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Elle a raté de peu la couronne de Miss France, mais elle signe une nouvelle ère pour la prestigieuse élection des plus belles femmes de France, tenue cette année au Futuroscope. Sabah Aïb, d’origine marocaine, est sacrée première dauphine de Miss France 2025, la martiniquaise Angélique Angarni-Filipon. A 18 ans, elle vise la couronne de Miss Monde.

Le podium de Miss France 2025, avec Angélique-Angarni-Filipon et sa première dauphine la marocaine Sabah Aïb (Photo Getty images)

Ce fut la grande émotion ce 14 décembre à l’annonce de celles qui allaient représenter le podium des plus belles femmes de France. Eve Gilles a remis sa couronne à Miss Martinique, 34 ans. L’heureuse élue, Angélique Angarni-Filipon va régner sur le trône pendant un an et à ses côtés, c’est Miss Pas-de-Calais, 18 ans, d’origine marocaine. Sabah Aïb a remporté largement les votes du public. « Je suis fière et honorée d’avoir atteint cette étape en tant que Première Dauphine. C’est un parcours qui m’a permis de grandir, de m’épanouir et de partager des moments inoubliables. Je tiens à adresser toutes mes félicitations à @angeliqueaf_off, notre sublime Miss France 2025. Sans aucun doute, tu tiendras ce rôle à merveille. Je suis convaincue que tu seras une Miss France exceptionnelle. Je pense très fort à toi et te souhaite tout le meilleur pour cette belle aventure qui commence. Tu es prête à briller et à inspirer tous ceux qui te croiseront ! » a écrit la jeune Miss sur son compte instagram.

La belle franco-marocaine Sabah Aïb, Miss Nord-Pas-de-Calais, sacrée première dauphine de Miss France 2025 et peut-être future candidate à Miss Monde (Photo Getty Images)

Une Miss de la diversité

Si elle devait être jugée au-delà de sa beauté, la première dauphine de Miss France 2025 incarne l’élégance et la diversité. Née à Besançon, la jeune miss est issue d’un héritage culturel riche, elle est d’origine algérienne par son père et marocaine par sa mère, professeur de français et de philosophie au lycée Henri Wallon de Valenciennes. Étudiante en deuxième année de droit à l’université de Lille, cette jeune femme ambitieuse aspire à devenir avocate spécialisée en droit de la famille. Son parcours académique et sa double culture la mettent dans une voie tournée vers l’excellence et le partage, baignée naturellement dans des valeurs d’inclusion, de réussite et d’engagement, en véritable modèle pour la jeunesse multiculturelle.


La belle franco-marocaine Sabah Aïb, Miss Nord-Pas-de-Calais, sacrée première dauphine de Miss France 2025 et peut-être future candidate à Miss Monde (Photo Getty Images)

Une marocaine sur le podium de Miss Monde ?

« Si j’ai l’occasion et l’opportunité, j’irai » a-t-elle répondu quant à sa participation à Miss Monde ou Miss Univers, deux concours qui ont une limite d’âge que semble peut-être dépasser la Miss France 2025, âgée elle de 34 ans.


La belle franco-marocaine Sabah Aïb, Miss Nord-Pas-de-Calais, sacrée première dauphine de Miss France 2025 et peut-être future candidate à Miss Monde (Photo Getty Images)
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La reine Mary de Danemark ne se contente pas d’être une figure emblématique de la royauté, elle se distingue également par son engagement social et ses actions caritatives, en particulier en cette période de fêtes. Son agenda, à la fois royal et humain, est ponctué d’événements qui témoignent de sa volonté d’apporter son soutien aux causes qui lui sont chères, tout en célébrant les traditions danoises.

Une main tendue aux sans-abri à l’approche de Noël

Le 17 décembre, la reine Mary a une nouvelle fois démontrer son sa bienveillance lors de sa visite au NABO Center Amager, un centre d’accueil pour des personnes en difficulté, organisé par l’association WeShelter. Cette association, qu’elle a choisie de parrainer cette année, œuvre pour la réinsertion des sans-abri et la création de liens sociaux, et la reine y a activement participé en prenant part à une activité culinaire. Au programme : apprendre à cuisiner et à se sociabiliser, dans un environnement chaleureux où l’entraide et le partage sont au cœur des préoccupations.

COPENHAGUE, DANEMARK – 17 DÉCEMBRE : La reine Mary du Danemark assiste à l’événement WeShelter Food Club au NABO Center Amager le 17 décembre 2024 à Copenhague, Danemark. (Photo par Martin Sylvest Andersen/Getty Images)

Cette initiative s’inscrit dans une démarche de réinsertion, visant à redonner aux sans-abri une vie indépendante et pleine de sens, notamment à travers des foyers et des refuges. La reine Mary, qui a récemment accepté ce patronage, a donc visité les lieux avec un engagement total, et a pris part à l’atelier de cuisine, un moment simple mais profondément symbolique. C’est l’occasion de rappeler que l’esprit de Noël ne se résume pas à la fête, mais inclut également une aide concrète aux plus démunis.

