Accueil Non classé
Categorie:

Non classé

Lors d’une brève visite en Italie ce mercredi, Sa Majesté la Reine Rania de Jordanie a été reçue par la Première ministre Giorgia Meloni à la Villa Doria Pamphili à Rome.

Office of Her Majesty Queen Rania Al Abdullah | Royal Hashemite Court

Au cours de cet échange, les deux dirigeantes ont abordé la situation humanitaire actuelle dans la bande de Gaza. La Reine Rania a exprimé sa gratitude pour le soutien humanitaire de l’Italie et ses efforts en faveur de la population civile.

Office of Her Majesty Queen Rania Al Abdullah | Royal Hashemite Court

La rencontre a également été l’occasion de souligner l’importance des relations bilatérales entre la Jordanie et l’Italie, notamment à travers les initiatives soutenues par la Coopération italienne au développement dans les domaines de l’éducation et de la protection de l’enfance et de la famille.

Office of Her Majesty Queen Rania Al Abdullah | Royal Hashemite Court

.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Mardi soir, Los Angeles s’est parée de son plus bel éclat pour accueillir la troisième édition des Fashion Trust U.S. Awards, un événement devenu incontournable dans le paysage de la mode émergente américaine. Présentée par l’irrésistible Keke Palmer, la cérémonie s’est tenue dans l’ambiance feutrée du Lot at Formosa, attirant une constellation de célébrités et figures de la mode : Hailey Bieber, Ciara, Kate Hudson, Colman Domingo, sans oublier Anthony Vaccarello, directeur artistique de Saint Laurent, honoré d’un prix spécial.

Getty Images

Une mission : révéler les talents de demain

Fondée par Tania Fares, Fashion Trust U.S. est une organisation à but non lucratif qui soutient les créateurs émergents à travers des bourses, du mentorat et un rayonnement international. Cette année, les lauréats ont été sélectionnés par un prestigieux comité composé notamment de Laura Brown, Karla Welch, Carlos Nazario, Cameron Silver et Maha Dakhil, avec le soutien du partenaire principal Google Shopping. Les récompenses couvraient six catégories : prêt-à-porter, accessoires, joaillerie, créateur diplômé, mode durable, et une distinction honorifique inédite.

Getty Images

Anthony Vaccarello, l’élégance en héritage

C’est la fondatrice de la marque de beauté Rhode, Hailey Bieber elle-même, qui a remis à Anthony Vaccarello le tout premier Prix Honorifique Fashion Trust U.S.. Un hommage à l’impact créatif et culturel du directeur artistique de Saint Laurent, qui incarne une mode à la fois audacieuse, structurée et profondément ancrée dans son époque.

Getty Images

Rachel Scott (Diotima), étoile montante du prêt-à-porter

Récompensée pour sa marque Diotima, Rachel Scott s’est illustrée par une collection de prêt-à-porter mêlant sportswear contemporain et pièces crochetées à la main, en hommage à ses racines jamaïcaines. Déjà lauréate du titre de Designer Féminin de l’Année décerné par le CFDA en 2024, elle bénéficie ici d’une bourse ainsi qu’un programme de mentorat Google-FTUS.

Getty Images

Dani Griffiths (Clyde), entre artisanat et minimalisme

Le prix des accessoires a été remis à Dani Griffiths, fondatrice de la marque Clyde, par l’acteur Colman Domingo. Basée à New York, Griffiths a commencé avec des accessoires en laine crochetée avant de développer une ligne de chapeaux sculpturaux et de sacs minimalistes en cuir. Son univers mêle rigueur formelle et sensibilité artisanale.

Getty Images

Rebecca Zeijdel-Paz (Beck), la joaillerie au goût des îles

Ciara, chanteuse et entrepreneuse, a salué le travail de Rebecca Zeijdel-Paz, créatrice de Beck, en lui remettant le prix joaillerie. Née au Venezuela et élevée à Curaçao, l’artiste s’inspire de ses origines caribéennes pour créer des pièces uniques en métaux précieux et pierres fines, empreintes de soleil et de mémoire.

Getty Images

Nana Kwame Adusei, la durabilité en majesté

Le prix de la mode durable, remis par Kate Hudson, a couronné Nana Kwame Adusei, créateur basé à Los Angeles. Son label éponyme fusionne élégance contemporaine et influences ouest-africaines, séduisant des icônes comme Kylie Jenner. Une vision de la mode où esthétique et conscience environnementale cohabitent avec grâce.

Getty Images

Patrick Taylor, révélation diplômée de Parsons

La relève est assurée avec Patrick Taylor, jeune diplômé de la Parsons School of Design, qui a reçu le prix du créateur diplômé. Spécialiste de la maille, le créateur originaire de Londres et installé à New York se distingue par un travail innovant et sculptural. Il recevra une bourse offerte par St. John, remise par les dirigeantes Lauren Parrish et Mandy West.

