d’origine, Jorge Mario Bergoglio – devenu le pape François en 2013 – restera dans les mémoires comme le pontife de la proximité, de l’humilité et du renouveau. Premier pape issu du continent sud-américain, il a su tisser des liens profonds entre les cultures, les confessions et les peuples, incarnant avec force les valeurs de paix et de solidarité universelle.

Le Pape François sur l’esplanade de la Tour Hassan à Rabat lors de sa visite au Maroc les 30 et 31 mars 2019 (Photo Getty Images)
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