Avec une élégance naturelle, la reine Mary de Danemark arbore un pull à flocons chic, parfaitement assorti à un pantalon gris raffiné, pour une allure à la fois décontractée et sophistiquée. Radieuse, elle met la main à la pâte au NABO Center Amager, où elle participe à une activité culinaire solidaire. Son sourire lumineux et son engagement incarnent l’esprit de Noël, alliant mode et générosité dans un moment empreint de convivialité.
(Photo by Martin Sylvest Andersen/Getty Images)

Un Noël musical avec le Chœur national des filles de la radio danoise

Mais la reine Mary ne néglige pas les traditions culturelles du Danemark, et c’est au cœur de la musique que s’est aussi manifestée sa présence ces derniers jours. Le 15 décembre, la reine a assisté à l’enregistrement du concert de Noël du DR Pigekoret, le Chœur national des filles de la radio publique DR. Ce groupe, qui existe depuis 1938, est célèbre dans le monde entier et accueille une cinquantaine de jeunes filles de 16 à 22 ans.

Le concert, véritable événement annuel, a été une belle illustration de la diversité du répertoire du chœur, qui allie chants classiques et morceaux contemporains, parfois même avant-gardistes. Après une prestation magique, la reine Mary a eu l’opportunité de saluer chaleureusement les jeunes chanteuses ainsi que la cheffe de chœur, Charlotte Rowan. Un moment d’échange et de reconnaissance pour ces jeunes talents qui perpétuent une tradition musicale chère aux Danois.

Un engagement royal renforcé en 2024

L’année 2024 marque un tournant important pour la famille royale danoise avec l’accession au trône du roi Frederik X, qui a vu les membres de la famille se répartir de nouveaux patronages royaux. La reine Mary, fidèle à ses valeurs de soutien aux causes sociales, a choisi de mettre son énergie au service de fondations et d’initiatives qui soutiennent les plus vulnérables. Ce choix s’est concrétisé avec son rôle de marraine de WeShelter, une cause qui lui tient particulièrement à cœur, en cette période de fêtes, où les inégalités sociales sont parfois plus visibles.

COPENHAGUE, DANEMARK – 14 JANVIER : Le roi Frederik X du Danemark et la reine Mary du Danemark apparaissent sur le balcon du palais de Christiansborg après la déclaration de l’accession du roi au trône le 14 janvier 2024 à Copenhague, Danemark. Le roi Frederik X succède à la reine Margrethe II, qui abdiquera après 51 ans de règne. (Photo par Patrick van Katwijk/Getty Images)

Ainsi, à travers ses engagements, ses actions concrètes et sa présence à des événements culturels, la reine Mary incarne à la fois la tradition royale et l’humanité, rappelant l’importance de partager et de tendre la main aux autres, surtout en cette période de Noël.

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L’avocate et ancienne première dame des Etats Unis était sur un prestigieux plateau télé américain pour présenter ses projets et … faire danser les américains et au-delà.

Du groove, du rythme, du style et des millions de fans dans le monde entier, Michelle Obama semble de plus en plus en forme à bientôt 61 ans. La femme de Barack Obama, étincelante et volcanique, a fait une apparition très remarquée ce mardi 17 décembre, en tant qu’invitée vedette d’un grand show télévisé américain. La maman de Sacha et de Malia a posté une vidéo teaser de son émission où on voit la femme politique et activiste pour les droits des femmes et des jeunes filles, arriver dans les coulisses de l’émission en dansant et chantant. Dans une robe en cuir noir asymétrique Bottega Veneta, à la jupe ballon avec une fente sexy sur le côté, laissant voir ses hautes cuissardes de la même matière, le tout dompté d’un blazer masculin couleur taupe, Madame Obama a électrisé le talk-show « The Happy Place », de la chanteuse et actrice américaine Jennifer Hudson.

Michelle Obama sur le plateau du talk show « The Happy Place » de Jennifer Hudson (Photo Getty Images)

Une belle promo pour son dernier livre Overcoming : A Workbook

L’épouse du 44ème président des USA, continue d’inspirer des millions de femmes dans le monde par son style décalé et libéré, comme pouvaient commenter des internautes sur sa page : « Une ancienne première dame avec des tresses, c’est littéralement la perfection ! ». Michelle Obama inspire aussi par cette énergie qu’elle a pour mener ses activités et ses engagements en faveur de l’éducation, de la santé, et des droits des femmes et des jeunes filles. À travers ses livres, ses interventions publiques et ses fondations, elle promeut une vision inspirante de l’empowerment féminin et du leadership. Avec Overcoming : A Workbook, elle offre à ses lecteurs des outils concrets pour surmonter les défis du quotidien et trouver leur propre voix, renforçant ainsi son image de mentor universelle et intemporelle et de modèle d’élégance, de force et de détermination. « Je continue de penser que Michelle devrait être présidente », a écrit une autre fan.

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Le Tbourida Show, événement phare de l’Année Culturelle Qatar-Maroc 2024, a célébré l’héritage équestre marocain à Doha, sous la présidence de la Princesse Lalla Hasnaa et de Sheikha Sara Bint Hamad Al-Thani. Cette soirée a été un hommage à la tradition de la Tbourida, un art équestre emblématique du Maroc.