Getty Images

Mentorat, bourses et avenir prometteur

Au-delà de la reconnaissance, chaque lauréat bénéficie d’un accompagnement professionnel via le programme de mentorat du Fashion Trust U.S. et Google Shopping, ainsi que d’un soutien financier allant de 100 000 à 200 000 dollars. Un tremplin décisif vers une carrière internationale.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Après une séparation très médiatisée, Hiba Abouk et Achraf Hakimi semblent aujourd’hui avoir trouvé un équilibre. Loin des tensions passées, l’actrice espagnole et le footballeur marocain donnent la priorité à ce qui compte le plus : le bien-être de leurs deux enfants, Amín et Naím, nés respectivement en 2020 et 2022.

Preuve en est, la récente publication d’Hiba sur ses réseaux sociaux. Dans un carrousel d’images récapitulant les meilleurs moments de son mois de mars, elle glisse une photo attendrissante : Hakimi partage un moment complice avec leur fils aîné. Un cliché discret mais lourd de sens, pris par l’actrice elle-même, qui illustre à sa manière une forme de sérénité retrouvée. « Merci mars pour les épreuves, les rencontres, les départs… et pour m’avoir rappelé ma force« , a-t-elle écrit en légende, suggérant un apaisement progressif après les turbulences.

Credit Photo : Instagram Hiba Abouk

Un divorce douloureux mais dépassé

Le couple avait officialisé sa séparation en 2023, dans un contexte compliqué par les démêlés judiciaires du joueur. Une période marquante pour Hiba Abouk, qui en a parlé avec émotion lors de son passage dans l’émission MasterChef Celebrity. « Je me suis séparée, j’ai déménagé, j’ai vécu des choses très dures. C’était une tempête », confiait-elle, la voix tremblante. Malgré tout, le temps semble avoir fait son œuvre. Aujourd’hui, elle assure que la relation avec son ex-mari est sereine. « C’est derrière nous. On s’entend bien, on avance », a-t-elle déclaré récemment.

Credit Photo : Instagram Hiba Abouk

Achraf Hakimi, de son côté, a lui aussi évoqué ce bouleversement personnel lors d’une interview avec Anas Bukhash sur YouTube. Il y confie avoir appris à mieux se connaître après le divorce : « J’ai compris que je devais me respecter davantage, que certaines choses que j’acceptais ne me convenaient pas. Cette séparation m’a permis de grandir. »

Des chemins différents, mais une priorité commune

Depuis leur rupture, chacun a suivi sa propre voie. Hiba Abouk a brièvement partagé la vie de deux personnalités publiques — l’un cavalier, l’autre entrepreneur — avant de revenir à une forme de célibat apaisé. Hakimi, quant à lui, reste discret sur sa vie sentimentale, mais n’écarte pas l’idée d’un nouvel amour : « Je suis ouvert », a-t-il confié.

S’ils ne forment plus un couple, Hiba et Achraf partagent une certitude : celle de rester unis autour de leurs enfants. Une forme de maturité précieuse, et peut-être, la plus belle des victoires.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Rayonnants de complicité et baignés de lumière romaine, le Roi Charles III et la Reine Camilla s’offrent à l’objectif avec une tendresse qui traverse le temps, à la veille de leur vingtième anniversaire de mariage, ce 9 avril. C’est dans les jardins baignés de lumière de la Villa Wolkonsky, résidence officielle de l’ambassadeur britannique à Rome, qu’ils ont été immortalisés. Au pied du vestige antique de l’Aqua Claudia, le temps semble suspendu pour capturer l’éclat discret de deux âmes en harmonie.

Un écho de sérénité et d’élégance

Derrière l’objectif, Chris Jackson, photographe officiel de Getty Images, saisit l’instant avec grâce, quelques heures à peine après leur arrivée dans la Ville Éternelle pour une visite d’État de quatre jours.Pour l’occasion, Camilla resplendit dans une robe-manteau crème signée Anna Valentine, ponctuée d’une broche « Muguet », symbole de pureté et de renouveau. À ses côtés, Charles, fidèle à son élégance britannique, arbore un costume bleu marine à fines rayures, comme une ode discrète au classicisme royal.

© Chris Jackson/Getty Images for Buckingham Palace

Un message du cœur à l’Italie

Ces portraits ont également trouvé refuge sur leur compte Instagram officiel, accompagnés de mots simples mais pleins d’émotion :

« Alors que nous commençons notre première visite en Italie en tant que Roi et Reine, nous sommes impatients de célébrer notre vingtième anniversaire de mariage dans un lieu aussi spécial – et auprès de personnes aussi merveilleuses ! À bientôt, Rome et Ravenne ! – Charles R & Camilla R. »

Une déclaration délicate, entre amour personnel et devoir diplomatique.