La Princesse Lalla Hasnaa a ébloui l’événement dans un cafetan blanc délicatement orné de broderies florales aux teintes vives de rouge, jaune et violet, magnifiant l’artisanat marocain. Elle a élégamment complété son ensemble avec un collier à perles vertes, ajoutant une touche de subtil raffinement, et des boucles d’oreilles délicates qui apportaient un éclat discret mais saisissant, soulignant sa beauté naturelle. L’ensemble se distinguait par une élégance simple mais intemporelle, sublimant le charme incontestable de la Princesse.

Dans le cadre de l’Année Culturelle Qatar-Maroc 2024, un événement équestre exceptionnel a eu lieu à Doha, mettant en lumière l’art traditionnel de la Tbourida, une discipline inscrite au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. Ce spectacle, célébrant l’héritage équestre du Maroc, a marqué l’aboutissement d’une année de rapprochement culturel entre les deux nations.

La Tbourida, qui allie vitesse, endurance et grâce, est bien plus qu’une simple démonstration équestre : c’est un véritable symbole de l’attachement profond du Maroc à son patrimoine et à l’importance du cheval dans ses traditions. L’événement a débuté par une projection retraçant les moments marquants de cette année culturelle, soulignant l’intensification des relations entre le Qatar et le Maroc sous l’égide de leurs Chefs d’État, Sa Majesté le Roi Mohammed VI et Son Altesse Cheikh Tamim Ben Hamad Al Thani.

À son arrivée au Centre équestre Al Shaqab, la Princesse Lalla Hasnaa a été chaleureusement accueillie par des personnalités importantes, notamment M. Issa Bin Mohammed Al-Mohannadi, président du Qatar Racing and Equestrian Club. Des représentants du Qatar et du Maroc ont témoigné de leur soutien, rendant hommage à la coopération bilatérale renforcée par des événements de cette envergure.

L’Année Culturelle Qatar-Maroc 2024 a été ponctuée par une série d’expositions et de manifestations illustrant la richesse de la culture marocaine, comme l’exposition des bijoux berbères du Palais Royal et la présentation du pavillon « Dar Al Maghreb », véritable immersion dans l’histoire et l’art du Royaume. Le Maroc a également accueilli des événements prestigieux, tels que le « Longines Global Champion Tour » et le « Fashion Trust Arabia », renforçant ainsi les échanges culturels et économiques entre les deux pays.

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La Coupe du Monde 2030 promet d’être un événement spectaculaire, notamment avec des matchs disputés au Maroc, en Espagne et au Portugal. Un rendez-vous planétaire suivi par au moins 3 milliards de personnes dans le globe tous les quatre ans . Le Maroc accueillera les plus grands joyaux du ballon rond dans ses stades, pour le plus grand bonheur d’un peuple au rapport au foot bien à lui. Voici les 10 grands noms que l’on verra jouer au moins un match au Maroc en 2030:

1- Kylian Mbappé (France)

Une des superstars de la planète, il sera au sommet de son art à 31 ans.

Photo Getty Images

2- Erling Haaland (Norvège)

Le viking géant buteur de Manchester City portera son équipe remplie de promesses.

Photo Getty Images

3- Vinícius Júnior (Brésil)

Le chouchou du Bernabeu. Superstar de la Selecao, est considéré comme l’un des meilleurs joueurs du monde.

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4- Jude Bellingham (Angleterre)

Déjà un maître du milieu de terrain, il est leader technique de l’Angleterre.

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5- Pedri (Espagne)

Le maestro espagnol incarne l’avenir du football espagnol et jouera presque à domicile.

Photo Getty Images

6- Jamal Musiala (Allemagne)

Considéré comme un des jeunes prodiges, il sera à l’apogée de sa carrière.

Photo Getty Images

7- Achraf Hakimi (Maroc)

Le défenseur star jouera devant son public dans une ambiance électrique.

Photo Getty Images

8- Rafael Leao (Portugal)

Un des attaquants les plus prometteurs du monde. Le joueur du Milan Ac défendra les couleurs de son pays à domicile.

Photo Getty Images

9- Lamine Yamal (Espagne)

Suivant les traces de son parrain Lionel Messi, le très jeune cas d’or de Barcelone jouera sa première coupe du monde .

Lamine Yamal

10- Rodri (Espagne)

Tout juste sacré ballon d’or 2024, le chef d’orchestre de Manchester City foulera les gazons marocains.

Bien entendu, cette liste peut évoluer en fonction des performances des joueurs et de l’émergence de nouveaux talents d’ici 2030. Casablanca, Rabat, Tanger, Agadir, Marrakech, Fès vibreront au rythme des percées des défenses de Vinicius, des sprint sur 40 mètres de Kylian Mbappé, du tiki taka espagnol. Mais ce seront les gradins qui trembleront lorsque les Lions de l’Atlas pousseront le ballon au fond des filets.

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L’inauguration officielle du Four Seasons Kasr Al Bahr à Rabat, présidée par Fouad Ali El Himma, conseiller de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a été un hommage éblouissant à l’art, à la culture et au patrimoine marocains. Imane Belmkaddem, fondatrice de la marque Taragalte Stockholm, et sa mère, l’artiste peintre Fatima El Hajjaji, ont illuminé cette soirée avec une fusion parfaite entre tradition et modernité.