Le temps, la foi et les retrouvailles

Vingt ans plus tôt, c’est à Rome aussi que Charles posait le pied, mais dans un tout autre contexte : pour rendre hommage au Pape Jean-Paul II, un deuil qui avait repoussé ses noces avec Camilla. Cette année, l’agenda devait inclure une rencontre avec le Pape François, mais celle-ci a été annulée, le Pontife poursuivant sa convalescence après une hospitalisation. Toutefois, une rencontre privée n’est pas exclue, si son état le permet. Une occasion rare entre deux chefs spirituels – le Saint-Père et le Gouverneur Suprême de l’Église d’Angleterre.

© Chris Jackson/Getty Images for Buckingham Palace

Un dîner sous les étoiles du Quirinal

Pour marquer leur anniversaire de porcelaine, le couple royal s’apprête à vivre une soirée d’exception : un dîner d’État en tenue de gala au Palais du Quirinal, sous l’égide du président italien Sergio Mattarella. Une célébration fastueuse, reflet d’un amour discret devenu institution.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Si certaines femmes de pouvoir imposent leur influence par le verbe, la reine Rania de Jordanie le fait aussi par le style. Depuis deux décennies, son goût affirmé pour les jupes longues et volumineuses, à la fois majestueuses et modernes, s’est inscrit dans l’histoire de la mode royale. Bien plus qu’une simple inclination vestimentaire, cette silhouette est devenue l’un de ses marqueurs les plus élégants.

2004 : l’instant fondateur d’un style

Tout commence en mai 2004, lors du mariage princier de Felipe d’Espagne et de Letizia Ortiz. Ce jour-là, la reine Rania crée la surprise. Elle délaisse les robes cintrées et tailleurs protocolaires pour une tenue audacieuse, presque théâtrale, mais ô combien raffinée : un chemisier blanc immaculé, associé à une jupe lilas aux proportions XXL, légèrement rehaussée de dentelle. L’ensemble, à la fois poétique et impérial, capte l’attention de la presse et des passionnés de mode. Ce look inattendu marque un tournant : Rania impose une nouvelle grammaire du chic royal.

La Reine Rania
Getty images

L’art de manier la jupe longue : une touche de classe signée Rania

Depuis cette apparition fondatrice en 2004, la reine Rania n’a cessé de décliner son goût pour les jupes longues dans une palette de styles et de matières, faisant de cette pièce un véritable statement mode. Chaque tenue raconte une histoire, où se mêlent influences contemporaines et racines culturelles.

On se souvient notamment de cette jupe plissée XXL en noir et blanc, spectaculaire par son volume maîtrisé, qu’elle accessoirise d’une ceinture rouge graphique et d’un chemisier blanc sobre : un jeu de contrastes parfaitement orchestré, à la fois audacieux et équilibré.

La Reine Rania
Getty images

Autre apparition marquante : une longue jupe noire soulignée de motifs ethniques rouges sur les côtés, hommage discret mais puissant à l’artisanat du Levant, qu’elle associe à un haut aux lignes épurées. Ce style, très personnel, incarne à merveille sa façon de conjuguer héritage et modernité sans jamais tomber dans le folklorique.

La Reine Rania
Getty images

Le 1er juin 2005, à New York, la Reine Rania de Jordanie avait une fois de plus capté tous les regards lors de la troisième édition de la soirée de bienfaisance organisée par le Sesame Workshop au Cipriani 42nd Street. Vêtue d’une silhouette impeccable, elle a opté pour une jupe longue noire sobre, sublimée par un haut blanc élégant, créant une harmonie parfaite entre simplicité et raffinement. Son apparence à la fois classique et moderne incarne l’essence même du style royal, tout en faisant écho à son statut d’icône de la mode internationale. Son apparition ce soir-là n’a pas seulement marqué l’événement par son engagement, mais aussi par une leçon de style, où chaque détail de sa tenue semblait résonner avec grâce et sophistication !

La Reine Rania
Getty Images

Une allure royale… et avant-gardiste

Ce qui fascine chez la reine Rania, c’est sa capacité à faire dialoguer la tradition avec la tendance. La jupe XXL, dans ses mains, devient un terrain d’expression entre codes royaux et liberté créative. Elle en fait un vêtement de pouvoir, sans sacrifier la féminité. Une alternative gracieuse aux robes classiques, moins attendue que les tailleurs, mais toujours impeccablement maîtrisée.

La Reine Rania
Getty images

En cela, elle s’inscrit dans la lignée des icônes de style qui ne suivent pas la mode : elles la devancent. Longtemps avant que les podiums ne remettent la jupe ample au goût du jour, Rania la faisait défiler dans les couloirs feutrés des palais et les sommets internationaux.

La Reine Rania
Getty Images

Une mode qui dit quelque chose

Au-delà de l’aspect esthétique, la passion de la reine Rania pour les jupes longues révèle une femme résolument moderne, consciente de l’impact de son image et de sa position. Par ce choix vestimentaire, elle incarne une royauté qui se réinvente, une féminité affirmée mais subtile, loin des conventions, et une élégance portée par une liberté de choix. La jupe, dans sa fluidité et sa grandeur, devient ainsi un véritable symbole de la femme contemporaine : puissante, indépendante et élégante, sans jamais chercher à se conformer.

0 commentaires
0 PinterestEmail
le mariage de Hailie Jade Mathers

C’est avec une tendresse palpable que Hailie Jade Mathers a partagé une grande nouvelle ce vendredi 4 avril sur son compte Instagram : elle a donné naissance à son tout premier enfant. Un petit garçon, venu au monde un peu plus tôt que prévu, le 14 mars 2025, illuminant la vie de ses parents de son arrivée précipitée mais pleine de promesses.

Hailie Jade Mathers
Hailie Jade a rencontré Evan McClintock alors qu’ils étaient étudiants à l’Université de Michigan State. Discrets et soudés, le couple file le parfait amour depuis plusieurs années, loin de la lumière médiatique.
Credit Photo : Instagram HailieJade

Dans une mise en scène adorable, Hailie a publié deux clichés attendrissants de son nouveau-né, lové paisiblement dans son couffin. Juste au-dessus de sa petite tête endormie, un cadre dévoile son prénom complet : Elliot Marshall McClintock. Et c’est ce deuxième prénom, Marshall, qui résonne avec une portée toute particulière : il s’agit du véritable prénom de son grand-père, le légendaire rappeur Eminem, de son vrai nom Marshall Bruce Mathers III.

l'enfant de Hailie Jade Mathers
Elliot Marshall, tout juste arrivé dans le monde, séduit déjà par son regard éveillé et sa frimousse attendrissante. Un bébé qui dégage une douceur infinie.
Credit Photo : Instagram HailieJade

À travers ce choix, c’est un hommage discret mais profond qu’Hailie rend à celui qui, pendant des années, l’a protégée, chantée, et placée au centre de sa vie et de ses textes. Une manière émouvante de transmettre le flambeau familial à une nouvelle génération, et de faire vivre l’héritage de Marshall à travers le regard d’un petit garçon désormais porteur de ce nom.

Hailie Jade Mathers et son marie
C’est sur Instagram que Hailie Jade avait dévoilé sa grossesse, photo à l’appui. Une publication simple et chaleureuse qui a touché ses abonnés, ravis de suivre cette nouvelle aventure à ses côtés.
Credit Photo : Instagram HailieJade

Eminem, un “grand-pa” comblé

Le monde avait eu un premier aperçu de cette nouvelle aventure en octobre 2024, lorsque Eminem, toujours aussi discret sur sa vie privée, avait révélé la grossesse de sa fille dans le clip de sa chanson Temporary. Un morceau chargé de nostalgie, mêlant images d’archives et souvenirs tendres retraçant l’enfance de Hailie. Le moment le plus marquant du clip ? Une scène finale dans laquelle Hailie apparaissait pour offrir à son père un t-shirt imprimé du mot “grand-pa” et accompagné d’une échographie : un passage de témoin tendre et puissant, dans un style à la fois pudique et touchant.

Eminem et Hailie Jade Mathers
Dans une vidéo touchante, Hailie Jade a capturé l’instant où elle révélait sa grossesse à son père. La réaction d’Eminem, bouleversé, a ému des milliers de fans — surtout lorsqu’il a découvert, inscrit sur le maillot de football offert par sa fille, un mot simple et symbolique : « Grand-pa ».
Instagram HailieJade

Née en 1995 de l’union entre Eminem et Kimberly Scott, Hailie Jade a grandi sous les projecteurs, mais toujours avec une certaine grâce et retenue. Aujourd’hui mariée à Evan McClintock, elle s’apprête à construire son propre cocon, loin des feux de la rampe, mais riche d’un héritage musical, émotionnel et symbolique.

l'enfant de Hailie Jade Mathers
Avec ses yeux brillants et son expression paisible, Elliot Marshall semble tout droit sorti d’un rêve. Une petite merveille qui fait déjà fondre tous les cœurs.
Credit Photo : Instagram HailieJade

Ce nouveau chapitre s’ouvre donc sur une douce note familiale, et transforme l’icône du rap en grand-père attendri. Une belle manière de rappeler que derrière la légende de Marshall Mathers, il y a un homme, un père… et désormais, un “grand-pa”.