Rabat, Ville de Lumière et capitale culturelle du Maroc, a brillé lors de cette inauguration officielle célébrée en grande pompe. Fouad Ali El Himma a coupé le ruban inaugural, donnant ainsi le coup d’envoi à un gala mémorable qui a réuni la haute société marocaine, des dignitaires internationaux et les dirigeants du groupe Four Seasons. L’ouverture du Four Seasons Kasr Al Bahr est bien plus qu’un événement hôtelier : elle incarne une célébration de Rabat, ville où le patrimoine et la modernité s’entrelacent pour offrir une expérience unique. Une capitale qui continue de rayonner, portée par son histoire, sa culture et son ouverture sur le monde.

Inauguration officielle du Four Seasons Ksar Al Bahr à Rabat par le Conseiller de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Fouad Ali El Himma

Un Hommage à l’Âme de Rabat

L’événement a magnifiquement honoré le riche héritage de Rabat en mettant en lumière la Kasbah des Oudayas, symbole intemporel de la ville. L’exposition centrale, intitulée Oudayas : Saisons et Émotions, a présenté les œuvres vibrantes de l’artiste marocaine Fatima El Hajjaji, connue pour sa maîtrise des couleurs et des émotions. À travers ses toiles, elle a capturé l’essence des ruelles blanches, des portes sculptées et des marchés animés, offrant un regard inédit sur l’histoire et l’âme de Rabat.

Mode et Art : Une Fusion Inspirée

La soirée a également célébré la mode avec une collection exclusive de la marque Taragalt Stockholm, dirigée par Imane Belmkaddem, fille de Fatima El Hajjaji. Cette collaboration mère-fille a donné naissance à une ligne unique de vêtements et accessoires inspirés par les œuvres de l’artiste. Les créations, élégantes et audacieuses, incarnent l’alliance parfaite entre tradition marocaine et design scandinave.

Imane Belmkaddem créatrice de la marque de mode Taragalt Stockholm, lors de l’inauguration officielle du Four Seasons Ksar Al Bahr Rabat
Imane Belmkaddem créatrice de la marque de mode Taragalt Stockholm et sa mère, l’artiste-peintre Fatima El Hajjaji, lors de l’inauguration officielle du Four Seasons Ksar Al Bahr à Rabat

Une Nouvelle Ère pour Rabat

Le Four Seasons Kasr Al Bahr, véritable chef-d’œuvre d’architecture et de sophistication, s’impose comme un symbole de l’harmonie entre tradition et modernité. En accueillant cet événement, l’hôtel ouvre un nouveau chapitre pour Rabat, confirmant son statut de carrefour culturel. Cet événement inaugural marque également le lancement prochain du Rabat International Fashion Fair, un projet qui promet de placer Rabat au centre de la mode mondiale.

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Chanel a célébré l’élégance et l’émancipation féminine lors de son prestigieux Academy Women’s Luncheon, réunissant des figures emblématiques du cinéma et de la musique, dont Ariana Grande et Selena Gomez. Fidèle à sa mission, la maison française a sublimé cet événement en rendant hommage aux femmes qui façonnent la créativité et l’art.

Selena Gomez et Ariana Grande incarnent le style Chanel au Women’s Luncheon à Los Angeles (Photo Getty Images)

Selena et Ariana : le chic intemporel revisité

Selena Gomez a ébloui dans un ensemble black & white, sublimé par un col Claudine bordé de perles scintillantes. Une touche de glamour moderne, rehaussée par des sequins délicatement brodés. De son côté, Ariana Grande a opté pour une robe 70’s au tombé fluide, évoquant le chic rétro avec une modernité décontractée. Une interprétation audacieuse de l’héritage Chanel qui illustre l’adaptabilité de la maison à toutes les époques.

Selena Gomez et Ariana Grande incarnent le style Chanel au Women’s Luncheon à Los Angeles, aux côtés de Laura Karpman, Sarah Paulson (Photo Getty Images)

Le style Chanel : une célébration de la féminité libre et intemporelle

Le style Chanel se distingue par son élégance intemporelle, où des silhouettes épurées et raffinées transcendent les modes passagères pour incarner une sophistication universelle. Les contrastes marqués, notamment le noir et blanc emblématique, sont au cœur de cette esthétique, symbole de simplicité et de perfection maîtrisée. Chaque création est enrichie de détails raffinés, qu’il s’agisse de broderies délicates, de perles scintillantes ou de sequins, des touches subtiles mais saisissantes qui captent l’attention sans excès. Chanel puise également dans l’audace rétro, revisitant avec modernité des inspirations des années 20 aux années 70, pour proposer des pièces qui allient nostalgie et contemporanéité. Enfin, le style Chanel se veut un manifeste de liberté, offrant aux femmes des créations à la fois sublimes et pratiques, conçues pour accompagner leur mouvement et affirmer leur singularité.