0 commentaires
0 PinterestEmail

À 63 ans, George Clooney, star planétaire du grand écran, fait ses débuts à Broadway. Icône du cinéma, séducteur assumé puis mari et père comblé, il n’a cessé de se réinventer. Retour sur 12 dates qui racontent le parcours unique d’un homme passé de sex-symbol à légende vivante.

De la blouse blanche du docteur Ross aux rôles engagés derrière la caméra, George Clooney a tout incarné. Aujourd’hui, l’acteur oscarisé ajoute une nouvelle corde à son arc : le théâtre. Il monte sur scène pour la première fois à Broadway dans une pièce inspirée de Good Night, and Good Luck. L’occasion parfaite de feuilleter l’album d’une vie bien remplie.

George Clooney dans son rôle de George Burnett (Photo : Ron Tom/NBCU)

1. 6 mai 1961 : Naissance dans le Kentucky

George Timothy Clooney voit le jour à Lexington, dans une famille déjà exposée aux projecteurs : son père, Nick, est journaliste et animateur télé, sa mère, Nina, ancienne reine de beauté.

George Clooney entouré de ses parents Nick and Nina Clooney à la première de « Solaris » au Cinerama Dome à Hollywood, le 19 novembre 2002. (Photo Kevin Winter/ImageDirect)

2. Une enfance marquée par l’info et les images

Entre les studios de télévision et les plateaux d’enregistrement, George grandit dans un monde où le discours et la prestance sont rois. Un apprentissage de l’observation et de la répartie.

George Clooney à Los Angeles en 1990, en promotion de son film « Red Surf » (Photo Getty Images)

3. Premiers pas à l’écran dans les années 80

Avant d’être docteur Ross dans Urgences, il enchaîne les séries B, les apparitions dans des sitcoms et les petits rôles, parfois oubliables, comme dans Return of the Killer Tomatoes… mais persévère.

George Clooney dans le rôle de George Burnett dans Fact of Life (Photo Ron Tom/NBCU)

4. 1994 : Urgences le propulse au rang de star

Avec son rôle de médecin au cœur tendre et au regard perçant, il devient un phénomène mondial. Clooney entre dans les foyers et ne les quittera plus.

George Clooney dans le rôle de Doug Ross dans la série Urgences. (Photo Getty Images)

5. 1997 : Il refuse Batman & Robin 2

Après un Batman & Robin moqué, Clooney tourne le dos aux blockbusters sans âme. Ce virage stratégique marque son envie de reprendre le contrôle de sa carrière… et de ses choix artistiques.

6. 2000 : Premier amour médiatisé avec Céline Balitran

La France découvre Clooney autrement, au bras de l’ancienne serveuse parisienne devenue sa compagne pendant trois ans.

7. 2001 : Ocean’s Eleven et une filmographie interminable

Aux côtés de Brad Pitt et Matt Damon, il brille dans le film de braquage culte. Le succès donnera lieu à deux suites tout aussi populaires. S’en suivra en 2011 son rôle remarquable dans The Descendants et la reconnaissance critique. Dans ce drame poignant d’Alexander Payne, il impressionne par sa justesse. Le film reçoit de multiples nominations, dont celle de Clooney à l’Oscar du meilleur acteur. Clooney alterne comédie, thriller, politique et science-fiction, avec élégance et conscience dans bien d’autres films cultes à l’instar de Michael Clayton, Gravity, Up in the Air, O Brother, Where Art Thou?, The Ides of March…

7. 2005 : L’Oscar du virage politique

Avec Syriana, Clooney remporte l’Oscar du meilleur second rôle. Il impose son regard engagé sur le monde et devient aussi un réalisateur respecté.

George Clooney, Oscar du Meilleur acteur dans un second rôle pour le film Syriana au Kodak Theatre à Hollywood, Californie (Photo WireImage)

8. Les conquêtes : d’Ellen Barkin à Stacy Keibler

Avant Amal, il collectionne les romances avec des stars : Kelly Preston, Lisa Snowdon, Krista Allen, Sarah Larson, Elisabetta Canalis… Il reste longtemps l’un des célibataires les plus convoités du monde.

George Clooney et Stacy Keibler à la première du film ‘ The Descendants’, à Londres le 20 octobre 2011. (Photo Getty Images)
George Clooney et Kelly Preston en 1985. (Photo Getty Images)

9. 2013 : Amal entre dans sa vie

Avocate spécialisée dans les droits humains, brillante et indépendante, Amal Alamuddin fait chavirer le cœur du célibataire endurci. Le couple incarne un glamour conscient et assumé.