Ariana Grande incarne le style Chanel au Women’s Luncheon à Los Angeles (Photo Getty Images)
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Beyoncé et sa fille aînée, Blue Ivy Carter, ont volé la vedette à Los Angeles lors de l’avant-première de Mufasa: The Lion King, le très attendu préquel de Disney. Habillées de robes de princesse dorées éclatantes, mère et fille ont rayonné sur le tapis rouge, hymne à l’élégance et la royauté qui leur sont associées. De vraies Golden Women.

Beyoncé et sa fille Blue Ivy Carter à l’avant-première de Mufasa The Liong King de Disney à Los Angeles (Photo Getty Images)

Une célébration de l’héritage du Roi Lion

Le film, réalisé par Barry Jenkins, revient sur les origines de Mufasa, explorant son ascension en tant que roi de la savane. Ce préquel promet une immersion dans les valeurs d’amour, de courage et de transmission, des thématiques chères à l’univers Disney. Beyoncé, qui avait prêté sa voix à Nala dans The Lion King (2019) et contribué à la bande originale avec Spirit, semble entretenir un lien profond avec cette saga emblématique. Sa présence à l’avant-première, accompagnée de Blue Ivy, renforce l’idée d’un héritage culturel et artistique partagé entre générations.

Le talent, une affaire de famille

Chez Beyoncé et Jay-Z, le talent se transmet comme un trésor. Blue Ivy Carter, déjà récompensée par un Grammy à seulement 9 ans pour sa participation à Brown Skin Girl, poursuit son apprentissage auprès de sa mère. Lors de la dernière tournée mondiale de Beyoncé, Renaissance World Tour, Blue Ivy a conquis les foules en montant sur scène pour des performances spectaculaires.

Beyoncé et sa fille Blue Ivy Carter à l’avant-première de Mufasa The Liong King de Disney à Los Angeles (Photo Getty Images)

Les sœurs Carter : un héritage musical gravé dans l’histoire

Rumi Carter, à seulement 6 ans, marque l’histoire en devenant la plus jeune artiste à figurer dans le Hot 100 de Billboard grâce à Protector, une collaboration touchante et puissante. Un exploit qui rappelle celui de sa grande sœur, Blue Ivy, qui, à 7 ans, avait brillé avec Brown Skin Girl, remportant un Grammy pour cette célébration de la beauté noire. Mais l’histoire musicale des Carter commence encore plus tôt. Blue Ivy avait déjà fait sensation en entrant dans le classement Billboard… dès son plus jeune âge, grâce à Glory, un titre dédié par son père Jay-Z, enregistré peu après sa naissance.

Beyoncé et sa fille Blue Ivy Carter à l’avant-première de Mufasa The Liong King de Disney à Los Angeles (Photo Getty Images)
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Le réalisateur et l’actrice se livrent avec une complicité inégalée et une alchimie hors du commun, une métamorphose artistique rappelant le duo mythique Bradley Cooper et Lady Gaga dans « A Star is Born ».

Dans une rencontre empreinte de confidences et d’émotion, Nabil Ayouch et Nisrin Erradi ont illuminé le Festival International du Film de Marrakech avec « Everybody Loves Touda ». Ce long-métrage, véritable hommage à l’art ancestral de l’Aïta, porte en lui une fabuleuse histoire entre le réalisateur et l’actrice, née d’une complicité artistique hors du commun, rappelant l’alchimie du duo Bradley Cooper et Lady Gaga dans A Star is Born.

À l’image de l’histoire de transformation racontée dans A Star is Born, où Bradley Cooper a révélé toute l’âme de Lady Gaga en tant qu’actrice, Nabil Ayouch a su, lui aussi, puiser dans les profondeurs de Nisrin Erradi pour sublimer son talent. La jeune actrice, déjà saluée pour ses rôles précédents, s’est métamorphosée sous la direction du réalisateur, devenant l’incarnation parfaite de Touda, une figure emblématique de l’art de l’Aïta.

Pour moi, Nisrin était déjà une actrice exceptionnelle,” confie Nabil Ayouch. “Mais je voulais aller plus loin, explorer l’intensité de son jeu et la douceur cachée de la femme qu’elle est. Cela nous a pris plus d’un an de travail ensemble.”

C’est Maryam Touzani, l’épouse de Nabil Ayouch, qui a perçu en premier l’intensité du jeu de Nisrin Erradi. “Maryam a été frappée par sa profondeur et sa sensibilité lorsqu’elle a dirigé Nisrin dans Adam,” raconte Nabil. Séduit par cette aura, il a décidé de bâtir « Everybody Loves Touda » autour d’elle. Mais ce rôle n’est pas arrivé sans travail. Pendant une année entière et six longs mois, Nabil Ayouch a accompagné Nisrin dans une exploration intime de son art, révélant à la fois sa puissance émotionnelle et sa douceur.

J’ai tout de suite su qu’elle avait quelque chose d’unique. Elle est extraordinaire, une actrice rare,” confie le réalisateur. “Touda, c’est elle, et personne d’autre. Ce personnage ne pouvait exister qu’à travers Nisrin.