George et Amal Clooney à Venice avant leur cérémonie de mariage civil (Photo Getty Images)

10. 2017 : Naissance des jumeaux Ella et Alexander

Clooney découvre les joies – et les nuits blanches – de la paternité à 56 ans, et se retire quelque temps de la vie publique pour savourer ce bonheur discret.

11. Engagement humanitaire : le combat pour le Darfour et les droits humains

Depuis les années 2000, Clooney utilise sa notoriété pour alerter sur les crises humanitaires, notamment au Soudan. En 2016, il cofonde la Clooney Foundation for Justice avec Amal, pour défendre les victimes d’injustices à travers le monde. Il milite aussi activement pour les réfugiés, la démocratie et la liberté de la presse. Il reçoit le prix du messager de la paix en 2008 à New York et le Bob Hope Humanitarian Awards en 2010.

George Clooney et Barack Obama, lors d’une conférence de presse « SAVE DARFUR: Rally to Stop Genocide. » (Photo Getty Images)

12. 2025 : Broadway, nouveau chapitre

Pour la première fois de sa carrière, Clooney monte sur scène à New York. Une performance très attendue qui témoigne d’un désir constant de se réinventer.

George Clooney sur les planches de Broadway pour sa première pièce « Good Night, And Good Luck » au Winter Garden Theatre, le 3 avril 2025 à New York City. (Photo Getty Images)
0 commentaires
0 PinterestEmail

Sofia Marrikh, une étoile marocaine au charme intemporel, revient avec une nouvelle chanson et un look éblouissant.

Après le succès de son titre Booya, dévoilé en novembre dernier, la chanteuse marocaine Sofia Marrikh poursuit son ascension avec son tout nouveau single DABA, sorti ce mercredi. Ce morceau, empreint de romantisme et d’émotion, marque un retour en force de l’artiste sur la scène musicale arabe et marocaine.

Composée et arrangée par Sofia Marrikh elle-même, sur des paroles de Omar Ilyas et sous la production de Karno Baghdasarian, DABA bénéficie d’un clip envoûtant réalisé par Kawtar Terhzazoui. Tournée dans les décors féeriques de Marrakech, la vidéo sublime la beauté de la ville ocre et renforce l’atmosphère poétique du morceau.

Sur les photos officielles du clip, Sofia Marrikh rayonne dans une robe immaculée digne d’une mariée. Élégance et grâce se dégagent de chaque cliché, accentuant l’aura romantique de cette nouvelle production. Un choix vestimentaire qui ne manque pas d’interpeller et qui s’inscrit parfaitement dans le message d’amour et d’espoir véhiculé par DABA. Avec ce retour en grande pompe, Sofia Marrikh prouve une fois de plus son talent et sa capacité à captiver son public à travers des chansons à la fois modernes et intemporelles.

Sofia Marrikh, la voix envoûtante de la pop marocaine

Révélée au grand public grâce à sa participation à Star Academy Arab World, Sofia Marrikh s’est imposée comme l’une des voix les plus raffinées de la scène musicale marocaine. Alliant élégance, sensibilité et modernité, elle a su conquérir un public fidèle à travers des morceaux mêlant sonorités orientales et influences pop internationales. Après une pause musicale, son retour avec Booya puis DABA confirme son engagement artistique et sa volonté de laisser une empreinte durable dans l’industrie musicale.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Gad Elmaleh savoure pleinement son nouveau rôle de grand-père ! Johanna Marques, la compagne de son fils aîné Noé Elmaleh, a récemment partagé une tendre photo de leur fille sur Instagram. Un cliché attendrissant qui témoigne de la croissance rapide de la petite et qui a fait fondre les internautes.

Gad est l’heureux papa de deux fils : Noé, né de son amour avec l’actrice Anne Brochet, et Raphaël, issu de sa relation avec Charlotte Casiraghi. Mais depuis le 11 juin 2023, une nouvelle aventure a commencé pour lui : celle de grand-père. En effet, Noé Elmaleh, aujourd’hui âgé de 24 ans, est devenu papa d’une adorable petite fille aux côtés de sa compagne, Johanna Marques. Journaliste et chroniqueuse pour une émission monégasque, cette dernière partage occasionnellement des instants de leur vie de famille sur les réseaux sociaux.

Gad Elmaleh
Instagram Johanna Marques

La dernière publication en date, postée en story Instagram le 29 mars, a fait fondre les abonnés. On y découvre une scène attendrissante : un homme vu de dos, vraisemblablement Noé, s’avance vers une aire de jeux, suivi de près par sa petite fille. Tenant fermement son doudou et coiffée d’une demi-queue mettant en valeur ses jolies boucles châtain, la fillette affiche une détermination touchante. Habillée avec goût dans un trench beige, un pantalon coordonné et des baskets claires, elle semble déjà bien grandir. Quelques jours auparavant, le 22 mars, son papa partageait une autre photo, où on la voyait captivée par un dessin animé matinal dans le salon familial.

Un grand-père aux anges et impatient de la voir grandir

En décembre 2024, Gad Elmaleh confiait être « totalement sous le charme » de sa petite-fille. « Je suis fou d’elle », affirmait-il avec enthousiasme. Impatient de partager avec elle de beaux moments et de lui transmettre des enseignements différents de ceux offerts à ses propres enfants, l’humoriste évoquait avec tendresse son rôle de grand-père. Il confiait également que cette nouvelle expérience l’avait rendu « plus compréhensif avec ses parents et plus patient avec ses enfants ». Un bonheur simple mais immense pour celui qui, en plus de sa carrière prolifique, savoure chaque instant passé en famille.

Ely a également la chance de bénéficier de l’amour de ses arrière-grands-parents !

Ely a également la chance de grandir entourée de l’affection de ses arrière-grands-parents, les parents de Gad Elmaleh. Figures importantes de la famille, ils jouent un rôle essentiel dans la transmission des valeurs et de l’histoire familiale. est certain que Ieur présence et leur sagesse apportent une dimension supplémentaire à la relation intergénérationnelle, enrichissant ainsi le parcours de la petite fille, qui bénéficie de l’amour et de l’expérience de plusieurs générations.

Gad Elmaleh  décoré du titre de "Chevalier des Arts et Lettres"
L’acteur et humoriste français Gad Elmaleh a été décoré du titre de « Chevalier des Arts et Lettres » lors d’une cérémonie à Paris, en présence de ses parents, David et Regina Elmaleh.
Getty Images
0 commentaires
0 PinterestEmail

« La reine de la couleur » honore, en exclusivité pour HOLA! MAROC, l’identité et le patrimoine culturel marocain au coeur de sa ville, Madrid !

Dans un dialogue inspirant, Imane Belmkaddem, entrepreneure engagée dans la mode marocaine, et Agatha Ruiz de la Prada, icône du design espagnol, se retrouvent pour une session photo exclusive à Madrid. Ce reportage inédit célèbre la richesse de leurs univers respectifs, leur amour pour l’artisanat et l’influence réciproque entre le Maroc et l’Espagne. Une belle alchimie andalouse se déploie ainsi dans une cover digitale exclusive de la semaine.

  • L’idée que HOLA! Maroc vous réunisse vous plaît-elle ? Que symbolise cette rencontre pour vous ?

Imane Belmkaddem : C’est un honneur d’être réunie avec Agatha Ruiz de la Prada sous les projecteurs de HOLA! MAROC. Cette rencontre est une ode au dialogue entre deux cultures profondément connectées : le Maroc et l’Espagne. À travers la mode et l’artisanat, nous célébrons une tradition d’échange et de créativité qui transcende les frontières.

  • Pourquoi avoir choisi Madrid pour cette session ?

Agatha : Madrid est une ville vibrante, un carrefour de cultures et d’innovations. Ce choix s’est imposé naturellement, car la capitale espagnole incarne à la fois modernité et héritage. De plus, en tant que métropole internationale, elle nous offre une visibilité mondiale pour mettre en lumière nos univers respectifs.

Agatha Ruiz de la Prada et Imane Belmkaddem posent en exclusivité pour HOLA! MAROC au restaurant marocain Al-Mounia à Madrid

Imane : Agatha était notre invitée d’honneur à Rabat pour la première édition du Rabat International Fashion Fair 2025, un moment fort où nous avons célébré la mode et les cultures du monde dans notre chère capitale. Aujourd’hui, c’est à mon tour de la rejoindre à Madrid pour poursuivre cet échange culturel et renforcer le lien entre nos deux capitales. Ce dialogue artistique illustre l’intensité du lien entre le Maroc et l’Espagne.

  • Peut-on imaginer une prochaine rencontre à Rabat, Marrakech ou Casablanca pour célébrer le Maroc ?

Oui, et ce sera un moment exceptionnel ! Le 3 mai 2025, sous les cieux de l’Atlantique à Rabat, nous nous retrouverons au prestigieux Conrad Arzana Rabat pour la première édition de l’Auto Moto Morocco Fashion Week. Cet événement inédit fusionnera mode et automobile, mettant en lumière le glamour, le luxe et l’innovation. Nous mettrons en avant un écosystème créatif et une mode durable, tout en célébrant l’esprit visionnaire du Maroc. Ce rendez-vous s’inscrit également dans la dynamique du “Yalla Vamos 2030”, qui unit le Maroc, l’Espagne et le Portugal en vue de la Coupe du Monde 2030.