Everybody Loves Touda : un hymne à l’art de l’Aïta

Avec ce film, Nabil Ayouch ne se contente pas de raconter une histoire. Il rend hommage à l’Aïta, ce patrimoine musical marocain qu’il souhaite voir réhabilité. Dans « Everybody Loves Touda », le réalisateur et son actrice nous transportent dans un univers où les rythmes ancestraux rencontrent la modernité du cinéma.

Nous avons rencontré Nabil Ayouch et Nisrin Erradi à la Mamounia, QG du Festival par excellence à chaque édition. Et c’était sans aucune hésitation, une interview presque à bâtons rompus sur la majestueuse et centenaire allée des oliviers, une après-midi ensoleillée de décembre, baignée de lumière et de douceur, sous le son feutré du gravier sous nos pas. Une scène presque cinématographique, à l’image de leur collaboration unique.

Touda n’est pas qu’un personnage : elle est une déclaration d’amour à l’art, à la culture, et à la passion qui unit un réalisateur à son actrice. Un duo qui a fait vibrer le FIFM et au-delà.

  • Nabil Ayouch. Vous souvenez-vous de la première fois où vous avez croisé des Cheikhattes dans la vraie vie ?

Je me souviens très bien de ma première rencontre avec les Cheikhattes. C’était en 1999, au château de Versailles à Paris. On m’avait proposé de mettre en scène la cérémonie d’ouverture de l’événement « le temps du Maroc ». Dans la salle des Batailles du château, qui fait 110 m de long avec un public varié, marocains et français, j’ai éteint les lumières et j’ai mis une Cheikha à chaque bout de la salle, dans le noir et je leur ai dit « envoyez-moi votre « Aïta ». Ça a donné un frisson à toute l’assistance et ça été le début de mon histoire avec les Cheikhattes, qu’on a retrouvé dans certains rôles de mes films, « Les Chevaux de Dieu » et « Razzia », jusqu’au moment où ce vieux rêve de faire un film qui leur serait complètement consacré, se réalise en rencontrant Nisrin.

  • Nisrin. Vous connaissiez évidemment cette histoire !

Oui Nabil m’a raconté cette histoire au tout début de notre travail sur le film. Nous avons passé tellement de temps ensemble à échanger.

  • Nisrine Erradi. Quel rapport entretenez-vous avec l’univers des Cheikhates ? Vous chantez ?

Non, je n’ai jamais chanté et ça a été plutôt difficile pour moi de chanter pendant le tournage. Mais Nabil a fait appel à trois Cheikhattes des plus connues et des plus intéressantes selon moi, Khadija El Beidaouiya que Dieu ait son âme, elle était présente au tout début des préparations de l’aventure du film « Every body loves Touda ». D’ailleurs, j’ai joué avec sa « Taarija » pendant tout le film. Elle me l’avait offerte », « Siham El Messfiouiya » et « Houda Nachta », qui grâce à elles, j’ai pu incarner Touda dans le film et transmettre fidèlement son message.

  • Pourquoi Nisrine ? en quoi elle est l’interprète idéale ? et que dites-vous de la comparaison de votre travail pour ce rôle de Touda à celui de Bradley Cooper avec Lady Gaga dans « A Star is born » ?

J’ai vu en Nisrin une force, une puissance de jeu phénoménale et c’est ma femme, Maryam Touzani qui me l’avait dit auparavant, quand elle a achevé le tournage de son film « Adam ». Nisrin a un caractère en acier trempé, sans compromis et sans concessions. C’est l’actrice que j’attendais pour lancer ce film. À partir de là, il fallait juste un contrat moral entre Nisrin et moi, afin qu’elle accepte de me donner du temps, un an et demi de sa vie, sans rien faire d’autre, du temps pour se coacher, pour apprendre à chanter, à danser, à parler et à marcher comme les Cheikhattes. Et c’est ce qu’elle a fait, elle m’a dit « je suis avec toi Nabil sur ce film, le temps qu’il faudra, je ne prendrais aucun autre film ». C’est ce travail préparatoire, aussi long et aussi précis qui fait que vous voyez toute cette transformation en Nisrin.

  • Oui, cette force est une étiquette chez Nisrin, mais depuis l’annonce du film, on ressent cette douceur et cette sensibilité que l’on ne voyait pas en elle avant ? 

Ce qui rend Nisrin exceptionnelle, c’est qu’elle est une actrice aux multiples facettes. Elle n’est pas seulement forte ou puissante : elle incarne une sensibilité profonde et une fragilité émouvante, comme on peut le voir dans le film. Elle a cette capacité rare de se glisser dans la peau de n’importe quel personnage, en explorant différentes nuances et approches, toujours avec une authenticité saisissante.

  • Quel directeur est Nabil ?

Le meilleur ! Le meilleur réalisateur avec lequel j’ai travaillé jusque-là. Beaucoup de réalisateurs ne seront pas contents. Je vous avoue que je rêvais de travailler avec lui et je me disais pourquoi il ne m’a jamais sollicité. J’ai fini par comprendre qu’il me réservait un grand rôle comme celui de Touda.

  • C’était difficile d’intégrer l’esprit des Cheikhates dans votre jeu ? Pourtant, on pourrait penser que toutes les Marocaines maîtrisent les codes du Chaâbi…

Nabil Ayouch : Ce n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît. Cela demande à une actrice une concentration énorme et une volonté d’incarnation exceptionnelle. Nisrin possède ces qualités, et ce qu’elle a accompli dans ce film est unique. Elle m’a surpris à de nombreuses reprises : elle a su puiser en elle des ressources insoupçonnées, bien au-delà de ce que j’imaginais au départ. À force de travail, nous avons construit un lien et une relation qui allaient au-delà des mots. À un certain moment, les non-dits suffisaient : nous nous comprenions sans avoir besoin de parler.

Nisrin Erradi : Nous sommes effectivement allés très loin dans le travail de direction d’acteurs. C’était difficile pour moi au début, car je connaissais très peu le monde des Cheikhates. Mais tout le travail préparatoire avant le tournage m’a permis de prendre confiance en moi. Grâce à cela, j’ai pu plonger totalement dans le rôle et incarner Touda avec authenticité.

  • Incarner des personnages puissants et nuancés, cela devient votre spécialité ?

Nisrin. J’ai toujours voulu incarner des femmes fortes et puissantes. Grâce à Nabil, jouer Touda m’a résolument permis de tout donner et de tout sortir du plus profond de moi-même.

Nabil. Touda, c’est un rôle qui attendait Nisrin. Il était là, posé dans un coin depuis quelques années. J’y pensais, j’en parlais avec Maryam souvent et j’attendais de trouver mon actrice. C’est vraiment en voyant Nisrin dans « Adam » et en apprenant à la connaitre que je me suis dit « c’est elle, ce sera elle ».

  • Des similitudes avec votre film Whatever Lola Wants, qui explore également la danse au féminin ?

Oui, il y a des similitudes, notamment parce que les deux films intègrent la danse et mettent en lumière des personnages féminins. Cependant, Whatever Lola Wants s’intéresse davantage au lien entre l’Orient et l’Occident à travers la danse orientale. Avec Touda, c’est différent : on plonge dans une année de la vie d’une femme, une année dans la vie de Touda. Le film suit son parcours intérieur, son voyage géographique, et sa quête d’élévation sociale dans une société comme la nôtre. À travers son art, l’Aïta, il aborde des thématiques universelles. En voyageant avec le film, que ce soit aux États-Unis ou en Europe, j’ai réalisé à quel point le parcours de Touda, cette femme marocaine, résonne avec celui d’autres femmes à travers le monde. Ce chemin vers l’émancipation et la reconnaissance, cette lutte, trouve un écho universel.

  • C’est finalement un film pour la condition de la femme Cheikha marocaine ?

Non. C’est un film qui suit le parcours d’une femme, avec ses rêves, ses espoirs, ses déceptions et avec sa volonté farouche, d’y arriver coûte que coûte pour elle et pour son fils.

  • Vous vous sentez à chaque fois investi d’une mission en faisant des films ?

Nabil. Il y a plutôt un devoir de vérité : dire et exprimer des choses qui me semblent cruciales à entendre, donner un visage à un personnage qui doit être vu et regardé, ouvrir les consciences, ouvrir les âmes sur une manière de voir ces femmes, ces Cheikhattes, dont l’image s’est pervertie avec le temps. Ces femmes sont des artistes, mais aussi des héroïnes qui ont joué un rôle très important au XIXᵉ siècle dans l’histoire de notre pays. Nous avons tendance à l’oublier. Depuis les années 1950 et 1960, avec l’exode rural, elles ont quitté leurs villages pour les grandes villes. Là, elles ont été obligées de chanter et de danser dans des lieux où circulaient l’alcool et l’argent. D’un coup, elles sont passées du statut d’héroïnes à celui de prostituées ou de femmes de mauvaise vie. Cheikha est ainsi devenu une insulte. C’est une injustice majeure. Il est important de se rappeler que s’amuser en écoutant l’Aïta, puis insulter celles qui la chantent le lendemain, est un paradoxe que je ne peux accepter. J’ai eu envie de faire ce film pour dire aux gens : allez-y, écoutez-les, regardez-les pour ce qu’elles sont vraiment. Leur redonner un statut et une dignité, c’est essentiel.

Nisrin Erradi : À travers ce rôle, je voulais vraiment faire passer le message que les Cheikhattes sont de véritables artistes.

  • Quelle Cheikha vous a inspirée pour mieux plonger dans le rôle ?

Nisrin. C’est Khadija ElBidaouiya !

Nabil. Khadija ElBidaouiya, c’est une de nos dernières grandes Cheikhattes que l’on avait en vie jusqu’à présent, elle faisait partie des trois cheikhattes qui ont coaché Nisrin. Elle est morte pendant la préparation du film.

  • Le film traite ce devoir de valoriser la notion de transmission ? 