La « reine de la couleur » pose au restaurant Al-Mounia à Madrid, en exclusivité pour HOLA! MAROC
  • Quelle belle idée que d’avoir choisi un restaurant marocain à Madrid !

Agatha : Madrid regorge d’adresses de renom, mais l’un de mes favoris est Al-Mounia, une véritable institution de la gastronomie marocaine en Espagne. Fondé en 1966, c’est l’un des plus anciens établissements marocains de la capitale espagnole.

Imane : Dès que l’on franchit ses portes, on est transporté dans un univers digne des palais traditionnels marocains. Les mosaïques délicates, les boiseries sculptées, l’ambiance feutrée… C’est une escale incontournable pour tous les amateurs de gastronomie marocaine à Madrid.

Imane Belmkaddem, entrepreneur de mode, pose pour HOLA! MAROC dans une création signée « Taragalt Stockholm », sa propre marque qu’elle a fondée en Suède
  • Mode et gastronomie, deux arts qui s’entrelacent. Quel regard portez-vous sur cette fusion entre tradition et modernité ?

La mode et la gastronomie partagent une même essence : elles racontent une histoire, transmettent un savoir-faire et évoluent avec leur époque. Dans ces deux domaines, il faut préserver les racines tout en innovant. Comme un chef revisite des recettes ancestrales avec une touche contemporaine, un créateur de mode peut réinterpréter des techniques artisanales dans une esthétique moderne.

  • Votre première rencontre ?

Imane : Nous nous sommes rencontrées pour la première fois à Stockholm en 2022, autour de notre amour commun pour l’art, la couleur et la créativité dans la mode. Agatha est bien plus qu’une créatrice : c’est une artiste visionnaire, une femme qui a imposé un univers audacieux et coloré avec une liberté et une énergie incroyables. Sa manière de jouer avec les formes et les couleurs pour transmettre de la joie et de la vie est une véritable source d’inspiration. Mais au-delà de l’admiration professionnelle, c’est une belle amitié qui est née.

  • L’artisanat est une valeur commune à nos deux pays. Quelle place occupe-t-il dans vos créations ?

L’artisanat est le cœur battant de mon travail. Chaque pièce que je crée en collaboration avec ma mère, Fatima El Hajjaji, célèbre le savoir-faire marocain à travers des œuvres inspirées des paysages, de l’histoire et de la culture du Maroc. Notre dernière collection, “Ode aux Oudayas”, a été conçue exclusivement avec des artisans marocains du quartier des Oudayas à Rabat, utilisant un cuir traditionnel écologique, 100 % made in Morocco.

  • Vous avez toujours défendu une mode libre et audacieuse. Pensez-vous que la mode peut être un outil diplomatique entre l’Espagne et le Maroc ?

Agatha : Absolument. L’amitié entre le Maroc et l’Espagne est précieuse, et la mode peut jouer un rôle clé dans son renforcement. Ma première visite à Rabat a été une révélation : une capitale d’une beauté exceptionnelle, propre, raffinée et digne des plus grandes villes du monde. J’ai découvert un Maroc moderne et élégant, et j’en suis devenue une grande admiratrice.

  • Si vous deviez créer une collection inspirée exclusivement du Maroc, quels éléments de son patrimoine aimeriez-vous réinterpréter ?

Agatha : Mon styliste favori est Yves Saint Laurent, et j’ai toujours admiré son lien profond avec le Maroc. Je pense que le Maroc a des trésors fabuleux à offrir au monde et une richesse artisanale infinie à explorer.

  • Sa Majesté le Roi Mohammed VI et son illustre famille portent royalement l’identité marocaine à travers la mode traditionnelle. Qu’en pense l’experte et designer que vous êtes ?

Agatha : J’ai une immense admiration pour la Famille Royale marocaine et Sa Majesté le Roi Mohammed VI. C’est un leader visionnaire, et ce que j’ai vu à Rabat m’a fascinée : un travail exceptionnel a été accompli pour faire de cette ville une capitale d’exception. Je suis devenue une véritable fan du Roi Mohammed VI.

  • C’est quoi la mode pour vous ?

La mode est bien plus qu’un vêtement, c’est un langage universel, une transmission culturelle et un pont entre le passé et l’avenir. Ce dialogue entre l’Espagne et le Maroc, entre deux créatrices passionnées, célèbre l’harmonie entre tradition et modernité, entre art et innovation, entre identité et ouverture sur le monde.

Photographe : Javier Salas
Mise en beauté : Andres Cardona
Un grand merci au restaurant Al Mounia Madrid
0 commentaires
0 PinterestEmail
Are you sure want to unlock this post?
Unlock left : 0
Are you sure want to cancel subscription?

Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. Accepter Lire Plus

Politique de confidentialité & de cookies
-
00:00
00:00
Update Required Flash plugin
-
00:00
00:00