Tous les arts se perdent s’il n’y a pas de transmission. Aujourd’hui « l’Aïta » ne se transmet plus, à part de rares Cheikhattes que l’on a citées comme El Mesfiouiya qui est dans l’orthodoxie de « l’Aïta » qui connait tous les registres, il y a très peu de Cheikhattes de 25 ou 30 ans d’âge qui continuent à perpétuer cet art. C’est comme nos artisans, nos artistes Maalams, s’il n’y a pas de jeunes générations qui peuvent prendre le flambeau, ça aussi ca va se perdre ce patrimoine culturel immatériel est si important il faut le préserver et le mettre dans les conditions pour le protéger. L’art de « l’Aïta » est un vrai patrimoine.

  • Démocratiser « l’Aïta » au point que le film inspire des jeunes de s’initier à cet art ?

Nisrin. On ne décider pas du jour au lendemain de devenir une Cheikha, ce n’est pas comme dans le film. Il faut avoir un talent, une voix de Cheikha, et une âme de Cheikha.

Nabil. Pour moi si le film permet que l’on change le regard que l’on porte sur les Cheikhattes, ce serait un premier pas.

  • Vous avez effectué une grande tournée dans le monde, le film a-t-il été bien perçu et compris ?

Absolument. J’ai assisté à une projection à Los Angeles et j’ai compris que « Touda » est un personnage qui parle au monde entier, ce n’est pas un film uniquement adressé au public marocain. Des gens à Los Angeles après la projection, m’ont affirmé qu’après avoir vu le film, ils ont compris le monde des Cheikhattes, ils s’en sont plus rapprochés.

  • Une académie de chikhattes en vue, pour poursuivre le travail sur la réhabilitation des Chikhattes au Maroc ?

Nabil. Ce qui est bien dans le cinéma, c’est que les êtres partent et disparaissent mais les films et les personnages restent ! J’espère que le personnage de Touda va rester, va traverser les années qui viennent. En tous les cas c’est un personnage fort, puissant et qui s’impose.

Nisrin. Je me souviens après le tournage, je voyageais beaucoup pour oublier le personnage, le rôle … et j’appelais Nabil pour lui dire que Touda est toujours en moi. J’ai vécu longtemps avec elle et je pense que le film va vivre longtemps avec les gens. Touda n’est pas un personnage que l’on va vite oublier.

  • Les femmes marocaines et arabes en général vont-elles, selon vous reprendre goût à l’Aïta ?

Nabil. On espère que des femmes vont s’en emparer et qu’elles vont y voir ce que j’ai voulu y dire et y raconter.

Nisrin. Lors du festival El Gouna, une femme est venue me voir après la projection pour me dire « Nisrin, je veux te dire que nous sommes toutes Touda »

Entretien réalisé par Ilham Benzakour Knidel

Allée des Oliviers à la Mamounia Marrakech

Captation et montage B-Photographe

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« La place de la femme dans le cinéma marocain est en train d’évoluer », déclare Nadia Kounda, étincelante de grâce et de conviction lors de cette 23ᵉ édition du Festival international du film de Marrakech. Membre du jury international, l’actrice marocaine installée au Canada a marqué les esprits par sa présence magnétique.

Nadia Kounda, membre du jury de la 21ème édition du Festival international du film de Marrakech

Une apparition d’une élégance ravissante

Diablement glamour et sexy, Nadia Kounda a illuminé le tapis rouge dans une robe sublime au double esprit couture. Ce chef-d’œuvre de mode, à la fois fashion et près du corps, mettait en valeur son buste galbé avant de s’ouvrir sur une jupe très évasée en satin de soie, frôlant avec délicatesse le sol. Une ceinture en cuir soulignait sa taille fine, ajoutant une touche rock parfaitement en harmonie avec sa chevelure bouclée et délicieusement naturelle. Résolument, Nadia Kounda a incarné la princesse du cinéma marocain, alliant audace et élégance.

Nadia Kounda, membre du jury de la 21ème édition du Festival international du film de Marrakech

Une ambassadrice du cinéma marocain

En tant que membre du prestigieux jury international, Nadia Kounda a remis l’un des prix les plus attendus, célébrant des œuvres cinématographiques qui transcendent les frontières. Son rôle lors du palmarès souligne non seulement son talent, mais aussi la reconnaissance internationale de son parcours. Lors de son discours, elle a salué les nouveaux récits portés par des voix émergentes, tout en rappelant que « le cinéma est un miroir des sociétés, et il doit refléter la diversité et la force des femmes ».

Nadia Kounda, membre du jury de la 21ème édition du Festival international du film de Marrakech

Un portrait de femme engagée

Originaire du Maroc, Nadia Kounda a su imposer son style et son talent, que ce soit dans des productions marocaines emblématiques telles que L’Amante du Rif ou dans des œuvres internationales. Installée au Canada depuis plusieurs années, elle incarne une double culture qu’elle met au service d’histoires universelles. Actrice, productrice et militante pour une meilleure représentation féminine, elle s’attache à redéfinir les standards du cinéma marocain. Sa vision est claire : « La femme marocaine n’a jamais cessé d’être forte ; il est temps que le cinéma la reflète pleinement. ». Cette soirée, à la croisée de la mode, du glamour et de l’engagement, marque une étape importante dans le parcours de Nadia Kounda, véritable icône du cinéma contemporain.

Nadia Kounda, membre du jury de la 21ème édition du Festival international du film de Marrakech
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